vendredi 14 décembre 2018

A2 : Comparaison de deux types de divisions cellulaires

A3 : comparaison de carytoypes parents-enfants

P56, Qp57

A4 : construction d’un arbre généalogique

doc6p63

bilan à copier 
test
https://youtu.be/9RUD74obhNc

jeudi 13 décembre 2018

§ Comment la biodiversité a-t-elle pu être modifiée au cours de l'évolution ?

Correction TP anagène
pour Jeudi 20/12/2018 : DM : ex10p80

§ Comment la biodiversité a-t-elle pu être modifiée au cours de l'évolution ?

2,3/ L'évolution des espèces / de la biodiversité

Qu'est-ce qui fait évoluer ?

2,3,1/ Forces évolutives

Forces évolutives ≡ processus qui agissent sur les fréquences alléliques

A1 : Confrontation de deux allèles

Le paludisme, maladie parasitaire du globule rouge, a sélectionné la drépanocytose. En effet, les gens qui avaient le paludisme mais n’avaient pas de gène mutant (AA) étaient plus malades et mouraient davantage que les porteurs de la mutation (AS). Donc, au fil des siècles et des générations, cette mutation, qui était très rare au départ, est devenue plus fréquente. C’est d’ailleurs parce que le paludisme est très présent en Afrique, qu’elle touche beaucoup les Africains. http://www.afrik.com/article7097.html
Chaque être humain possède en principe tous les gènes de son patrimoine génétique en double exemplaire et possède donc deux gènes beta, en combinaison pouvant être AA, AS, ou SS. Seuls les individus SS sont malades. Les AS sont transmetteurs sains mais peuvent donner naissance à des enfants drépanocytaires. Ceux qui ont un des deux gènes malades, par exemple AS, sont dits hétérozygotes ; chez eux la maladie ne s'exprime pas parce que le gène normal présent suffit à contrebalancer l'effet du gène malade : il permet de fabriquer assez d'hémoglobine normale pour empêcher la destruction des globules rouges. Ceux qui ont les deux gènes malades, par exemple SS, sont dits homozygotes. Ce sont ces personnes qui sont malades drépanocytaires : chez elles aucun gene beta sain n'est là pour contrebalancer les effets des gènes malades et il n'y a que des protéines anormales d'hémoglobine produites ; ces protéines ont tendance à s'agréger entre elles et à former des cristaux, dont la croissance finit par déchirer la membrane du globule rouge, qui est alors détruit.
Il y a aussi d'autres formes homozygotes comme SC, SBT. Par rapport aux autres maladies génétiques, la drépanocytose est la plus répandue : la trisomie 21 (mongolisme) atteint un enfant sur 400 partout dans le monde, la mucoviscidose atteint 1 enfant sur 2500 en France, alors qu'on évalue à 250 en France le nombre de naissances annuelles d'enfants atteints de drépanocytose et à plus de 3000 le nombre de patients drépanocytaires suivis en région parisienne. Aux Antilles et en Guyane il y a un nouveau-né sur 260 atteint de drépanocytose ; en Afrique Intertropicale, 1 nouveau-né sur 100. Dans les détails et dans l'état actuel des connaissances, les populations touchées sont :
Celles à très haut risque : Afrique intertropicale, Inde (certaines régions) Celles à haut risque : Antilles, Amérique du Sud (Brésil), Noirs américains Celles à moyen risque : Afrique du Nord, Sicile, Grèce Celles à faible risque : Portugal, Turquie, Israël.
La drépanocytose est ainsi répandue parce qu'à l'état hétérozygote, la présence du gène drépanocytaire contribue à protéger son porteur du paludisme ( la présence de protéines d'hémoglobine anormales empêche le parasite - Plasmodium - de rentrer dans les globules rouges), et lui procure donc un avantage sélectif par rapport aux porteurs des gènes normaux AA, qui eux sont vulnérables au Plasmodium.
Pression du milieu, concurrence, survie, descendants

A2 : Simulation de la séléction naturelle

Jeu Constantino /Phalène : afficher les graphiques et interpréter
sélection naturelle : filtre à allèles par l'intermédiaire du milieu, de la reproduction, de l'alimentation, de la prédation, …

Histoire & évolution de la terre et de la vie

activité 1 : découverte de fossiles au Canada

A2 : recherche des plus vieux fossiles en Australie

1,4 : Génétique et hérédité


A1 : caryotypes de gamètes

p56-57-58

A2 : échiquier de croisement

Reprendre groupes sanguins

mercredi 12 décembre 2018

§ comment une cellule fonctionne-t-elle ? Que fait une cellule avec toutes ces molécules ?

A2 : Elaboration d'un schéma-bilan

organelle, orders in size (cell, organelle, membrane). prokaryote / eukaryote. Auto/Hétérotrophe
organite, ordres de grandeur de tailles (cellule, organite, membrane), Pro /Eucaryote, Auto/Hétérotrophe

Bilan : Réactions chimiques du vivant : métabolisme cellulaire

De nombreuses transformations chimiques se déroulent à l’intérieur de la cellule : elles constituent le métabolisme. Il est contrôlé par les conditions du milieu et par le patrimoine génétique. La cellule est un espace limité par une membrane qui échange de la matière et de l’énergie avec son environnement. Cette unité structurale et fonctionnelle commune à tous les êtres vivants est un indice de leur parenté.
Many chemical changes occur within the cell : it is called the metabolism. It is controlled by environmental conditions and by genetic heritage. The cell is a space bounded by a membrane that exchanges matter and energy with its environment. This structural and functional unit common to all living beings is an indication of their parentage.

C/ pour aller plus loin

Institut européen de chimie et de biologie : http://www.cellbiol.net/cbe/multimedia.php
Marius explore la cellule : http://www.bioclips.com/
Voyage inside the cell : http://www.sinauer.com/voyage/video.php

lundi 10 décembre 2018

§ Comment les êtres vivants se sont-ils diversifiés au cours de l'évolution ?

A2 : Quelques exemples de symbioses

DIAPOophila et Ambistoma.odp
l'algue Oophila amblystomatis et la salamandre Ambystoma maculatum : http://www.pedagogie.ac-nantes.fr/98426822/0/fiche___ressourcepedagogique/&RH=1160729734281#contenu ;
[ecto (grec) = ext // endo (grec) = int]
autres ex de symbiose :
mycorhizes.odg
  • Origine symbiotique des chloroplastes et des mitochondries
Exemples de diversification du vivant non génétique
Coévolution

A3 : Quelques cas de diversifications comportementales

Diapo : \diversifications comportementales.odp
Ethologie : étude du comportement animal
Konrad Lorenz
Des singes lavent des patates depuis quelques générations : http://sfeca.fr/LeconsEtho/macaques/macaques/media/Traditions.pdf
Diversification de populations d’oiseaux en fonction du chant : notamment chez les oiseaux-chanteurs ou oiseaux oscines (des études ont été réalisées chez la Paruline à sourcils blancs ou encore chez le Diamant mandarin) : http://universitepopulaire-sael-montelimar.fr/Files/conference_de_nicolas_mathevon.pdf
comportements nouveaux / diversifications comportementales
notion « d’empreinte » : processus d’apprentissage mis en jeu pendant le développement des jeunes et qui produit une modification durable d’un comportement. Cette empreinte pourrait être héritable, bien qu’elle ne soit pas génétique. Cette héréditabilité ne se fera que si l’empreinte affecte la valeur sélective.

B222 : Évolution non génétique des individus

Une diversification des êtres vivants est aussi possible sans modification des génomes : associations (symbioses par exemple). Chez les vertébrés, le développement de comportements nouveaux, transmis d'une génération à l'autre par voie non génétique, est aussi source de diversité : chants d'oiseaux, utilisation d'outils, etc.
Mots clefs : symbiose, comportements nouveaux

§ Rappels de 2nde...

Biodiversité.odp
film BBC « Terre », partie sur les jungles

Bilan des acquis

en 2nde : La biodiversité est à la fois la diversité des écosystèmes, la diversité des espèces et la diversité génétique au sein des espèces. Au sein de la biodiversité, des parentés existent qui fondent les groupes d’êtres vivants. Ainsi, les vertébrés ont une organisation commune. Les parentés d’organisation des espèces d’un groupe suggèrent qu’elles partagent toutes un ancêtre commun. L’état actuel de la biodiversité correspond à une étape de l’histoire du monde vivant : les espèces actuelles représentent une infime partie du total des espèces ayant existé depuis les débuts de la vie. La biodiversité se modifie au cours du temps sous l’effet de nombreux facteurs, dont l’activité humaine.

biodiversité à différentes échelles et relations de cause à effet entre la biodiversité à l’échelle des organismes et la biodiversité génétique :
  • notion de biodiversité à différentes échelles, et relations de cause à effet entre la biodiversité à l’échelle des organismes et la biodiversité génétique
  • le phénotype macroscopique dépend du phénotype cellulaire, lui-même induit par le phénotype moléculaire
  • le phénotype moléculaire dépend du patrimoine génétique de la cellule et de la nature des gènes qui s’expriment sous l’effet de l’influence de facteurs internes et externes variés
  • l’expression d’un phénotype dépend donc du génotype et de l’environnement
  • les mutations sont la source aléatoire de la diversité des allèles, fondement de la biodiversité
  • notion de caractères héréditaires, transmis lors de la reproduction sexuée, et modalités de cette transmission
  • possibilité de survenues d’anomalies lors du déroulement de la méiose, conséquences de ces anomalies, pour l’individu, mais aussi dans un contexte d’évolution du vivant
  • notion de plan d’organisation (des vertébrés)
  • notion d’homologie moléculaire (utilisées pour établir des relations de parentés)

§ Comment la biodiversité a-t-elle pu être modifiée au cours de l'évolution ?

2,3/ L'évolution des espèces / de la biodiversité

Qu'est-ce qui fait évoluer ?

2,3,1/ Forces évolutives

Forces évolutives ≡ processus qui agissent sur les fréquences alléliques

A1 : Confrontation de deux allèles