vendredi 7 avril 2017

§ Comment se fait la régulation des systèmes ?

A2 : Expériences sur le rôle du complexe hypothalamo-hypophysaire chez le

Dia exp sur complexe HTHP
effet de la castration sur la sécrétion LH chez un bélier :
testostérone chez l’homme : sécrétion pulsatile :
Hypophyse → LH + FSH
cellules intersticielles de Leydig → testostérone
Rétrocontrôle = feedback
Hypothalamus → GnRH
cellules de Sertoli → inhibine
sécrétion pulsatile
7 mai
Bac blanc : prg et durée : géol & génétique, 2h30, jeudi
sortie géol : 4 mai + autorisation et 8€
\sortie géologique 1S lettre aux parents.odt

A3 : Localisation de l'axe hypothalamo-hypophysaire

Diap\hypothalmus-physe.ppt
Maquette
hypothalamus, tige pituitaire, hypophyse
GnRH =  Gonadotropin Releasing Hormone = Gonadolibérine
FSH = Follicle Stimulating Hormone = gonadostimuline = gonadotrophine
LH = Luteinizing Hormone = gonadostimuline = gonadotrophine

A4 : Expériences sur le rôle du complexe hypothalamo-hypophysaire chez la

Dia exp sur complexe HΘHΦ
lésion de l’hypothalamus puis perfusion chez une guenon :
injections GnRH / Gueunon :
cellules folliculaires (granulosa + thèque)→ oestradiol (oestrogènes)
cellules lutéales (corps jaune) → progestérone (progestagènes)
Effet d’une ovariectomie sur la sécrétion de LH et FSH :
taux hormonaux chez guenon ovarectomisée :
injection oestradiol à femelle macaque :

jeudi 6 avril 2017

§ Comment les gamètes sont-ils produits ?

A4 : Observation de gonades et gamètes ♀ / microscope + dessin

TP observation microscopique de coupes de ovaires & utérus
comparer une lame en phase lutéale // folliculaire ; impubère // pubère ; follicule primaire // de Graaf 
réaliser un dessin + titre + grossissement + légende
sites d'histologie gynécologiques :
Female Reproductive System Ultrastructure : http://www.udel.edu/biology/Wags/histopage/empage/efr/efr.htm
dessins :
ovaire avec différents stades : http://www.fao.org/docrep/009/t0121f/T0121F15.gif

§ comment l'organisme se défend-t-il contre une infection ?

4,1,2/ Généralisation et systématique cellulaire

A1 : Nomenclature des cellules de l'immunité

© immuno_cellules.odg
Diapo : immuno-cell-sang.odp
cell au MET :
http://www.jle.com/e-docs/00/04/12/2C/texte_alt_jleabc00134_gr1.jpg
Syst immunitaire hom
Origine cell immun
  • thrombocytes = plaquettes
  • érythrocytes → globules rouges = hématies
  • leucocytes = globules blancs
Organes lymphoïdes : rate, appendice, ganglions …
7 mai
cellules immunitaires = leucocytes = globules blancs : macrophage, monocyte, granulocyte, phagocyte, mastocyte, lymphocyte

bac blanc correction BB Ex2.2

2ème PARTIE – Exercice 2 (ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE). 5 points
B Démarche Partie Sc : Éléments tirés des documents Connaissances : définitions
1 Incohérente Insuffisante
Doc1 : croisement → interfecondité et fertilité => une seule espèce
Doc 2a : pas d'oeil chez embryon => absence de développement de l'oeil
Doc 2b : arrêt de croissance puis dégénerescence de l'oeil
Doc 3 exp1 : gène shh s'exprime plus chez cavernicole que surface => empèche le dev / pb localisation expression
Doc 3 exp2 : expérience pour montrer que c'est bien le gène shh qui empèche le développement
Espèce : isolement reproductif, descendance fertile laps de temps fini
expression d'un gène : ARNm → protéine
gène de développement = architecte (homéotique) : place des organes pendant l'organogénèse
chronologie, intensité, localisation de l'expression d'un gène
2 Maladroite
3 moyenne
4 Cohérente :
Introduction
déf°, pb, plan
Organisation
faits & idées
Conclusion
bilan, ouverture
5 suffisante

Pas de difficulté si l'on ne tient pas rigueur des incohérences manifestes dans le document 3. [que tout n'est pas précisé dans le doc 3]
On veut montrer que deux populations pourtant morphologiquement différentes suite à leur milieu de vie font partie d'une même espèce, et que les différences (notamment l'absence d'yeux) sont dues à la modification de l'expression d'un gène du dvt.
Doc1. Croisement de poissons de diverses populations
Selon la définition biologique de l'espèce : croisements possibles (interfécondité) et descendance fertile (= flux génétique possible donc pas d’isolement reproducteur), les individus des trois populations font bien partie d'une seule et même espèce.
Doc2. Au vu de la qualité des photos, le développement des alevins aux deux stades proposés est similaire. Si on se focalise sur l'œil (c'est la problématique), on devine bien un œil (le gauche) chez les alevins cavernicoles. Or, il disparaît chez l'adulte de 3 mois (contrairement au poisson de surface). On retrouve ceci sur le schéma du document 2b. Début du développement identique chez les deux poissons (jusqu'à 20h), puis poursuite du développement de l'œil chez le poisson de surface (jusqu'à 3 mois), arrêt de croissance et régression / dégénérescence chez le poisson cavernicole (en plus c’est écrit !). Le poisson cavernicole possède bien les gènes responsables de la mise en place des yeux, sauf que ceux-ci dégénèrent par la suite.
Doc3. Repérage des zones d'expression de trois gènes du développement : dlx3b, shh et pax2a. Chez tous les embryons, les gènes dlx3b et pax2a s’expriment dans des zones comparables. Chez l’embryon de poisson cavernicole, le gène shh s’exprime dans une zone plus large que chez l’embryon de poisson de surface (tout est écrit) => modification de la région d’expression de ce gène du développement. On injecte dans l’œil d’alevins, issus d’une population de surface, des ARNm du gène shh. Ces ARNm sont traduits dans les cellules de l’œil et permettent la production de la protéine Sonic Hedgehog. L’individu témoin (poisson de surface) possède des yeux. Ce même individu avec injection d’ARNm du gène shh ne possède pas d’œil visible => régression de l’œil. Là, si on regarde dans le détail, on a deux informations contradictoires entre les deux expériences [mais non pas du tout!]. Dans la 1, c’est un problème de région d’expression, dans la 2 c’est un problème d'intensité d'expression [non c'est aussi un pb dde localisation : injection dans l'oeil => pas d'oeil]… Quoi qu'il en soit, il y a une modification de l'expression de ce gène du développement (intensité ? Région?) qui provoque une régression de l’œil chez la population cavernicole.
Bilan : Reprendre les arguments qui montrent que les diverses populations constituent une seule et même espèce, et ceux qui montrent que les différences sont dues à une modification de l'expression du gène shh.
http://lewebpedagogique.com/bouchaud16_TS_polynesie2016



Au sein d’une espèce, les individus ont des caractères communs qui permettent de classer cette espèce, mais les individus sont tous différents. La transmission de cette diversité peut être due à la reproduction sexuée. De nombreux autres mécanismes de diversification du monde vivant existent, par exemple des modifications de l’expression de gènes de développement. On connait des poissons tétra mexicain, dont certaines populations vivent en surface, mais d’autres vivent dans des grottes. Tous les individus des grottes sont aveugles.
Est-ce que cette différence entre les populations de surface et les populations cavernicoles en fait 2 espèces différentes, ou appartiennent-elles à la même espèce ? La différence phénotypique entre ces populations est-elle le résultat d’une modification au niveau des gènes de développement ?
Document 1 : croisement entre population
Quand on croise deux poissons de 2 grottes différentes, ou deux poissons dont l’un provient de surface et l’autre d’une grotte, cela donne des alevins viables
qui se transforment en adultes fertiles qui sont donc capables de se reproduire. Les poissons de surface et des différentes grottes appartiennent à la même espèce, car le critère d’interfécondité est le critère de la définition biologique de l’espèce.
Document 2 : les stades de développement embryonnaire des poissons de surface et des poissons cavernicoles
Document 2a : On voit que les alevins se ressemblent, mais rapidement (3 jours) les poissons de surface ont des yeux alors que les cavernicoles n’en n’ont pas.
Document 2b : le début du développement embryonnaire (les 20 premières heures) est identique dans toutes les populations. Mais dès la 24ème heure, le développement change. L’œil grandit chez les alevins de poissons de surface, mais cesse rapidement de se développer et même dégénère au bout de quelques jours. La présence ou l’absence d’œil chez l’adulte est donc un problème lors du développement embryonnaire.
Document 3 : comparaison de l’expression de gènes de developpement chez les différentes populations
Expérience 1 : 3 gènes de développement s’expriment lors du développement embryonnaire chez tous les poissons, quelque soit leur lieu de vie, surface ou grotte. Les aires de l’expression des gènes dlx3b et pax2a sont les mêmes pour tous les tétras mexicains, mais l’aire d’expression du gène shh est différente. Elle est plus grande chez les alevins des poissons des grottes.
Expérience 2 : on injecte de l’ARNm du gène shh dans l’œil des alevins issus d’un croisement entre poissons de surface qui ont donc normalement des yeux. L’ARNm est la transcription du gène shh et permet la synthèse de la protéine sonic Hedgehog. On voit que ces poissons n’ont pas d’yeux. Donc c’est l’expression du gène shh dans les cellules de l’œil qui est responsable de l’absence des yeux. Ainsi, la modification de la région d’expression d’un gène du développement (le gène shh) se traduit par la modification d’un organe, l’œil. Ainsi, l’absence d’œil chez les poissons cavernicoles est une innovation qui a été conservée par la sélection naturelle, et a permis une diversification des populations au sein de la même espèce. Puis cette innovation a été transmise à tous les poissons cavernicoles.
Corrigé bac 2016 – Série S – SVT obligatoire – Polynésie www.sujetdebac.fr
http://www.sujetdebac.fr/annales-pdf/2016/s-svt-obligatoire-2016-polynesie-corrige.pdf
http://www.sujetdebac.fr/annales/s-svt-obligatoire-2016-polynesie



bac blanc correction PII Ex2.1

2ème PARTIE – Exercice 1 (3 points) 2016 Polynesie
Éléments tirés des documents
même composition chimique + « dérivent toutes de r.sed.cont. » => même origine = continentale
roches métamorphiques = > phénomène de convergence
teneur eau + ordre des roches => métamorphisme de plus en plus important de A à F
granite + courbe anatexie (solidus) => magmatisme / ultramétamorphisme => pression et/ou température
lien entre doc 1&2 : roches / domaines A 1 B 2 C 2’ D 2’’ E 3 F
conclusion : roches continentales & métamorphisme HPHT => collision

bac blanc correction ROC

1ère PARTIE : Mobilisation des connaissances (8 points).

GÉNÉTIQUE ET ÉVOLUTION : LA VIE FIXÉE CHEZ LES PLANTES

Mode de vie et organisation fonctionnelle des plantes à fleurs

Les plantes à fleurs (Angiospermes) ont un mode de vie fixée qui présente des particularités.

Montrer que certaines caractéristiques des plantes sont en rapport avec la vie fixée.

L'exposé doit être structuré avec une introduction, un développement et une conclusion. Il devra également être illustré.

correction:
caractéristiques de la plante sont en rapport avec la vie fixée à l'interface sol/air dans un milieu variable au cours du temps.
surfaces d'échanges de grande dimension avec l'atmosphère (échanges de gaz, capture de la lumière) et avec le sol (échange d'eau et d'ions).
systèmes conducteurs (xylème, pour la sève brute, phloème pour la sève élaborée) permettent les circulations de matières dans la plante, notamment entre systèmes aérien et souterrain.
structures et des mécanismes de défense (contre les agressions du milieu, les prédateurs, les variations saisonnières).
fonctionnement de la fleur permettent le rapprochement des gamètes entre plantes fixées.
pollinisation de nombreuses plantes repose sur une collaboration animal pollinisateur/plante produit d'une coévolution.
fécondation, la fleur se transforme en fruits contenant des graines.
dispersion des graines est nécessaire à la survie et à la dispersion de la descendance. Elle repose souvent sur une collaboration animal disséminateur/plante produit d'une coévolution.
Synthèse insuffisante :
hors sujet,
sans problématique,
non construite
Synthèse pertinente :
Introduction : définitions, problématique pertinente, plan
Organisation faits et idées (selon les fonctions importantes pour la vie)
Conclusion : bilan, ouverture
Connaissances insuffisantesÉléments scientifiques suffisants
Lien entre conditions du milieu et adaptations
NUTRITION
augmentation des surfaces d’échanges
comparaison avec animal
échange gaz & lumière avec l'atmosphère
stomate
schéma juste&bon
échange eau & ions avec le sol
poils absorbant
schéma juste&bon
autotrophie / photosynthèse
symbiose en rapport avec vie fixée
exemple précis
CIRCULATION de sève entre systèmes aérien et souterrain
composition sève brute et élaborée
xylème (s. brute) & phloème (s. élaborée)
moteur de circulation sève brute (gravité) & élaborée (evapotranspiration foliaire)
schéma juste&bon
DÉFENSE
milieu hostile
saisons
prédateurs
structures
mécanismes actif / passif
chimique / mécanique
exemples précis
REPRODUCTION
angio = caché
fleur
autofécondation
cellules sex. aériennes
protection des gamètes
schéma juste&bon
rep. asexuée / ¢ totipotentes
pb autopollinisation // brassage
Pollinisation
[-gamie]
exemple précis
Dissémination
[-chorie]
exemple précis
Coévolution
exemple précis
Rédaction insuffisante
Rédaction Illustration correctes
1
2
345678

mardi 4 avril 2017

Comment fonctionne la cellule musculaire ?

§ crampes & courbatures

Production d'acide lactique

Comment fonctionne la cellule musculaire ?

2,2,3 : Energie musculaire

A1 : trois métabolismes musculaires

\LES FILIERES ENERGETIQUES METABOLISME.pdf
1/ anaérobie alactique = phosphocréatine
2/ anaérobie lactique = fermentation lactique
3/ aérobie (alactique)= respiration

A2 : observation de coupes de muscles au microscope

Lames muscle : faire un dessin
stries noires & blanches

A3 : ultrastructure et composition des muscles

© muscle.odg
muscle.odp
glissements de protéines

B : Energie et mécanique musculaire1

- La fibre musculaire utilise l'ATP fourni, selon les circonstances, par la fermentation lactique ou la respiration. L'hydrolyse de l'ATP fournit l'énergie nécessaire aux glissements de protéines les unes sur les autres qui constituent le mécanisme moléculaire à la base de la contraction musculaire.
- L'ATP joue un rôle majeur dans les couplages énergétiques nécessaires au fonctionnement des cellules.
1[Les autres aspects de l'énergétique de la fibre musculaire sont exclus.] [L'étude préalable des différents exemples du programme permet d'aboutir à une conclusion générale qui ne génère pas en elle-même d'étude complémentaire.]

lundi 3 avril 2017

§ Comment se fait la régulation des systèmes ?

§ Comment se fait la régulation des systèmes ?

3,1,3 : Phénotypes sexuels moléculaires

A1 : Expériences de castration sur le contrôle hormonal du sexe / animal

© tab des exp de castration
Dia exp castrations
gonades → hormone → développement et maintien caractères sexuels et fertilité

A2 : Expériences sur le rôle du complexe hypothalamo-hypophysaire chez le

Dia exp sur complexe HTHP
effet de la castration sur la sécrétion LH chez un bélier :
testostérone chez l’homme : sécrétion pulsatile :
Hypophyse → LH + FSH
cellules intersticielles de Leydig → testostérone
Rétrocontrôle = feedback
Hypothalamus → GnRH
cellules de Sertoli → inhibine
sécrétion pulsatile

§ comment l'organisme se défend-t-il contre une infection ?

A4 : Quelques molécules (anti)inflammatoires

Diapo : immuno_aspirine.odp
À partir des documents du Manuel 3 p 279 et 3 p 283 expliquer le mode d'action d'une molécule antinflammatoire.
COX = cyclooxygénase
Nouvelles molécules anti-inflammatoires d'origine microbienne : http://www2.cnrs.fr/presse/communique/1659.htm
médiateurs chimiques de l'inflammation, réaction inflammatoire, médicaments anti-inflammatoires

C : Sitographie/ la réaction inflammatoire

B4,1,1 : réaction inflammatoire

La réaction inflammatoire aiguë en est un mécanisme essentiel. Elle fait suite à l'infection ou à la lésion d'un tissu et met en jeu des molécules à l'origine de symptômes stéréotypés (rougeur, chaleur, gonflement, douleur).
Mots-clefs : macrophages, monocytes, granulocytes, phagocytose, mastocytes, médiateur chimique de l'inflammation, réaction inflammatoire, médicament anti-inflammatoire.

4,1,2/ Généralisation et systématique cellulaire

A1 : Nomenclature des cellules de l'immunité

© immuno_cellules.odg
Diapo : immuno-cell-sang.odp
cell au MET :
http://www.jle.com/e-docs/00/04/12/2C/texte_alt_jleabc00134_gr1.jpg
Syst immunitaire hom
Origine cell immun
  • thrombocytes = plaquettes
  • érythrocytes → globules rouges = hématies
  • leucocytes = globules blancs
Organes lymphoïdes : rate, appendice, ganglions ...