vendredi 12 mai 2017

§ Que se passe-t-il lorsqu'il y a fécondation ?

§ Bb nuages / pixar : https://youtu.be/PfyJQEIsMt0

§ Que se passe-t-il lorsqu'il y a fécondation ?

3,2 : La procréation humaine

3,2,1 : Fécondation et développement embryonnaire

A1 : Les étapes de la fécondation / animation

5'02'' Reproduction humaine (Part 01) : http://youtu.be/kk8JFGIUC1U
4'19'' Odyssée de la vie : http://youtu.be/HTfEshpLikE
fécondation = fusion des gamètes
caryogamie = fusion des noyaux

A2 : Description des étapes de la rencontre / schéma+animation

© 1S sexualite_schbil.odg
Diapo \fecondation.odp
fécondation-nidation 
caryogamie

A3 : Survol des étapes du développement / photographies

Diapo \sex_dev_embryo.odp
9 mois de vie dans l’utérus en quelques minutes : https://youtu.be/u_NO3JU0LZk
The Multi-Dimensional Human Embryo : http://embryo.soad.umich.edu/index.html
Conception Slideshow: From Egg to Embryo : http://www.webmd.com/baby/ss/slideshow-conception
zygote, embryon, fœtus

AM : Suivit virtuel du développement embryonnaire / animations

animation fécondation, début embryo, grossesse et développement : http://www.biologieenflash.net/animation.php?ref=bio-0073-3 : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html

B : Fécondation et développement / schéma

B321 : La rencontre des gamètes ♀ & ♂

Lorsque la femme est féconde, sa température est modifiée et la glaire cervicale de l'utérus facilite la progression des spermatozoïdes. La fécondation a lieu le plus souvent dans le tiers supérieur des trompes. Un spermatozoïde fusionne avec l'ovule pour donner une cellule œuf, ou zygote, par caryogamie.

§ comment l'organisme se « souvient-il » des antigènes rencontrés ?

§ comment l'organisme se « souvient-il » des antigènes rencontrés ?

4,3/ Le phénotype immunitaire au cours de la vie

4,3,1/ Le système immunitaire a une mémoire

A1 : Concept de mémoire immunitaire

Diapo : \immuno_memoire.odp
2e rencontre avec antigène : amplification, mémoire immunitaire

A2 : Dosage de séropositivité au VIH / logiciels

Ouchterlony → ELISA → WESTERN BLOT
Logiciel sur test ELISA : http://svt.ac-rouen.fr/perso/documents.htm
elisa.exe
\VIH1.exe
si ELISA positif avec sérum => Ac dans sérum => réaction immunitaire => séropositivité

Sitographie SIDA

Diapo SIDA.odp
articles récents :
Les trithérapies réduisent la transmission : http://www.larecherche.fr/content/actualite-sante/article?id=27757
Une protection naturelle contre le sida : http://www.larecherche.fr/content/actualite-sante/article?id=29036
des anticorps capables d'éliminer les cellules infectées : http://www2.cnrs.fr/presse/communique/4443.htm?&debut=8
Mode d'action du VIH, maladies opportunistes

jeudi 11 mai 2017

§ comment l'organisme reconnaît-il les cellules du soi ? Les antigènes à abattre ?

A3 : Notion de tolérance immunitaire

© \immuno_molécules.odg
Diapo \immuno_tolérance.odp
coopération entre immunité innée et adapative
cellules dendritiques
  • éliminer les cellules autoréactives
  • garder des cellules tolérantes au soi et intolérantes à un antigène
en résumé :
La nature du problème :
  • Les lymphocytes T et les lymphocytes B perçoivent constamment des signaux antigéniques auxquels il serait in/opportun de répondre
  • Un système de filtrage actif des signaux doit donc être mis en place.
  • L’effet de ce filtrage, c’est la tolérance immunitaire
Un lymphocyte en contact ligand-récepteur avec une cellule présentatrice de l'antigène (dendritique ou macrophage) va être mis en
  • anergie ou
  • apoptose ou
  • prolifération
lymphocytes B → plasmocytes sécrétant des Immunoglobulines
lymphocytes cytotoxiques : LT CD8 → LTcytotoxique
lymphocytes T CD4 → lymphocytes T auxiliaire sécrétant des Interleukines
IL = Interleukines [entre - globules blancs]
C’est dans les organes lymphoïdes primaires que la plus grande partie des lymphocytes capables de percevoir le soi (autoréactifs) sont éliminés par apoptose
Les organes lymphoïdes doivent donc posséder un échantillon des signaux du soi
Les cellules présentatrices d’antigène (et en particulier les cellules dendritiques) jouent un rôle fondamental dans le maintien ou la rupture de la tolérance immunitaire
Les cellules activées (LTc, LTa, Plasmo¢) prolifèrent dans les ganglions lymphoïdes

AM : Schématisation des complexes immuns

neutralisation de l'Ag / destruction ou “emprisonnement”
facilitation de la phagocytose de l'Ag

AM : Phylogénie à partir des molécules immunitaires

© immuno_phylogenie.odg
Diapo : immuno_evolution.odp
Manuel p284
immunité, héritée, évolution

B42/ Immunité acquise & adaptative

Bilan : logiciel\Immunologie1.2.exe
Alors que l'immunité innée est largement répandue chez les êtres vivants, l'immunité adaptative est propre aux vertébrés.
Le système immunitaire, normalement, ne se déclenche pas contre des molécules de l'organisme ou de ses symbiotes. Cela est vrai notamment pour la réponse adaptative.
Pourtant, les cellules de l'immunité adaptative, d'une grande diversité, sont produites aléatoirement par des mécanismes génétiques complexes qui permettent potentiellement de répondre à une multitude de molécules. La maturation du système immunitaire résulte d'un équilibre dynamique entre la production de cellules et la répression ou l'élimination des cellules autoréactives.
Mots-clés : Cellule présentatrice de l'antigène, lymphocytes B, plasmocytes, immunoglobulines (anticorps), séropositivité, lymphocytes T CD4, lymphocytes T auxiliaire, interleukine 2, lymphocytes T CD8, lymphocytes T cytotoxiques ; sélection, amplification, différenciation clonales. Réponse adaptative à médiation humorale.

C pour suivre

Gene/Protein Name Etymology : https://www.biostars.org/p/88965/
site officiel pour ECE : http://pedagogie.ac-toulouse.fr/svt/serveur/bankact/index.php?m=0

§ Comment se fait la régulation des systèmes ?

A7 : Exploitation de dosages des hormones sexuelles / humain

\sex_hormones-tout.xls
  • Ouvrir le document « sex_hormones.ods » ou « sex_hormones.xls »
  • Lire le tableau pour faire un choix judicieux par la suite
  • Construire un graphique à partir des données
  • Interpréter chaque graphique
  • Produire un document texte avec graphiques et interprétation
  • note / 4 en complément du bb
hormones ovariennes : oestradiol et progestérone
hormones hypophysaires : Luteinising Hormone et Follicle Stimulating Hormone
rép : \sex_hormones_humaines.odp
évolution hormonale durant la puberté de l’enfance à l’adolescence chez le garçon et chez la fille : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=2694
taux des hormones ovariennes et hypophysaires au cours d’un cycle (tableur) : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=1897
dosage hormones ovariennes en début de grossesse (tableur) : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=662
stérilité ’’hypophysaire’’ (tableur) : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=708
Interprétation des courbes

B313 : Contrôle endocrinien de la sexualité

Chez l’homme et la femme, le fonctionnement de l’appareil reproducteur est contrôlé par un dispositif neuroendocrinien qui fait intervenir l’hypothalamus, l’hypophyse et les gonades.
L’activité sexuelle est associée au plaisir. Le plaisir repose notamment sur des phénomènes biologiques, en particulier l’activation dans le cerveau des « systèmes de récompense ».

B313 : schématisation de la régulation hormonale mâle

© sch'bilan 6
dessins anatomie :
dosages de 3 hormones mâles :
AMH et testostérone chez l’homme de l’âge fœtal à l’âge adulte, dosage plasmatique :
Régulation de la sécrétion de testostérone :
Hormones en fonction de l’âge :
hypothalamus, hypophyse, gonades, neurohormones, cellule endocrine, testostérone, AMH, oestradiol, progestérone.

B313 : schématisation de la régulation hormonale femelle

© sch'bilan 6
nombre d’ovocytes chez une femme en fonction de l’âge : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=2092
hypothalamus, hypophyse, gonades, neurohormones, cellule endocrine, testostérone, AMH, oestradiol, progestérone.
logiciel « hormones » :
\hormones.exe

mardi 9 mai 2017

Comment évaluer l'évolution du climat ?

Bilan 3,1/ Les changements climatiques à l'échelle du million d'années

- Les bulles d'air contenues dans les glaces permettent d'étudier la composition de l'air durant les 800 000 dernières années y compris des polluants d'origine humaine. La composition isotopique des glaces et d'autres indices (par exemple la palynologie) permettent de retracer les évolutions climatiques de cette période.1

Comment varie le climat sur une longue échelle de temps ?

3,2/ Les changements climatiques à l’échelle du milliard d’années

3,2,1/ Méthodes d'étude

Comment mesure-t-on le CO2 « anté-glaciaire » ?

Très difficilement, d'où de grandes incertitudes :
  • A partir du Jurassique (-200 Ma) : bulles d'air piégées dans de l'ambre (résine d’arbre fossilisée)
  • Depuis le Carbonifère (-360 Ma) :  indice stomatique des feuilles végétales : plus il y a de CO2 dans l'atmosphère et moins il y a de stomates (indice stomatique faible). On montre ainsi qu'au Carbonifère, la teneur en CO2 était probablement aussi faible que maintenant. Puis elle a augmenté jusqu'au Crétacé (5 fois la valeur actuelle). Depuis cette teneur diminue... Pour les temps paléozoïques anté-carbonifères (pas de stomates car pas de feuilles !), l'estimation repose sur des bilans sédimentologiques, variés et complexes.
  • Depuis 600 Ma : bilans sédimentologiques et géochimiques
  • Avant 600 Ma (Précambien) : effet du soleil. Les astronomes nous indiquent la constante solaire de l'époque, et, connaissant la température de l'époque, on modélise l’effet de serre, donc la teneur en CO2.
  • A l'origine de la Terre : On estime la quantité de CO2 il y a 4,5 milliards d'années de deux façons :
  • en transformant toutes les roches carbonatées et les charbons du monde en CO2,
  • en appliquant à la Terre le rapport CO2 / H2O dans les chondrites (météorites) et en connaissant la quantité d' H2O (océan), on trouve la quantité de CO2 au début de l'histoire de la Terre.
Ainsi, il y a 4,5 Ga, on pense qu'il y avait entre 30 à 60 atmosphères de CO2 (3 000 000 à 6 000 000 de pascals), soit 100 000 fois la quantité actuelle de CO2.

Existe-t-il d'autres méthodes de mesure ?

Oui : les fossiles !
Le principe d’actualisme prend pour postulat l’idée que les phénomènes géologiques actuels ou passés sont régis par les mêmes lois. Par extension, les espèces actuelles apparentées à des espèces fossiles doivent avoir les mêmes exigences vis-à-vis du milieu. Par exemple : lorsque l’on trouve des fossiles ressemblant ou apparentés aux huîtres actuelles, on peut supposer par principe d’actualisme que ces fossiles vivaient dans les mêmes conditions que les huîtres actuelles.

3,2,2/ Exemple du Crétacé

A1 : Etude de documents fossiles

© \Crétacé.odg
Expliquer pourquoi les scientifiques ont pu définir le Crétacé comme une période plus chaude que l’actuelle.
Montrer quelques facteurs pouvant expliquer le réchauffement climatique de la période crétacée.

A2 : Comparaison crétacé – carbonifère

cours sur ancien prg :

A3 : échelle stratigraphique

Bilan 3,2/ Les changements climatiques à l’échelle du milliard d’années

- Sur les grandes durées (par exemple pendant le dernier milliard d'années), les traces de variations climatiques importantes sont enregistrées dans les roches sédimentaires. Des conditions climatiques très éloignées de celles de l'époque actuelle ont existé.2
1 Les élèves doivent connaître les apports essentiels de la glaciologie. Aucun autre argument n'est exigible, mais les élèves devront pouvoir étudier des documents permettant de les mettre en évidence.
2 On étudie seulement un exemple permettant de reconstituer les conditions climatiques et leur explication en termes de géodynamique. L'histoire de la variation du climat en elle-même est hors programme ainsi que l'étude exhaustive des relations entre géodynamique et climat.