jeudi 22 mai 2014

5.1/ Une vie plantée mais nourrie

A1/ Observation de tissus végétaux / microscope

Réalisation des empreintes des surfaces foliaires du végétal étudié avec du vernis ou Prélevement des lambeaux d’épiderme des deux faces de la feuille (face supérieure et face inférieure) (manuel p.99)
dessin – titre – grossissement - légende :
cellule épidermique, cellule stomatique, ostiole
Observation ou réalisation des coupe de feuille et repérage des chambres sous-stomatiques et des vaisseaux. (manuel p.99)
dessin – titre – grossissement - légende :
chambres sous-stomatiques, vaisseaux, cuticule, épiderme
Observation microscopique de poils absorbants (manuel p.98)
dessin – titre – grossissement – légende :
épiderme, poil absorbant
Observation ou Réalisation de coupe transversales de racine, de tige, de feuille et repérage des vaisseaux . (manuel p.100-101)
dessin – titre – grossissement – légende :
épiderme, xylème, phloème
Racine placée 5 à 30' dans un colorant – microscope
absorption de l'eau et des minéraux par la racine
Tige d'impatient ou de céléri placée plusieurs jours dans un colorant (rouge de Me) – coupe transversale (manuel doc.1p.100)
circulation ascendante de sève brute (eau + minéraux) / xylème
circulation descendante de sève élaborée (eau + nutriments) / phloème
Les cellules spécialisées dans l'acheminenment des fluides sont, en règle générale, réunies en faisceaux conducteurs. Chaque faisceau conducteur est typiquement constitué de xylème (partie ligneuse) et de phloème (liber). Le xylème contient les cellules conductrices de sève brute, donc les trachéides et trachées, trandis que le phloème sert au transport de sève élaborée et se compose, pour cette raison, de tubes criblé accompagnés de cellules compagnes, ou bien de cellules criblées. En outre des cellules parenchymateuses peuvent apparaître aussi bien dans le xylème que dans le phloème. Les faisceaux conducteurs sont souvent entourés d'une paroi protectrice. Celle-ci est composée d'une ou plusieurs couches de cellules qui ont une structure différente de celle des cellules du tissus voisin. Il y a plusieurs types de faisceaux conducteurs qui se diffèrencient par la position du xylème et du phloème, ainsi que par l'abscence ou la présence d'un cambium. Tous les grands organes végétaux contiennent des faisceaux conducteurs. Ainsi les tiges sont elles parcourues par plusieurs faisceaux conducteurs dont la structure et la disposition diffère en fonction de l'espèce végétale. (Anatomie végétale de Gerlach & Lieder Ed. Hagemann)
différentes expériences sur l'absorption de l'eau : http://www.svt.edunet.tn/jendouba/tabarka1/cours.htm

A2/ comparaison de surfaces d'échanges / tableaux

Problèmes : Comment l’organisation de la plante lui permet-elle, tout en étant fixée, de
  1. puiser dans l’air suffisamment d’éléments nutritifs ?
  2. puiser dans le sol suffisamment d’éléments nutritifs ?
  3. faire circuler suffisamment d’éléments nutritifs des racines vers les feuilles ?

Les échanges gazeux se font entre l’atmosphère et l’être vivant par des orifices ; à l’intérieur de l’organisme il existe des espaces gazeux ou se font les échanges, cependant les stomates (orifices) sont nombreux chez la plante, les échanges se font ensuite directement entre les espaces gazeux et les cellules ;
ils permettent :
◦ les échanges de la respiration, analogie avec les alvéoles pulmonaires : la surface d’échange est 50 à 80 fois plus importante que chez l’Homme ;
◦ mais surtout l’absorption du CO2 , un élément nutritif de la plante indispensable à la synthèse de matière organique par la photosynthèse, analogie avec l’intestin : la surface d’échange est 20 à 60 fois plus importante que chez l’Homme.
Chez le mammifère il existe seulement deux types d’orifices (les narines et la bouche chez l’Homme), les échanges se font indirectement entre les alvéoles et les cellules : les gaz sont transportés par le sang.

L’entrée de l’eau et des sels minéraux se fait au niveau de grandes surfaces externes et souterraines chez les végétaux directement au contact de ces ressources, la surface d’échange est 70 à 200 fois plus importante que celle de l’Homme ; internes chez les mammifères qui doivent se déplacer pour les rechercher dans leur environnement.
La plante utilisant une énergie ubiquiste [ubique : partout] n’a pas besoin de se déplacer à sa recherche, elle peut donc être fixée, cependant son flux faible l’oblige à développer un grand nombre de feuilles et une surface d’échange très grande pour absorber le CO2 nécessaire à la photosynthèse.
Pour se procurer l’eau et les sels minéraux, elle doit développer des surfaces d’échanges qui vont puiser directement ces molécules à la source, c’est à dire dans le sol où ces ressources sont rares, elle développe de longues racines et de grandes surfaces d’échanges.
D’autre part, les racines permettent à la plante de résister à la prise au vent, si elle n’était pas fixée elle ne pourrait pas se maintenir droite.
En utilisant l’énergie solaire, la plante présente des surfaces d’échanges et une forme adaptées à la vie fixée.

§ Brève histoire d'oeil

la vision dans le règne animal : http://www.snof.org/encyclopedie/la-vision-dans-le-r%C3%A8gne-animal + http://www.snof.org/encyclopedie/les-plus-grands-yeux-de-la-cr%C3%A9ation-lophtalmosaurus + http://www.futura-sciences.com/fr/doc/t/medecine-1/d/loeil-la-vision-au-dela-de-la-vision_667/c3/221/p1/
Champ visuel, vision (poly)chromatique

Film du CNRS : http://www.cnrs.fr/biodiversite2010/spip.php?article5 → multimedia → video → « œil, forme et adaptation »
§ vision dans le monde vivant ? Évolution ?

4,3/ Génétique et évolution de la vision

A1/ Comparaison des gènes des opsines / logiciels Anagène + Phylogène

Séquences des opsines pour Anagène : seq-opsines.zip : http://www.inrp.fr/Acces/biotic/evolut/mecanismes/opsines/html/telechar.htm

mercredi 21 mai 2014

A2/ Réalisation d'une coupe de sol / diaporama

Observer et schématiser :
le sol est situé à l’interface de la biosphère et de la roche mère : on y repère plusieurs couches nommées horizons.
Mots clefs : roche mère, litière, humus, horizon humifère, lessivé, d'accumulation, minéralisé

A3/ Comparaison de granites / échantillons

érosion = fragmentation physique + altération chimique (hydrolyse)
Les roches (sous-sol) sont à l'origine de l'horizon d'altération (accumulation) du sol

A4/ Observation de la microfaune du sol / échantillons

litière ---Décomposeurs---> humus → horizon humifère
rappel manip de 6e avec appareil de Berlèse : faire un schéma
utilisation de la loupe binoculaire
microfaune du sol : acariens, vers, larves d'insectes, collemboles, …
clefs de détermination :

lundi 19 mai 2014

A3/ Trajet nerveux de l'oeil au cerveau / maquette + diaporama


Message : [missus : envoyé] information nouvelle transmise à qlq'un,
Communication (Larousse) => emetteur-transmetteur-recepteur
Système nerveux = SN central + SN périphérique
SNC = cerveau (encéphale) + cervelet + tronc cérébral + moelle épinière (spinale)
SNP = périphérique = réseau des nerfs
SNA = autonome (par opposition aux fonctions conscientes) = sympathique (ortho + para)
Nerf =  ensemble de fibres nerveuses (axones)
nerf afférent = sensitif = du recepteur (œil) → SNC
nerf efférent = moteur = du SNC → muscle
Neurone = cellule nerveuse, unité fondamentale cellulaire du système nerveux = soma + axone + dendrites
Le message nerveux issu de l’oeil est acheminé au cerveau par le nerf optique.
cortex, substance blanche / grise

A4/ Action du LSD sur le SN / dossier www

voir chap 3 / zones du plaisir
drogues LSD

A5/ Exemples d'apprentissage / manuel p.361

maturation du système nerveux, apprentissage, mémorisation et plasticité cérébrale

B42/ Traitement biologique des images

Plusieurs aires corticales participent à la vision. L’imagerie fonctionnelle du cerveau permet d’observer leur activation lorsque l’on observe des formes, des mouvements. La reconnaissance des formes nécessite une collaboration entre les fonctions visuelles et la mémoire.
Des substances comme le LSD perturbent le fonctionnement des aires cérébrales associées à la vision et provoquent des hallucinations qui peuvent dériver vers des perturbations cérébrales graves et définitives.
La mise en place du phénotype fonctionnel du système cérébral impliqué dans la vision repose sur des structures cérébrales innées, issues de l’évolution et sur la plasticité cérébrale au cours de l’histoire personnelle. De même la mémoire nécessaire par exemple à la reconnaissance d’un visage ou d’un mot repose sur la plasticité du cerveau. L’apprentissage repose sur la plasticité cérébrale. Il nécessite la sollicitation répétée des mêmes circuits neuroniques.
tp plantes