lundi 16 septembre 2013

A2/ Classification des roches / diaporama

3 types de roches :
1 - Les roches Sédimentaires
Caractéristiques : sédiments + ciment → strates
Formation : érosion - transport - sédimentation (/gravité, /solubilité) - diagénèse (compaction, pression, ciment)
- érosion => détritiques : conglomérats (graviers > 2mm), grés (sables), argilites (argiles < 64 µm), ...
- précipitation => chimiques : calcaire CaCO3, sel NaCl, ...
- fossilisation => biogéniques : charbon, pétrole, ...
Les roches sédimentaires sont à l'origine d'une accumulation de sédiments d'origine détritique, biologique ou chimique, cimentés entre eux par des éléments chimiques ayant précipité, et par compaction sous le poids des couches supérieures. Les roches informent sur leurs conditions de formation
2 - Les roches magmatiques
Caractéristiques : cristaux +/- verre
Formation :
- refroidissement en surface => rapide => verre + cristaux = Volcanique
- magma riche en Fe+Mg => fluide => Volcanique effusif : basalte
- magma riche en SiO2 => visqueux => Volcanique explosif : rhyolite
- refroidissement en profondeur => lent => cristaux joints = Plutonique : granite, gabbro, péridotite
Seuls les matériaux de la croûte et du manteau supérieur sont observables à la surface de la Terre. Ces roches sont formées de minéraux et/ou de verre. Les roches magmatiques sont formées à partir de la cristallisation d'un magma plus ou moins rapidement : les roches plutoniques sont formées en profondeur, lentement et sont donc entièrement cristallisées, leur structure est grenue ; les roches volcaniques sont formées en surface, rapidement et sont donc formées de verre contenant plus ou moins de cristaux, leur structure est microlit(h)ique.
3 - Les roches Métamorphiques
Caractéristiques : cristaux modifiés, orientés → schistosité
Formation :
- de contact : cornéennes, schistes
- régional : schistes, marbres, gneiss, quartzites, amphibolites, ...

Les roches métamorphiques sont formées à l'état solide, sous l'influence de la température et de la pression. Les minéraux ont enregistré les contraintes que la roche a subie.
Aux dix-huitième et dix-neuvième siècles, les chercheurs scientifiques ont commencé à inventer des instruments capables de détecter les champs électromagnétiques. En 1903, un médecin hollandais, Willem Einthoven a mesuré le champ du cœur humain, qui a le champ électromagnétique le plus fort de tous les organes. En 1924, il a reçu le Prix Nobel pour ses travaux. En 1929, Hans Berger a mesuré le champ électromagnétique du cerveau, et les améliorations progressives des instruments ont permis qu’aujourd’hui les champs magnétiques et électriques d’une seule cellule puissent être mesurés. Utiliser les champs énergétiques du corps pour diagnostiquer et traiter a amené des avancées médicales telles que l’imagerie par résonance magnétique (IRM), l’électrocardiogramme (ECG) et le magnéto-encéphalogramme (MEG). Les champs électromagnétiques sont aussi utilisés pour traiter de nombreux problèmes. Les machines de stimulation électromagnétique pulsée (PEMS - pulsed electromagnetic stimulation) ont été utilisées avec beaucoup de succès pour soigner les dépressions ainsi que pour les symptômes physiques qui s’étendent des migraines jusqu’aux tremblements de la maladie de Parkinson.
 
L’utilisation des champs énergétiques en médecine a été accompagnée d’une grande controverse. Dans la période entre la découverte d’Einthoven et son Prix Nobel, l’influent Rapport Flexner fut publié en 1910 aux Etats-Unis. Ce rapport est devenu la base de tout le système médical actuel. Il rejette les approches autres que la médecine allopathique, telles que l’homéopathie. Il a condamné l’électromagnétisme en médecine le traitant de « science irrégulière ». Et pourtant, l’évidence de l’importance des champs énergétiques en biologie humaine a continué à croître, que cela soit des expériences du scientifique russe Alexandre Gurwitsch dans les années vingt, montrant l’énergie lumineuse émise par les organismes vivants, aux études de Robert Becker dans les années soixante démontrant que des micro-courants peuvent stimuler la guérison des fractures osseuses, en passant par la découverte en 1922 de cristaux de magnétite magnétiques dans des cellules du cerveau du système limbique humain.
 
L’observation qu’une sorte d’énergie est présente dans les processus biologiques n’est pas nouvelle. Les diagrammes d’acupuncture chinoise datant d’environ 2500 ans montrent les courants énergétiques que les médecins de ce temps utilisaient comme guide pour insérer des aiguilles. En faisant un bond en avant, plusieurs études récentes ont démontré que la stimulation d’acupoints envoie des signaux au cerveau, et peut être utilisée pour traiter le syndrome du stress post-traumatique (SSPT) et d’autres problèmes psychologiques. Différents organismes scientifiques, de l’OMC (Organisation Mondiale de la Santé) au NIH américain (Institut National de la Santé), ont dressé une liste de plus en plus complète des symptômes physiques pour lesquels l’acupuncture s’est montrée efficace. L’énergie est au centre de la guérison, que ce soit en occident avec les flux d’énergie électromagnétique détectés par les machines actuelles d’IRM fonctionnelle (IRMf) et d’électro-encéphalographie (EEG), qu’en orient où les méridiens d’acupuncture sont utilisés par les médecins depuis des millénaires.
 
Cet ensemble de connaissances est tout à fait pertinent pour l’EFT. Il a été démontré dans les études par résonnance magnétique que la stimulation des acupoints envoie des signaux directement au système limbique du cerveau, gestionnaire de la peur. Les études sur l’EFT entreprises ces dix dernières années ont démontré que l’EFT soulage le stress dans beaucoup de ses manifestations psychologiques et physiques. Ces études ont commencé à identifier les cas que l’EFT est capable de traiter et aussi les mécanismes physiologiques sous-jacents à l’œuvre dans de si rapides guérisons. Alors que les coûts médicaux dans les pays occidentaux grippent en flèche, les gouvernements et organisations insistent de plus en plus sur des traitements « basés sur des preuves », ceux qui peuvent démontrer de manière convaincante qu’ils fonctionnent. L’EFT a établi une base impressionnante de résultats de recherches pour un certain nombre de problèmes de santé mentale tels que le syndrome de stress post-traumatique, l’anxiété, les phobies et la dépression, ainsi que montré de belles promesses pour les aspects physiques tels que la douleur, les addictions, l’obésité et la fibromyalgie.
Microbiologie 
http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actualite-des-bacteries-pour-combattre-l-obesitea-31958.php 

Des bactéries pour combattre l'obésité ?

La flore intestinale de personnes minces, transférée à des souris, les protège de l’obésité. De quoi envisager une nouvelle stratégie de prévention de l’obésité ?
Marie-Neige Cordonnier

Pourquoi, chez certaines jumelles, l'une est obèse et l'autre non ? Une étude où les microbiotes de telles jumelles ont été transplantés dans l'intestin de souris suggèrent que le microbiote de la jumelle mince la protège de l'obésité.
©Shutterstock/ollyy

13/09/2013 20:00 |
Biophysique 
http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actualite-des-engrenages-mecaniques-a-a-inventesa-a-par-les-insectes-31954.php#top 

Des engrenages mécaniques « inventés » par les insectes

Chez la nymphe de la « cigale bossue », un engrenage assure la synchronisation du mouvement des deux pattes postérieures lors du saut.
Maurice Mashaal
La nymphe de la cigale bossue, Issus coleoptratus. Le mouvement de ses deux pattes postérieures, responsables du saut, met en jeu un mécanisme d'engrenage, qui implique les trochanters (un élément de la patte précédant le fémur et situé sous le corps de l'insecte).
Malcolm Burrows
Malcolm Burrows
Une vue agrandie du dessous de l'insecte montre, au premier plan, les deux trochanters avec leur rangée de dents sur le côté interne.
Malcolm Burrows
Malcolm Burrows
Une vue prise au microscope électronique à balayage montrant les deux rangées de dents imbriquées.
Malcolm Burrows
La bio-ingénierie consiste à s’inspirer du monde vivant pour concevoir des dispositifs techniques innovants. Inversement, les organismes vivants s’inspireraient-ils des inventions de l’homme ? L’idée est bien sûr absurde, mais elle vient à l’esprit quand on apprend la découverte faite par Malcolm Burrows, de l’Université de Cambridge au Royaume-Uni, et son collègue Gregory Sutton. Ces deux zoologistes ont mis au jour un mécanisme à engrenage impliqué dans le saut d’une petite cigale sauteuse, la « cigale bossue » Issus coleoptratus (appartenant à l’ordre des Hémiptères, famille des Issidés). L’engrenage est donc une technique mécanique dont l’humanité n’a pas la paternité...
Chez les insectes sauteurs (criquets, puces, cercopes, cicadelles, etc.), le saut est provoqué par une détente rapide et puissante des deux pattes postérieures. On trouve deux configurations de ces dernières. Chez les criquets et les puces, les deux pattes bougent dans des plans verticaux distincts de chaque côté du corps de l’insecte. Chez les très bons sauteurs tels que les cercopes et les cicadelles, les bases des pattes postérieures, sous le corps de l’insecte, tournent en sens inverses et dans un même plan à peu près horizontal. Mais cette seconde configuration exige une synchronisation précise des mouvements des deux pattes : sinon, en sautant, l’insecte subirait une rotation rapide sur lui-même dans le plan horizontal.
Comment cette synchronisation est-elle assurée ? Chez la cigale bossue, les influx nerveux sont envoyés aux muscles correspondants par deux paires indépendantes de neurones moteurs, ce qui ne suffit pas à synchroniser de façon assez précise, à l’échelle de quelques microsecondes, les mouvements des deux pattes. Grâce à de la vidéo ultrarapide et à un examen anatomique, M. Burrows et G. Sutton ont montré que chez la nymphe de la cigale bossue, une synchronisation précise a lieu grâce à une rangée courbe de dents présente sur le côté interne du trochanter (partie de la patte qui suit la coxa, ou hanche, et précède le fémur) de chaque patte (voir les photos prises au microscope électronique à balayage). Les deux trochanters, en contact sur une partie de leur côté interne, s’articulent ainsi par un engrenage qui les contraint à se mouvoir de conserve.
Grâce aux dents d’engrenage, les deux pattes postérieures démarrent leur mouvement presque simultanément, avec un décalage inférieur à 30 microsecondes. Dans la phase préparatoire du saut, qui dure environ 80 millisecondes, les trochanters tournent en entraînant les fémurs vers l’avant (voir la vidéo). Dans la seconde phase du saut, la phase propulsive, qui dure moins de deux millisecondes, les sens de rotation sont inversés et les fémurs sont rejetés vers l’arrière.
Ce mécanisme à engrenage ne concerne que la nymphe de la cigale bossue et celles d’autres espèces apparentées. Les dents disparaissent lors de la dernière mue de l’insecte, quand il devient adulte. Comment alors expliquer que les adultes sautent encore mieux que les nymphes ? M. Burrows avait établi en 2010 que chez eux, la synchronisation des deux pattes postérieures est assurée, au moins en partie, par le frottement entre les coxae. La synchronisation par frottement pourrait être plus avantageuse chez les adultes en raison de leur plus grande taille. Un autre point à souligner est que chez les nymphes, les dents cassées sont remplacées grâce à la mue suivante, ce qui serait impossible chez les adultes, qui ne muent plus.

A/ Topographie et profondeur du Moho / profil Google earth


Croûte / manteau ; litho/asthénosphère ; Mohorovičić
racine crustale
Continentale, émergées, montagnes,
épaisseur, densité croûte océanique/ continentale
§ Mais alors pourquoi la croûte épaissie n’est elle pas « engloutie » ?
Depuis le neuf neuf du mois, l'invasion a commencée...
un crâne taillé dans une pierre de tuff arrosé pendant des années
de mousses et spores de mousses glanées au gré des balades
puis de saccaromyces cerevisiae,  le 9/9/13
Paris, 13 SEPTEMBRE 2013
http://www2.cnrs.fr/presse/communique/3221.htm

Nourris au CO2, les plus petits organismes du plancton se développent aux dépens des plus grands

Les plus petits organismes planctoniques vont-ils déterminer le futur des océans ? Une expérience menée par le projet européen EPOCA coordonné par Jean-Pierre Gattuso du Laboratoire d'océanographie de Villefranche (CNRS/UPMC) a montré que le pico- et le nanoplancton prospèrent en cas d'augmentation de la concentration en dioxyde de carbone (CO2) dans l'eau de mer, provoquant un bouleversement de la chaîne alimentaire. Deux processus intervenant dans la régulation du climat sont également affectés : l'exportation de carbone vers l'océan profond et la production de sulfure de diméthyle, un gaz qui contrecarre l'effet de serre. Un volume spécial de la revue Biogeosciences présente les résultats de cette étude menée en Arctique par une équipe impliquant principalement des chercheurs de l'Institut GEOMAR, du CNRS et de l'UPMC1, avec le soutien de l'Institut polaire français.

Depuis 1800, environ le tiers des émissions de CO2 dues aux activités humaines ont été absorbées par les océans (ce qui équivaut chaque année à 1 tonne de CO2 par personne). Cette absorption entraîne une acidification des océans qui a été pendant quatre ans l'objet d'étude du projet EPOCA (European Project on Ocean Acidification). Lancé en 2008 et coordonné par Jean-Pierre Gattuso, chercheur CNRS au LOV, EPOCA a rassemblé plus de 160 chercheurs de 32 institutions européennes. L'une des expériences phare d'EPOCA s'est déroulée dans l'océan Arctique en 2010 durant cinq semaines. Pourquoi l'Arctique ? En raison de la basse température de ses eaux, cet océan absorbe davantage de CO2 que les autres. L'acidification y est donc plus rapide que dans les régions tempérées et tropicales. De plus, il était important de réaliser cette expérience in situ afin de bien prendre en compte les liens existants entre les organismes au niveau d'une communauté (compétition, prédation…) et de confronter ces résultats à ceux des études menées en laboratoire.

Fin mai 2010, l'équipe internationale chargée de cette expérience, constituée de 35 chercheurs et pilotée par Ulf Riebesell de l'institut allemand GEOMAR, a commencé par déployer neuf mésocosmes, sortes de tubes à essai flottants, dans le baie du Roi au large de Ny-Ålesund, à l'ouest du Spitzberg. Ces mésocosmes étaient formés d'immenses sacs en plastique de 50 m3 maintenus par des structures de 8 mètres de haut. Ils ont permis d'emprisonner l'ensemble du plancton présent dans le fjord. Dans sept de ces sacs, la concentration de CO2 a été graduellement augmentée pour atteindre le niveau attendu dans 20, 40, 60, 80 et 100 ans. Les deux autres sacs, les « sacs contrôle », représentaient les conditions naturelles sans modification. Chaque jour, une cinquantaine de paramètres chimiques et biologiques a été mesurée et des échantillons ont été prélevés régulièrement pour être ensuite analysés au laboratoire.

Principal résultat : le plancton de petite taille, le pico- et le nanoplancton<sup>2</sup>, croit plus vite et produit plus de carbone organique lorsque la teneur en CO2 est élevée. Or, si ce minuscule plancton se développe de manière importante, il consomme les sels nutritifs (comme l'azote) habituellement disponibles pour les espèces de plus grande taille. La croissance de ce tout petit plancton, base de la chaîne alimentaire, se fait donc aux dépens des diatomées, du phytoplancton de plus grande taille qui fait partie du microplancton. Cette expérience a été trop courte pour déterminer si ce phénomène a un impact sur la nutrition du zooplancton, qui se nourrit de plancton d'origine végétale.

En outre, les écosystèmes dominés par du pico- et du nanoplancton transfèrent moins de carbone dans l'océan profond. Ce phénomène pourrait donc réduire l'absorption de CO2 par les océans. Un autre processus contribuant à la régulation du climat pourrait également être affecté : la production de sulfure de diméthyle (DMS). Émis par le phytoplancton, ce gaz favorise la formation de nuages au-dessus des océans. En situation de concentration en CO2 élevée, les chercheurs ont observé une production moindre de DMS, ce qui entrainerait une augmentation de la quantité de rayonnement solaire atteignant la Terre et renforcerait ainsi l'effet de serre. Outre la chaîne alimentaire marine, l'acidification des océans affecterait ainsi des processus jouant un rôle important dans le système climatique.

Cette expérience a notamment bénéficié des soutiens de l'Institut polaire français et de la base franco-allemande AWIPEV de Ny-Ålesund.
EPOCA1
© Ray Zhang, University of Xiamen, China.
Expérience EPOCA, Ny-Ålesund, Spitzberg 2010

EPOCA2
© Jean-Pierre Gattuso (LOV, CNRS/UPMC).
Expérience EPOCA, Ny-Ålesund, Spitzberg 2010. Mésocosme avec un glacier en arrière-plan.

EPOCA3
© Jean-Pierre Gattuso (LOV, CNRS/UPMC).
Expérience EPOCA, Ny-Ålesund, Spitzberg 2010. Les chercheurs s'apprêtent à injecter de l'eau riche en CO2 dans les mésocosmes à l'aide d'une "araignée".

EPOCA4
© Jean-Pierre Gattuso (LOV, CNRS/UPMC).
Expérience EPOCA, Ny-Ålesund, Spitzberg 2010. Les chercheurs injectent de l'eau riche en CO2 dans un mésocosme.



Notes :

1Treize institutions européennes ont participé à cette étude, dont en France le Laboratoire d'océanographie de Villefranche (CNRS/UPMC) tout particulièrement, mais aussi la station biologique de Roscoff (CNRS/UPMC).
2D'une taille inférieure à 20 µm

Références :

Arctic ocean acidification: pelagic ecosystem and biogeochemical responses during a mesocosm study. U. Riebesell, J.-P. Gattuso, T. F. Thingstad, and J. Middelburg. Biogeosciences Special Issue. Volume 10, 5619-5626, 2013. doi:10.5194/bg-10-5619-2013

Consulter le site web

A/ Mesure de l'âge des roches / logiciel Radiochronologie

TP Cohen / datation absolue : http://cohen.svt.free.fr/TS/TS.html choisir TP2 dans la mesure du temps

 Travaux pratiques : Les éléments radioactifs contenus dans les roches permettent de les dater

Objectifs :

-Représenter des données sous forme graphique

-Utiliser un logiciel « radiochronologie »

Première étape : loi de décroissance radioactive et demi-vie :

1) Ouvrir le logiciel radiochronologie

2) Prendre un exemple comme 14C : (Menu « Loi de décroissance » - « 14C »). Au bout de combien de temps reste-t-il la moitié de la quantité initiale ? 
 5730 ans 
Le quart ? (faire évoluer le temps avec le curseur) 
 11345 ans

3) Comparer les demi-vies pour (-cliquer sur « informations » ; apparition de la page « lois de décroissance de la radioactivité » -cliquer sur « constantes »)

demi-vie 14C = 5730  a

demi-vie 40K = 1,25 Ga

demi-vie  87Rb = 48,8 Ga

Deuxième étape : Une méthode de datation utilisée en Géologie : Méthode

1) Que représentent les axes ?

Rapport 87Rb/86Sr et 87Sr/86Sr

2) Expliquer les différences de rapport Rb/Sr initial pour des minéraux de la même roche, alors que les rapports des isotopes de Sr sont les mêmes.

Les minéraux n'ont pas tous la même compo chimique

3) Faire dérouler le temps. Que se passe-t-il s'il n'y a pas de Rb au départ ?

 Pas de mesure possible

Quelle est la disposition des points représentant les divers échantillons à un instant t quelconque ?

droite => proportionalité

4) Quel est l'âge d'une roche dont la droite isochrone a une pente de 0,0143 ?

1 Ga = 1 milliard d'années

5) Exercice : Déterminer l'âge d'échantillons bretons.

-prendre connaissance de la méthode utilisant le couple Rubidium-Strontium dans la datation des roches. (cf annexe)

-réaliser le graphe des variations du rapport 87 Sr / 86 Sr en fonction du rapport 87 Rb/86 Sr. Utiliser l’outil du menu « tableau Rb/Sr » du logiciel pour déterminer l’âge des échantillons bretons. Entrer la valeur du rapport 87 Rb/86 Sr puis celle du rapport 87 Sr/86 Sr puis valider pour faire afficher le point et passer à la ligne suivante. Cliquer sur le menu « ajuster la pente aux valeurs » à la fin pour obtenir l’affichage de la droite (droite de régression linéaire) et le temps correspondant.

-déterminer l’âge de la roche en utilisant la formule   âge = Ln (pente+1)/lambda avec lambda, constante de désintégration, égale à 1.42 10

333,14 Ma

Radiochronologie
La radiochronologie des roches est fondée sur la décroissance radioactive naturelle de certains éléments chimiques présents dans les minéraux qui les constituent.