jeudi 26 mars 2020

site de suivi COVID19

https://www.bing.com/covid

2/ Datation relative par stratigraphie

Les première datations basées sur l’observation de la nature ont été calculées à partir de l’étude des fossiles. Les fossiles trouvés dans les couches successives de sédiments, les strates, classés par âge ont ainsi permis la stratigraphie. Pendant longtemps les scientifiques ont refusé de donner un âge à la terre, car manquant de preuves factuelles, mais ils pouvaient classer les âges les uns par rapport aux autre, par une datation relative et non absolue qui viendra plus tard. Depuis quelques années l’échelle stratigraphique, la frise chronologique des géologues, est devenue internationale : les géologues se sont mis d’accord pour avoir la même échelle de temps, avec les mêmes noms. Les noms sont issus de l’histoire des découvertes : souvent une roche étant nommée à partir du lieu où on la trouvait, la période de datation de cette roche a pris le nom du lieu. C’est ainsi que les ammonites de Thouarcé (49380) ont donné le nom de Touarcien à l’époque de –186 à –179 Ma. Les ammonites sont donc considérées comme fossile stratigraphique, ou stratotype.
  1. En admirant l’échelle stratigraphique internationale, demandez-vous pourquoi on datait encore récemment l’apparition de la vie au Cambrien…
  2. A partir des informations trouvées sur le net (liens), montrez que les cnidaires et spongiaires ne sont pas de bons fossiles stratigraphiques
  3. Déterminez les meilleurs fossiles permettant de dater les ères primaire, secondaire, tertiaire… à partir de cette échelle-ci
  4. recherchez la définition des trois grans principes de datation stratigraphique :
    1. superposition
    2. recoupement
    3. continuité
Réponses à rendre par mail pour le 2 avril

2/ Les gonades produisent des gamètes

- Extraire et exploiter des informations de différents documents pour identifier :
les relations entre sexe génétique et organisation anatomique et physiologique ;
le fonctionnement des organes génitaux au cours de la vie.
À l’aide des photos de gonades et gamètes sur le cloud/classe/travail/svt et sur le site internet suivant :
admirez, réalisez photos et dessins + titre + légende
titre : être vivant, organe, coupe éventuelle (CT, CL), matériel d’observation, grossissement
légendes :
spermatozoïde : tête, flagelle, noyau, membrane, acrosome,
testicule : tube séminifère, paroi, cellules intersticielles de Leydig, cellules de Sertoli, spermatogonies → spermatocytes → spermatozoïde 
ovaire : follicule primordial → primaire → secondaire → de Graaf, ovogonies → ovocytes → ovules, corps jaune,
follicule : ov…, cellules folliculaires, cavité = antrum
follicules ; corps jaune ; cellules interstitielles ; tubes séminifères 

pour le 2/4/20 à 10h : scan ou photo par mail des deux pages de dessins du fichier "gonades et gamètes" qui est sur le cloud 

mercredi 25 mars 2020

4- Neurone et fibre musculaire : la communication nerveuse

Sitographie

Mindmapping : cartes heuristiques

Freemind (version 08/01/2009) : (docodtpdf)
ex de mindmap sur immuno : voir sur GEPI

§ Quel hémisphère de votre cerveau est-il dominant ?

Quel âge a votre cerveau ? http://memorado.fr/age_cerveau_test
Votre mémoire est-elle fidèle ? http://memorado.fr/age_cerveau_test

§ Comment le cerveau fonctionne-t-il ? Comment l’étudier sans le froisser ?

4,1 : Motricité et plasticité cérébrale

4,1,1 : Analyse de l'activité cérébrale par imagerie médicale

A1 : différentes techniques d'imagerie cérébrale

Formation médicale en ligne pour les professionnels de santé : http://www.imaios.com/fr/e-Cours/e-MRI
L'Imagerie par Résonance Magnétique est une technique basée sur le principe de la résonance des atomes de certaines molécules sous l'action de certaines ondes de radio-fréquences. Il s'agit simplement d'observer la résonance magnétique nucléaire (RMN) des protons de l'eau contenus dans l’organisme (70 % d'eau), c'est à dire la réponse des noyaux soumis à un champ magnétique extérieur et à une excitation électromagnétique.
  • IRM = imagerie par résonance magnétique permet de reconstruire une image en 2D puis en 3D de la composition chimique et donc de la nature des tissus biologiques explorés.
  • IRMf = imagerie par résonance magnétique fonctionnelle : enregistre des variations hémodynamiques (variation des propriétés du flux sanguin) cérébrales locales minimes, lorsque ces zones sont stimulées.
  • TEP = tomographie par émission de positons reflète l'apport d'énergie plutôt que l'activité cérébrale proprement dite → mesure en 3D l'activité métabolique d'un organe grâce aux émissions produites par les positons (ou positrons) issus de la désintégration d'un produit radioactif injecté au préalable.
  • TDM = tomodensitométrie = scanographie / absorption des rayons X par les tissus → traitement informatique → reconstruire des images 2D ou 3D des structures anatomiques.

A2 : Analyse d'images IRM dans un cas d'AVC / logiciels

Derniers logiciels à connaître pour le TP de BAC, banque de données IRM et IRMf, facile à télécharger et utiliser :
Présentation du logiciel en video 7’ placée sur cloud/classe/travail/svt : PEMEDuAnatFin_0001.wmv
Différents sujets BAC : disponibles sur le cloud/classe/travail/svt :
13121 : TS_TP_Eduanatomist 13121.odt
12211 : TS TP éduatomist peintre 12211.odt+ FT
12213 : TS TP eduanatomist hémiplégie 12213.odt+ft

 

mardi 24 mars 2020

Coronavirus : diagnostiquons et traitons ! Premiers résultats pour la ch...


http://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/03/18/covid-19-fin-de-partie-305096.html
https://www.mediterranee-infection.com/wp-content/uploads/2020/03/COVID-19.pdf 
les fleurs commencent à pousser, le printemps est arrivé, c'est l'occasion de sortir vérifier et d'admirer :
regardez de près, voire de très près, une fleur, ou deux, évitez les pâquerettes c'est très compliqué, préférez les boutons d'or, les tulipes, les lys...
prenez la page 46 et essayez de légender cette fleur de pois (on trouve les réponses dans un dictionnaire)
essayez de retrouver les organes de la fleur que vous avez admirée (peut-être qu'il faudra la disséquer un peu ou beaucoup...)
je ne vous donne pas d'autre travail pour la semaine prochaine que de faire cette école buissonnière mais attention certains ne m'ont toujours pas envoyé leur travail...
je vous souhaite une belle découverte !

cellules immunitaires

A0 : Petit jeu

§ comment l'organisme se défend-t-il contre une infection ?

page 61 : répondre aux 4 questions par écrit et envoyez-les moi par mail 

How wildlife trade is linked to coronavirus

3,3,2/ la vaccination utilise la mémoire immunitaire

A1 : Histoire de la vaccination

Histoire simplifiée de l’immunologie
- 6 000 en Chine : pratique de transmission volontaire de la variole en prévention, la « variolisation »
- 430 Thucydide relate un épisode de « peste »
Hippocrate (île de Cos ~-460 – Larissa ~-370) père de la médecine : examen clinique → diagnostic → thérapeutique
Hérophile (~-340 - ~-300) : « Par-dessus tout le médecin devra connaître les limites de son pouvoir, car celui-là seul qui sait distinguer le possible de l'impossible est un médecin parfait. »
Érasistrate de Céos (~-310 - ~-250) fondateur de la physiologie expérimentale : expériences sur les animaux, dissections de cadavres humains.
Dioscoride Pedanius (~40 - ~90) : « De universa medicina » en 6 livres, description de 600 plantes médicinales.
Aulus Cornelius Celsus (Rome ou Vérone 1er siècle) : médecin et écrivain, surnommé l'Hippocrate latin et le Cicéron de la médecine.
Claude Galien (Pergame ~131 – Pergame ~201) médecin de l’école de gladiateurs : traitement des traumatismes et notamment des plaies, qu'il a qualifiées de « fenêtres sur le corps ».
Oribase (~325 - 403) travail de compilation « Collectanea artis medicae » en 70 livres.
Avicenne ( Boukhara 980 - Hamadan 1037) « la médecine est l'art de conserver la santé et éventuellement, de guérir la maladie survenue dans le corps ». hypothèse selon laquelle l'eau et l'atmosphère contiendraient de minuscules organismes vecteurs de certaines maladies infectieuses.
Hildegarde de Bingen ( Bermersheim 1098 - Rupertsberg 1179) « Il n’y a pas de maladies, mais des hommes malades, et ces hommes sont intégrés dans un univers qui, de même qu’il participe à leur malheur, doit aussi prendre sa part dans la guérison ; ils doivent être soigné dans leur totalité, corps et âme, et, même si la nature peut et doit venir à leur aide, c’est bien souvent dans leur propre sagesse, leur modération, leur maîtrise d’eux-mêmes, qu’ils trouveront les forces qui soutiendront le processus de guérison. »
Girolamo Fracastoro (Vérone 1478 ou 1483 - Incaffi 1553) « De Contagione et Contagiosis Morbis » théorie sur la propagation des maladies infectieuses par des organismes vivants « des seminaria contigionis ». « Sive Morbus Gallicus » (Syphilis).
Lissan-Edine Ibn al-Khatib (Loja 1313 - Fès 1374) énonce pour la première fois la notion de contagiosité.
1721, lady M. Wortley Montagu, introduit la variolisation en Angleterre.
1798 Edward Jenner considéré aujourd’hui comme le fondateur de l’immunologie, utilise le virus de la vaccine pour vacciner contre la variole => vaccination
1883 Robert Koch découverte de la bactérie responsable de la tuberculose qui porte son nom.
1884 Thérorie de l’immunité à médiation cellulaire sur les travaux de George Nuttall et Ilya Ilitch Metchnikov
1885 Louis Pasteur : vaccination humaine contre la rage
1898 Jules Bordet : mécanisme de la réponse innée
1900 Théorie de l’immunité à médiation humorale, de Paul Ehrlich et Emil Adolf von Behring,
1901, Karl Landsteiner met en évidence l’existence des groupes sanguins
1904-1928 : Albert Calmette et Camille Guérin : BCG vaccination contre la tuberculose.
1950, la théorie qui domine en immunologie est celle de la reconnaissance du « soi » et du « non-soi » par le système immunitaire adaptatif

A2 : Principe de la vaccination

La vaccination utilise la mémoire immunitaire par injection d'un fragment antigénique (Virus atténués, Virus tués, Protéines de virus fractionnées ou synthétisées par génie génétique). La sérothérapie est une injection d'anticorps. « Dans la grande majorité des cas, l’administration d’un vaccin est faite dans un but préventif. Il s’agit d’éviter une pathologie infectieuse. Les dernières avancées de la recherche montrent qu’un vaccin peut être curatif, dans certains cas très particuliers. Les spécialistes alors, parlent d’immunothérapie et non plus de vaccination. Cette approche consiste à stimuler les défenses naturelles de l’organisme, pour aider celui-ci à lutter contre la maladie ou parfois, à détruire des cellules malignes. Ainsi le vaccin BCG est-il actuellement utilisé dans le traitement de certains cancers de la vessie. D’autres recherches sont en cours, pour mettre au point des vaccins qui permettraient de soigner différentes tumeurs... L’allergie à un vaccin existe même si elle reste relativement rare. Elle s’explique la plupart du temps par une intolérance à l’un des composants du vaccin. Certains vaccins, comme celui de la grippe ou de la fièvre jaune, sont fabriqués en cultivant le virus sur un œuf de poule embryonné. Le milieu de culture est donc susceptible de contaminer le vaccin. C’est pourquoi les sujets allergiques aux protéines de l’œuf devront les éviter. De la même façon, certains vaccins contiennent des traces d’antibiotiques. Dans ce cas, il est plus difficile de déterminer à l’avance la réaction allergique… Un vaccin peut également être contrindiqué pour raison de santé. Par exemple, un patient immunodéprimé pourrait développer une forme grave de rougeole s’il recevait le vaccin contre cette pathologie. De manière générale, ces malades ne doivent pas recourir à la vaccination en raison des complications éventuelles. » Pr Daniel Floret, président du Comité technique des vaccinations. « Utilisés dans les vaccins, les sels d'aluminium, neurotoxiques notoires, migrent vers le cerveau. "De nombreuses études ont alerté sur le possible potentiel cancérigène et perturbateur endocrinien des sels d'aluminium" » http://www.myofasciite.fr/ « Nombreuses sont les personnes qui s’interrogent sur les vaccinations. Elles n’ont souvent qu’une information en provenance des milieux médicaux ou des autorités administratives qui prônent les vaccins. Faute d’information exhaustive sur l’utilité, l’efficacité et les dangers des vaccinations, les citoyens croient qu’elles sont indispensables et même obligatoires et ils cèdent aux pressions à contre cœur. » http://www.alis-france.com
Des sites pour :
Des sites contre :
Faites-vous votre propre avis maintenant !

Bilan : la vaccination utilise la mémoire immunitaire

La vaccination déclenche une mémorisation immunitaire. L'injection de produits immunogènes mais non pathogènes (particules virales, virus atténués, etc.) provoque la formation d'un pool de cellules mémoires dirigées contre l'agent d'une maladie. L'adjuvant du vaccin prépare l'organisme au déclenchement de la réaction adaptative liée au vaccin, un peu comme la réaction inflammatoire prépare la réaction adaptative naturelle. La vaccination permet d'agir sur le phénotype immunitaire d'un individu et permet son adaptation à l'environnement. La stratégie vaccinale permet la protection de l'individu vacciné et de la population.
Mots-clés : Mémoire immunitaire, vaccins. Mode d'action du VIH, maladies opportunistes

Conclusion : la défense de l'organisme contre les agressions ; immunité ; mémoire immunitaire.

Le système immunitaire est constitué d'organes, de cellules et de molécules qui contribuent au maintien de l'intégrité de l'organisme. Le système immunitaire tolère habituellement les composantes de l'organisme mais il réagit à la perception de signaux de danger (entrée d'éléments étrangers, modification des cellules de l'organisme). Par l'activité de ses différents effecteurs, il réduit ou élimine le trouble à l'origine de sa mise en action. La bonne santé d'un individu résulte d'un équilibre dynamique [homeostasie] entretenu par des réactions immunitaires en réponse à des dérèglements internes ou des agressions du milieu extérieur (physiques, chimiques ou biologiques). Chez les vertébrés, ce système comprend un ensemble de défenses aux stratégies très différentes : l'immunité innée et l'immunité adaptative.

Bilan : Le système immunitaire / schémas

Mindmapping / cartes heuristiques

ex de mindmap sur GEPI : Immunologie.mm

lundi 23 mars 2020

2,2,3/ La dynamique des zones de convergence

2,2,3,1/  Les zones de subduction

voici le résultat des TP : https://prezi.com/view/qrc7CL5rUYMZFngc1sw7/
et un petit qcm sur GEPI pour voir si vous avez compris

4 : Coronavirus

C’est quoi ?
  • Le SRAS-CoV2 (SARS, in English), pour Syndrôme Respiratoire Aigü Sévère au CoronaVirus 2 est l’agent de la maladie COVID19 ou 2019-nCoV pour Coronavirus infection disease 2019, littéralement « maladie infectieuse à coronavirus de 2019 ».
  • Les coronavirus humains comptent parmi les agents du rhume, derrière les rhinovirus. Ce sont des virus à ARN, enveloppés, avec certaines particularités : le génome le plus long des virus à ARN (30 kb) ; de très larges spicules d’enveloppe, donnant à la particule virale un aspect en couronne ; une relative résistance dans l’environnement et la présence dans les selles (en rapport avec cette enveloppe particulière ?).
  • Enveloped, spherical, about 120 nm in diameter. The RNA genome is associated with the N protein to form the nucleocapsid. see Neuman BW et al. for virion cryo-electron microscopy analysis. Monopartite, linear ssRNA(+) genome of 27-32kb in size (the largest of all RNA virus genomes). Capped, and polyadenylated. The leader RNA (65-89 bp) at the 5' end of the genome is also present at the end of each subgenomic RNAs.
Pour quoi ?
  • C’est la première menace de pandémie du troisième millénaire. Cette pneumonie sévère, apparue en novembre 2002 dans la province de Guangdong (ex Canton) en Chine, a diffusé jusqu’en avril 2003, touchant plus de 8000 personnes. Elle est due à un virus nouveau, d’origine très probablement animale (la civette), les coronavirus humains déjà connus ne donnant que des rhumes. L’implication de ce nouveau virus comme agent du SRAS a été démontrée par la reproduction de la maladie chez le singe (cynomolgus).
  • Physiopathologie : Le SRAS diffère de la grippe par les caractères suivants : mortalité plus élevée (10 %) ; incubation plus longue (six jours, avec des extrêmes de 14 jours) ; caractère généralisé de l’infection (le virus est présent dans les sécrétions respiratoires, mais aussi dans les urines, les selles, le sang) ; pic de multiplication virale relativement tardif (10 jours après le début des signes cliniques) ; rareté des affections asymptomatiques ; fréquence de la pneumonie plus grande chez l’adulte que chez l’enfant (comme pour la pneumonie de la varicelle) ; contagiosité limitée (deux à quatre cas secondaires par cas index, mais exceptionnellement beaucoup plus ; pour la grippe, c’est 5 à 10 cas, voire 15 en cas de pandémie) ; diffusion nosocomiale importante parmi le personnel (« maladie des blouses blanches ») ; enfin contrôle possible de l’épidémie par des mesures d’hygiène (isolement, quarantaine, bannissement des aérosols) dès que les cas sont reconnus.
  • Diagnotic virologique : La difficulté de leur isolement en culture de cellules, la bénignité du rhume et l’absence de traitement antiviral font que le diagnostic virologique, hors enquêtes spécifiques, n’en est pas fait. En phase aiguë, on recherche le génome viral par RT-PCR en temps réel sur les sécrétions respiratoires, les urines, les selles. Le diagnostic rétrospectif peut se faire par la recherche d’une séroconversion sur deux prélèvements sériques, précoce et tardif (IF ou ELISA… si le patient survit).
  • Traitement : Il n’y a actuellement pas de traitement antiviral validé. La question : cette épidémie liée à une zoonose peut-elle reprendre tous les ans ? Importance de la surveillance en Chine de la civette et autres animaux sauvages vendus sur les marchés et utilisés en plats cuisinés.
Comment ?
  • REPLICATION CYTOPLASMIC :
  1. Attachement of the viral S protein (maybe also HE if present) to host receptors mediates endocytosis of the virus into the host cell.
  2. Fusion of virus membrane with the endosomal membrane (probably mediated by S2), ssRNA(+) genome is released into the cytoplasm.
  3. Synthesis and proteolytic cleavage of the replicase polyprotein.
  4. Replication occurs in viral factories. A dsRNA genome is synthesized from the genomic ssRNA(+).
  5. The dsRNA genome is transcribed/replicated thereby providing viral mRNAs/new ssRNA(+) genomes. GENE EXPRESSION : The virion RNA is infectious and serves as both the genome and viral messenger RNA. Genomic RNA encodes ORF1a, as for ORF1b, it is translated by ribosomal frameshifting. Resulting polyproteins pp1a and pp1ab are processed into the viral polymerase (RdRp) and other non-structural proteins involved in RNA synthesis. Structural proteins are expressed as subgenomic RNAs.
  6. Synthesis of structural proteins encoded by subgenomic mRNAs.
  7. Assembly and budding at membranes of the endoplasmic reticulum (ER), the intermediate compartments, and/or the Golgi complex.
  8. Release of new virions by exocytosis. A SARS-CoV-infected cell with virus particles in vesicles, which appear to migrate toward the cell surface and fuse with the plasma membrane, releasing the viral particles. Many of the particles adhere to the plasma membrane, creating a characteristic knob-like appearance on the surface of the cell.

 

5 : Tests de séropositivité

Le test de dépistage du SIDA comme du Corona se fait en différentes étapes, de plus en plus complexes donc précises mais chères, donc que l’on effectue en cas de séropositivité suspectée : Ouchterlony → ELISA → WESTERN BLOT
si le test d’Ouchterlony est positif on effectue le test ELISA :
  1. Mettre en contact le serum (sang sans globules) du patient à tester avec les antigènes (morceaux de VIH, de COV2…)
  2. Rincer pour éliminer tout ce qui n’est pas fixé, si le serum à tester contient des anticorps contre l’antigène, ces anticorps vont se fixer à l’antigène et donner des complexes immuns, invisibles à l’oeil nu, d’où la suite du test :
  3. Ajouter des anticorps-traceurs reconnaissant les complexes immuns
  4. Rincer pour éliminer tout ce qui n’est pas fixé, si les complexes immuns se sont formés, les anticorps-traceurs restent fixés
  5. Ajouter le révélateur : les anticorps-traceurs sont des anticorps sur lesquels on a fixé une enzyme, le révélateur est un substrat de l’enzyme, la réaction est colorée. Si l’enzyme rencontre son substrat une couleur apparaît : on peut donc voir qu’il y a eu réaction
Logiciel ELISA de Fusin à télécharger : http://svt.ac-rouen.fr/perso/documents.htm
TP à effectuer virtuellement en cliquant à la souris
si ELISA positif avec le sérum du patient => Ac dans sérum = séropositivité
si ELISA est positif on effectue le WESTERN BLOT

 

6: Sitographie SIDA

Photos-dessins VIH :
courbe SIDA expliquée :
Mode d'action du VIH, maladies opportunistes

Bilan : Le phénotype immunitaire au cours de la vie

Une fois formés, certains effecteurs de l'immunité adaptative sont conservés grâce à des cellules-mémoires à longue durée de vie. Cette mémoire immunitaire permet une réponse secondaire à l'antigène plus rapide et quantitativement plus importante qui assure une protection de l'organisme vis-à-vis de cet antigène. Le phénotype immunitaire d'un individu se forme au gré des expositions aux antigènes et permet son adaptation à l'environnement. La production aléatoire de lymphocytes naïfs est continue tout au long de la vie mais, au fil du temps, le pool des lymphocytes mémoires augmente.
pour voir si vous avez compris : (docs dispos sur le cloud)
TP : Tracé d'un plan de Wadati-Benioff (subduction) avec un logiciel tableur 
Principe
Afin de comparer le plan de subduction de deux zones de subduction du Chili et de Tonga-kermadec, construire deux graphes avec les foyers des séismes.

3/ Evolution lithosphérique

Animations :
au fur et à mesure de son éloignement de la dorsale, la lithosphère océanique s'épaissit (par refroidissement + poids de la sédimentation qui s'accumule) et devient plus dense, jusqu'à dépasser la densité de l'asthénosphère. Au bout de 50 à 180 Ma, la densité de la lithosphère dépasse celle de l’asthénosphère, ce qui permet sa subduction. Cette différence de densité est considérée comme le moteur principal de la tectonique des plaques.
- Discuter les relations entre vitesse d’accrétion et pourcentage de subduction aux frontières de plaques.
- En considérant la densité moyenne de la lithosphère et celle de l’asthénosphère, déterminer l’épaisseur et l’âge de la lithosphère qui induiraient un déséquilibre gravitaire. Confronter les valeurs aux situations réellement observées.
La mobilité des plaques lithosphériques résulte de phénomènes de convection impliquant les plaques elles-mêmes et l’ensemble du manteau.
L’augmentation de la densité de la lithosphère constitue un facteur important contrôlant la subduction et, par suite, les mouvements descendants de la convection. Ceux-ci participent à leur tour à la mise en place des mouvements ascendants.

Bilan / La dynamique des zones de subduction
Connaissances
La lithosphère océanique plonge en profondeur au niveau d’une zone de subduction.
Les zones de subduction sont le siège d’un magmatisme sur la plaque chevauchante.
Le volcanisme est de type explosif : les roches mises en place montrent une diversité pétrologique mais leur minéralogie atteste toujours de magmas riches en eau.
Ces magmas sont issus de la fusion partielle du coin de manteau situé sous la plaque chevauchante ; ils peuvent s'exprimer en surface ou peuvent cristalliser en profondeur, sous forme de massifs plutoniques. Ils peuvent subir des modifications lors de leur ascension, ce qui explique la diversité des roches.
La fusion partielle des péridotites est favorisée par l’hydratation du coin de manteau.
Les fluides hydratant le coin de manteau sont apportés par des transformations minéralogiques affectant le panneau en subduction, dont une partie a été hydratée au niveau des zones de dorsales.
La mobilité des plaques lithosphériques résulte de phénomènes de convection impliquant les plaques elles-mêmes et l’ensemble du manteau.
L’augmentation de la densité de la lithosphère constitue un facteur important contrôlant la subduction et, par suite, les mouvements descendants de la convection. Ceux-ci participent à leur tour à la mise en place des mouvements ascendants.
Capacités
- Analyser les résultats de différentes méthodes pour identifier le plan de Wadati-Benioff.
- Relier la minéralogie des roches (présence de minéraux hydroxylés) mises en place (andésite, rhyolite, granites) et l'état d'hydratation du magma.
- Utiliser le diagramme de phases des péridotites pour montrer les effets de l’hydratation.
- Comparer la minéralogie d'échantillons illustrant la déshydratation de la lithosphère (schiste bleu ; éclogite).
- Discuter les relations entre vitesse d’accrétion et pourcentage de subduction aux frontières de plaques.
- En considérant la densité moyenne de la lithosphère et celle de l’asthénosphère, déterminer l’épaisseur et l’âge de la lithosphère qui induiraient un déséquilibre gravitaire. Confronter les valeurs aux situations réellement observées.