vendredi 14 octobre 2016

Long-Forgotten Research Unearths New Mystery About Lyme Disease

Discovery sparks questions about factors that may make ailment harder to cure or lead to misdiagnosis
A deer tick. Credit: U.S. DEPARTMENT OF AGRICULTURE Flickr
ev µscop roches

jeudi 13 octobre 2016

§ Quelle est l'origine du volcanisme continental ?

Attention : Evaluation le 10/11/16

FT/ épreuve du Bac/ doc

© FT_BAC.odt

§ Quelle est l'origine du volcanisme continental ?

1.4/ Le magmatisme en zone de subduction : une production de nouveaux matériaux continentaux

1,4,1/ Des roches magmatiques continentales

A1 : Les conditions pour produire un magma / diagrammes de phases

© origin magma.odg
à partir des diagrammes de phases de la péridotite et magmatisme : http://www.tulane.edu/~sanelson/eens211/earths_interior.htm
=> globalement peu de fusion dans le manteau
-> fusion partielle par hydratation du manteau au dessus des plaques en subduction

A2 : modélisation moléculaire des minéraux

modélisation structures moléculaires minérales par Merkel : http://www.le.ac.uk/eg/spg3/atomic.html bn
modélisation des formes cristallines: http://webmineral.com/crystall.shtml
librairie de molécules :
structure cristalline

A3 : Observation de lames minces roches magmatiques / µscopes

TP_roches.odg©
granitoïdes (=granodiorite), rhyolite, andésite, …
laves enrichies en Si => visqueuses => gaz + éruptions explosives
volcanisme / plutonisme
pour apprendre à reconnaître les minéraux et roches : manuel p.398-399
atlas minerals / Siddall, London : http://www.ucl.ac.uk/~ucfbrxs/PLM/PLMhome.html
atlas de roches et minéraux webminéral BRGM :
atlas de lames minces Minéraux et roches / Aubry, Caen : http://www.discip.crdp.ac-caen.fr/svt/cgaulsvt/travaux/Micropol/index.html
article de minéralogie au microscope polarisant : http://www.svt-monde.org/spip.php?article26

1,4,2/ Modélisation globale

A4 : Répartition mondiale du volcanisme de subduction / site CNRS

A5 : Schématisation des étapes pétrograhiques / logiciel & animations

métabasalte+métagabbros contiennent des minéraux hydratés
éclogite faite de minéraux anhydres / déshydratation de métabasalte+métagabbros
=>déshydratation croûte océanique
=> hydratation manteau lithosphérique continental susjacent
=> baisse du solidus (point du fusion)
=> fusion partielle des péridotites du manteau continental
=> plutonisme (granitoïdes, diorite) + volcanisme (rhyolite, andésites) continentaux = Accrétion continentale
schéma-bilan : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html → géologie interne → subduction

B14 : Magmatisme de subduction

Les zones de subduction sont le siège d'une importante activité magmatique qui aboutit à une production de croûte continentale.
Dans les zones de subduction, des volcans émettent des laves souvent visqueuses associées à des gaz et leurs éruptions sont fréquemment explosives. La déshydratation des matériaux de la croûte océanique subduite libère de l'eau qu'elle a emmagasiné au cours de son histoire, ce qui provoque la fusion partielle des péridotites du manteau sus-jacent (de la lithosphère chevauchante). Si une fraction des magmas arrive en surface (volcanisme), la plus grande partie cristallise en profondeur et donne des roches à structure grenue de type granitoïde. Un magma, d'origine mantellique, aboutit ainsi à la création de nouveau matériau continental.

B1,3+4 : schéma-bilan

D\magmatisme et subduction.odp
© schéma-bilan
Compléter le schéma-bilan

§ quelles sont les étapes de la fabrication d'une protéine in vivo ?

1,2,2/ Etapes de la fabrication d'une protéine dans la cellule

FT/ Autoradiographie

faire une fiche technique
manuel p.397

A1 : Localisation des étapes / autoradiographie et MET

© autoradiographies pancréas
autoradiographie sur acinus pancréatique avec Leucine radioactive ou avec Uridine radioactive : http://svt.ac-creteil.fr/archives/Media/Med1S/Autoradiographie/Cel_panc_WEB.htm
Uracile* à 0' hors de la cell - 1' dans noyau - 2' ds réticulum endoplasmique
Leucine* à 0' hors de la cellule - 3' ds réticulum endoplasmique - 7' ds appareil de Golgi - 30' ds vésicules - 120' dans lumière du canal pancréatique
Noyau, cytoplasme, organites : réticulum [réseau] endoplasmique, appareil de Golgi, vésicules

A2 : Electronographie du phénomène in vitro / MET

© \Synthese proteines MET.odg
Diapo : synthese_proteines_MET.odp
transcription et phénomène d'amplification. (manuel p.41)
transcription : fabrication d'ARN à partir d'ADN
3 étapes : initiation - élongation – terminaison
amplification
traduction et phénomène d'amplification. (manuel p.45) :
traduction : fabrication de polypeptide à partir d'ARN
en 3 étapes : initiation - élongation – terminaison
amplification
ribosomes, poly(ribo)somes
autres photos :
maturation

B122 : schématisation sur la synthèse des protéines

© synthese_proteines_schbil.odg
4 novembre

Test / protéosynthèse

§ quelles sont les étapes de la fabrication d'une protéine in vivo ?

1,2,2/ Etapes de la fabrication d'une protéine dans la cellule

FT/ Autoradiographie

faire une fiche technique
manuel p.397

A1 : Localisation des étapes / autoradiographie et MET

© autoradiographies pancréas
autoradiographie sur acinus pancréatique avec Leucine radioactive ou avec Uridine radioactive : http://svt.ac-creteil.fr/archives/Media/Med1S/Autoradiographie/Cel_panc_WEB.htm
Uracile* à 0' hors de la cell - 1' dans noyau - 2' ds réticulum endoplasmique
Leucine* à 0' hors de la cellule - 3' ds réticulum endoplasmique - 7' ds appareil de Golgi - 30' ds vésicules - 120' dans lumière du canal pancréatique
Noyau, cytoplasme, organites : réticulum [réseau] endoplasmique, appareil de Golgi, vésicules

A2 : Electronographie du phénomène in vitro / MET

© \Synthese proteines MET.odg
Diapo : synthese_proteines_MET.odp
transcription et phénomène d'amplification. (manuel p.41)
transcription : fabrication d'ARN à partir d'ADN
3 étapes : initiation - élongation – terminaison
amplification
traduction et phénomène d'amplification. (manuel p.45) :
traduction : fabrication de polypeptide à partir d'ARN
en 3 étapes : initiation - élongation – terminaison
amplification
ribosomes, poly(ribo)somes
autres photos :
maturation

B122 : schématisation sur la synthèse des protéines

© synthese_proteines_schbil.odg
4 novembre

Test / protéosynthèse

 

mercredi 12 octobre 2016

Lateral Gene Transfer Between Humans and Microbes | The Scientist Magazine®

Lateral Gene Transfer Between Humans and Microbes | The Scientist Magazine®: Bacteria inhabit most tissues in the human body, and genes from some of these microbes have made their way to the human genome. Could this genetic transfer contribute to diseases such as cancer?

The Body's Ecosystem | The Scientist Magazine®

The Body's Ecosystem | The Scientist Magazine®: Research on the human microbiome is booming, and scientists have moved from simply taking stock of gut flora to understanding the influence of microbes throughout the body.

mardi 11 octobre 2016

Les séismes lents peuvent déclencher des secousses

Dans les zones de subduction, où une plaque tectonique plonge sous une autre, des glissements lents et imperceptibles appelés « séismes lents » peuvent déclencher un peu plus loin des secousses puissantes. C'est ce que viennent de montrer des chercheurs du CNRS, de l'Université Grenoble Alpes et de l'IRD, en collaboration avec des collègues de l'université de Mexico (Mexique). Leur étude est publiée le 3 octobre 2016 dans la revue Nature Geoscience.

Staphylocoque doré : décryptage d'une stratégie de résistance à certains antimicrobiens

La présence naturelle d'acides gras dans le corps humain favorise l'émergence de la résistance du staphylocoque doré à une classe d'antimicrobiens ciblant la voie de biosynthèse des acides gras bactériens. C'est ce que révèlent des chercheurs de l'Inra en collaboration avec l'Inserm, l'AP-HP (hôpital Cochin), l'Université Paris Descartes, l'Institut Pasteur et le CNRS dans un article publié le 5 octobre 2016 dans Nature Communications . A l'heure où le développement de nouveaux antibiotiques est un objectif de recherche prioritaire, ces travaux montrent qu'il est essentiel d'étudier également l'adaptation évolutive des bactéries à ces molécules.

L'origine du parfum de la reine de Saba

C'est l'un des plus anciens parfums au monde. L'équipe de Nicolas Baldovini de l'Institut de chimie de Nice (CNRS/UNS) vient de découvrir quels sont les composants qui confèrent à l'encens son odeur caractéristique. Il s'agit de deux molécules trouvées pour la première fois dans la nature, baptisées « acides olibaniques » par les scientifiques. Les résultats de ses travaux viennent d'être publiés en ligne sur le site de la revue Angewandte Chemie International Edition.

Le microbiote intestinal à la rescousse des chimiothérapies

Deux espèces bactériennes présentes dans l'intestin boostent l'efficacité des chimiothérapies à base de cyclophosphamide en optimisant l'immunité anti-tumorale induite par ce médicament. C'est ce qu'affirment des chercheurs de l'Inserm, de Gustave Roussy, du CNRS, de l'Institut Pasteur de Lille, et des universités Paris Sud et de Lille dans un article publié le 4 octobre dans la revue Immunity .

§ comment l'action des enzymes varie-t-elle ?

A5 : Modélisation moléculaire / Rastop

© TP_Amylase Rastop Anagène.odt
Le mode d'action des enzymes est lié à la structure spatiale de la molécule (protéine) : la double spécificité (d'action et de substrat) repose sur la forme du site actif qui permet la formation du complexe enzyme-substrat et ainsi la catalyse de la réaction. La forme du site actif de l'enzyme dépend de la séquence polypeptidique (en acides aminés) qui la compose.
corrigé EX2,2 bac S 2015 Amérique du nord
B
Démarche
Partie Sc
Éléments tirés des documents
Connaissances
1
Incohérente
Insuffisante
doc 1 : tubes = 1+2 témoins,
tub3 : digestion lactose / enz β-gal


doc 2 : ut° lact / bact → gaz + acides → iritations → intolérance


doc 3 :
faible prod d'enz et bcp bact
=> peu dig° lactose et bcp prod dérivés
=> intolérance
alors que les pers tolérantes prod bcp d'enz => digestion lactose


doc réf :
digestion intestin grêle avant colon
=> intervention enz avant bactéries
symptômes liés au doc 2


doc 4 : recommandations :
éviter lait et prod laitiers,
préférer fromages et beurre
Lactose = glucide du lait


Glucide
Dioside comp de 2 oses


Enzyme digestive,


T° d'act enz = protéines / gènes
=> 37°C corps humain


pH act enz
=> bact ds colon # int


Fermentation : dégradation incomplète => résidus alcool ou acide
2
Maladroite
3
moyenne
4
Cohérente :
Introduction :
déf°, problématique, plan
Organisation faits et idées : docs 1324
analyse puis recom°
Conclusion :
bilan, ouverture
5
suffisante

Expliquer l'origine des symptômes de cette fréquente intolérance au
lactose. Puis, proposer quelques recommandations alimentaires
succinctes à destination des personnes intolérantes au lactose.
Le lactose est un glucide que l’on retrouve dans le lait et auquel beaucoup de
personnes sont intolérantes. C’est notamment le cas de Leonard Hofstadter.
On cherche à comprendre quelle est l’origine des symptômes liés à cette
intolérance et à trouver des alternatives alimentaires pour les personnes
intolérantes à ce glucide.
Le document 1 nous apprend que le lactose doit être hydrolysé en glucose et
en galactose avant de pouvoir être assimilable. De même il donne les résultats
obtenus lors d’une expérience qui visait à réaliser des tests de présence de
glucose dans différents tubes.
Le premier tube contient simplement du lactose, tandis que le second tube
contient du β-galactosidase et le troisième tube contient les deux substances.
Or on observe que seul le tube contenant à la fois du lactose et du β-
galactosidase contient du glucose après 15 minutes de bain-marie.
On peut donc en déduire que c’est le β-galactosidase qui permet l’hydrolyse du
lactose en glucose.
Le document 3 nous apprend que les symptômes d’une intolérance au lactose
sont des ballonnements, des diarrhées ainsi que des douleurs abdominales. On
observe que les personnes intolérantes au lactose ont beaucoup de bactéries
fermentaires dans le colon et peu, voir pas, de β-galactosidase. Les personnes
tolérantes au lactose quant à elles ont beaucoup de bactéries fermentaires et
de β- galactosidases.
Le document de référence qui correspond à un schéma des organes
nécessaires à l’appareil digestif, nous permet de comprendre que le colon se
situe au niveau de l’abdomen et que l’intestin grêle se situe avant le colon. Or
nous savons que l’absorption à lieu dans l’intestin. De même, d’après le
document 1, on sait que le lactose doit nécessairement être hydrolysé par les
β-galactosidase pour être assimilable.
On peut donc facilement en déduire que si une personne ne possède pas de β-
galactosidase, alors le lactose ne pourra pas être assimilé dans l’intestin. Le
lactose ira par la suite dans le colon et y retrouvera les bactéries fermentaires.
Le document 2 met en évidence le fait que certaines bactéries utilisent le
lactose pour réaliser la fermentation, et produisent ainsi des gaz et des acides
organiques qui sont parfois irritants.
On en déduit que si du lactose entre en contact avec ces bactéries, cela va
donner naissance aux symptômes de l’intolérance au lactose. Ce sont donc en
partie ces bactéries qui en sont responsables.
En conclusion préliminaire nous pouvons affirmer que les personnes
intolérantes au lactose n’ont pas de β-galactosidases, qui sont des enzymes
nécessaires à l’hydrolyse du lactose pour son assimilation. Le lactose ne va
donc pas être assimilé dans l’intestin et va poursuivre sa route dans le colon.
Cependant, on observe la présence de bactéries fermentaires dans le colon.
Ces dernières utilisent le lactose pour fermenter et cela va être à l’origine des
symptômes de l’intolérance au lactose.
Le document 4 nous montre la teneur en lactose de différents aliments. On
observe dans un premier temps que le lait de brebis contient moins de lactose
que le lait entier et le petit lait. En effet il en contient 9 g pour 2 dL contre 10 g
pour 2 dL. On remarque également que le fromage ne contient que peu de
lactose, il en contient en effet généralement moins de 0,1 g pour 40 g de
fromage. En ce qui concerne les crèmes desserts, on observe que c’est le
fromage blanc qui contient le moins de lactose, en effet il n’en contient que 6 g
pour 200 g de fromage blanc. Alors que les crèmes glacées contiennent 5 g de
lactose pour 70 g de dessert. La crème et le beurre quant à eux, contiennent
peu de lactose, en effet, pour 10 g de beurre ou de margarine, il n’y a que des
traces de lactose.
Pour les personnes intolérantes au lactose, il est préférable d’éviter le lait ainsi
que les crèmes desserts. Il faut favoriser les produits laitiers tels que le
fromage. Les produits tels que le beurre ou la crème sont également tolérés de
par leur faible teneur en lactose.
Pour finir, on peut dire que les symptômes de l’intolérance au lactose
proviennent de l’absence de β- galactosidases, qui sont supposés hydrolyser le
lactose. Le lactose n’étant donc pas hydrolysé, il ne va pas être assimilé et va
descendre dans le colon, où des bactéries vont s’en servir pour réaliser un
métabolisme de fermentation. Cela va créer des gaz, qui seront à l’origine des
symptômes. Pour éviter cela il est préférable de choisir des produits laitiers
avec une faible teneur en lactose.

http://www.sujetdebac.fr/annales/s-svt-specialite-2015-amerique-nord

lundi 10 octobre 2016

§ Comment reconstituer l'histoire d'une chaîne de montagnes ?

A7 : Modélisation du plan de Wadati- Benioff / SIG

Rappel 1S : sismolog et educarte déjà utilisés
© TS TP subduction.odt
des séismes et du volcanisme => arc et chaîne de montagnes
mise en évidence du plan de Wadati Benioff : http://svt.ac-dijon.fr/dyn/IMG/Subduction_ocean_continent.jpg
Réponse \1S_TP_point_chaud.odg
en s’éloignant de la dorsale, la lithosphère océanique s’épaissit, s’hydrate et se densifie
=> dépasse la densité de l’asthéno => subd°
=> l'âge de la LO ne dépasse pas 200 Ma
=> âge de la plaque # distance de la dorsale # pente du plan de WB

A3 : reconstitution de l'histoire d'une chaine de montagnes

D / histoire des Alpes

B : Schématisation de l'accrétion océanique à la collision continentale / animations + schéma

schéma-bilan subduction
Animation simple : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html → géologie interne → dorsale : accrétion
en s’éloignant de la dorsale, la lithosphère océanique s’épaissit, s’hydrate et se densifie
=> dépasse la densité de l’asthéno => subd° => ne dépasse pas 200 Ma
transformation minéralogique en profondeur / subduction

B13 : Métamorphisme de subduction

Les chaînes de montagnes présentent souvent les traces d'un domaine océanique disparu (ophiolites) et d'anciennes marges continentales passives (failles normales). La « suture » de matériaux océaniques résulte de l'affrontement de deux lithosphères continentales (collision). Tandis que l'essentiel de la lithosphère continentale continue de subduire, la partie supérieure de la croûte s'épaissit par empilement de nappes dans la zone de contact entre les deux plaques. Les matériaux océaniques et continentaux montrent les traces d'une transformation minéralogique (métamorphisme) à grande profondeur au cours de la subduction. La différence de densité entre l'asthénosphère et la lithosphère océanique âgée est la principale cause de la subduction. En s'éloignant de la dorsale, la lithosphère océanique se refroidit et s'épaissit. L'augmentation de sa densité au-delà d'un seuil d'équilibre explique son plongement dans l'asthénosphère, et c'est aussi pourquoi son âge n'excède pas 200 Ma en surface.
Les indices de subduction ou de collision doivent pouvoir être reconnus sur divers types de documents. La succession est présentée comme un scénario type, jamais parfaitement réalisé sur le terrain. Le rôle moteur de la traction par la lithosphère océanique plongeante complète la compréhension de la tectonique des plaques.