vendredi 27 mai 2016

§ Qu'est-ce qu'un neurone ?

5,2 : Neurone et fibre musculaire

25 mai

A1 : Observation de coupes de moelle, de muscle et de nerfs / µscope

Observation de coupes de moelle épinière : http://www.ann.jussieu.fr/~thiriet/csas/Glosr/Bio/Neuro/AnatME.html
→ réaliser des dessins d'observation légendéshttp://www.diplomatie.gouv.fr/fr/IMG/jpg/19gde-2.jpg
caractéristiques structurales du neurone : corps cellulaire, dendrite, axone, synapse
=>  fibres musculaires effectrices, plaque motrice

A2 : Observation de synapses / microscopie

diapo\neuro_synapse.odp
=> synapse, (bouton synaptique, neuromédiateur exocytose, fente synaptique, récepteur post-synaptique, potentiel d'action
Synapse chimique, Codage électrique en fréquence, codage chimique en concentration.

A3 : La synapse neuro-musculaire / animations

diap\neuro_synapse muscu.odp
animation fonctionnement synapse :
La jonction neuromusculaire et la contraction des muscles : http://lecerveau.mcgill.ca/flash/i/i_06/i_06_m/i_06_m_mou/i_06_m_mou.html

acétylcholine

§ Comment l'image est-elle interprétée par le cerveau ?

4,2,2/ Le message nerveux

A1 : Trajet nerveux de l'oeil au cerveau

Maquette cerveau
diaporama : \oeil_cerveau.odp
Message : [missus : envoyé] information nouvelle transmise à qlq'un,
Communication (Larousse) => emetteur-transmetteur-recepteur
Système nerveux = SN central + SN périphérique
SNC = cerveau (encéphale) + cervelet + tronc cérébral + moelle épinière (spinale)
SNP = périphérique = réseau des nerfs
SNA = autonome (par opposition aux fonctions conscientes) = sympathique (ortho + para)
Nerf =  ensemble de fibres nerveuses (axones)
nerf afférent = sensitif = du recepteur (œil) → SNC
nerf efférent = moteur = du SNC → muscle
Neurone = cellule nerveuse, unité fondamentale cellulaire du système nerveux = soma + axone + dendrites
Le message nerveux issu de l’oeil est acheminé au cerveau par le nerf optique.
cortex, substance blanche / grise

A2 : Action du LSD sur le SN / dossier www

voir chap 3 / zones du plaisir
drogues LSD

B42/ Traitement biologique des images

Des substances comme le LSD perturbent le fonctionnement des aires cérébrales associées à la vision et provoquent des hallucinations qui peuvent dériver vers des perturbations cérébrales graves et définitives.

L’apprentissage nécessite la sollicitation répétée des mêmes circuits neuroniques

§ Comment l'image est-elle interprétée par le cerveau ?

4,2/ Interprétation nerveuse des images perçues

4,2,1/ Les aires visuelles

A1 : Etudes cliniques historiques de Broca, Wernicke, Brodman / sites internets

aires corticales spécialisées Broca, Wernicke : http://svt.ac-amiens.fr/archives_svt/info/logiciels/animneuro/aires/index.htm
Fonction cognitive => aires corticales de la vision, zone cérébrale, coordination
Lister les actions à réaliser pour apprendre un mot
Collaboration des différentes aires pour lire un mot : http://svt.ac-amiens.fr/archives_svt/info/logiciels/animneuro/aires/index.htm
collaboration entre aires corticales, vision et mémoire


31 mai

A2 : Mesure de l'activité cérébrale par imagerie médicale / logiciel Eduanatomist

1S_TP_Eduanatomist.odt
Manuel p.357
FT_eduanatomistV113.odt
IRM = imagerie par résonance magnétique permet de reconstruire une image en deux dimensions puis en trois dimensions de la composition chimique et donc de la nature des tissus biologiques explorés.
IRMf = imagerie par résonance magnétique fonctionnelle permet d'enregistrer des variations hémodynamiques (variation des propriétés du flux sanguin) cérébrales locales minimes, lorsque ces zones sont stimulées.
Formation médicale en ligne pour les professionnels de santé : http://www.imaios.com/fr/e-Cours/e-MRI
imagerie fonctionnelle

AM : Exemples d'apprentissage / manuel p.361

maturation du système nerveux, apprentissage, mémorisation et plasticité cérébrale

B42/ Traitement biologique des images


Plusieurs aires corticales participent à la vision. L’imagerie fonctionnelle du cerveau permet d’observer leur activation lorsque l’on observe des formes, des mouvements. La reconnaissance des formes nécessite une collaboration entre les fonctions visuelles et la mémoire. La mémoire nécessaire par exemple à la reconnaissance d’un visage ou d’un mot repose sur la plasticité du cerveau. L’apprentissage repose sur la plasticité cérébrale.

jeudi 26 mai 2016

Quand la pollution au plomb raconte l'histoire antique de Naples

Près de deux mille ans après l'éruption du Vésuve qui détruisit Pompéi et Herculanum, certains pans de l'histoire de Naples viennent d'être reconstitués. Jusqu'à présent, historiens et archéologues s'interrogeaient sur l'impact de cette éruption volcanique sur l'aqueduc Aqua Augusta, qui alimentait en eau Naples et les cités voisines. De récentes analyses géochimiques ont permis d'établir un lien direct entre le plomb qui composait les canalisations d'eau de l'époque et celui piégé par les sédiments de l'ancien port napolitain. Elles prouvent, sans équivoque, que le réseau hydraulique a effectivement été détruit lors de l'éruption du Vésuve, en 79 après J.-C., et qu'il a fallu une quinzaine d'années pour le remplacer. Ces découvertes font l'objet d'une publication dans la revue PNAS le 16 mai 2016 par le laboratoire Archéorient – environnements et sociétés de l'Orient ancien (CNRS/Université Lumière Lyon 2)1 et le Laboratoire de géologie de Lyon : Terre, planètes et environnement (CNRS/ENS de Lyon/Université Claude Bernard Lyon 1), en collaboration avec des experts internationaux2,3.

Cartographier la dégradation des parchemins à l'échelle microscopique sans contact ni prélèvement

Une cartographie de l'état de dégradation de parchemins historiques vient d'être réalisée pour la première fois grâce à une technique de microscopie optique, précédemment optimisée pour l'imagerie du collagène dans les tissus biologiques. Ce travail a été effectué par des physiciens et chimistes de l'Université Paris-Sud, du CNRS, du Ministère de la culture et de la communication, de l'École polytechnique et de l'Université Pierre et Marie Curie. L'invasivité minimale et la rapidité de cette méthode permettent d'envisager le diagnostic sans contact ni prélèvement de grandes collections ainsi que le suivi régulier d'œuvres fragiles. Ces résultats obtenus sur des parchemins historiques dans le cadre d'une collaboration pluridisciplinaire sont publiés dans la revue Scientific Reports du 19 mai 2016.

Pollution des océans : zoom sur la fragmentation des déchets plastiques

D'abord découverts par les navigateurs, les amas de débris plastiques flottant au centre d'immenses tourbillons océaniques appelés gyres sont aujourd'hui sous la loupe des scientifiques. Pour mieux connaître la fragmentation des microplastiques sous l'effet de la lumière et de l'abrasion des vagues, des chercheurs ont combiné des analyses physico-chimiques à une modélisation statistique. Ils ont ainsi montré que les débris plastiques ont des comportements bien distincts suivant leur taille. Les plus gros flotteraient à plat à la surface de l'eau, avec une face exposée préférentiellement à la lumière du soleil. Mais les chercheurs ont observé moins de débris de petite taille (environ 1 mg) que ce que prévoit le modèle mathématique. Plusieurs hypothèses sont avancées pour expliquer ce déficit. Ces résultats ont été obtenus par des chercheurs du CNRS et de l'Université Toulouse III – Paul Sabatier1, à partir d'échantillons récoltés lors de l'Expédition 7e Continent. Ils sont publiés dans la revue Environmental Science and Technology, le 23 mai 2016.

Bruniquel : une grotte qui change notre vision de Néandertal

Dans la grotte de Bruniquel (Tarn-et-Garonne), à 336 mètres de l'entrée, des structures1 aménagées viennent d'être datées d'environ 176 500 ans. Cette découverte recule considérablement la date de fréquentation des grottes par l'Homme, la plus ancienne preuve formelle datant jusqu'ici de 38 000 ans (Chauvet). Elle place ainsi les constructions de Bruniquel parmi les premières de l'histoire de l'humanité. Par ailleurs, des traces de feu à proximité révèlent aussi que, bien avant Homo sapiens, les premiers Néandertaliens savaient utiliser le feu de manière à circuler dans un espace contraint, loin de la lumière du jour. Ces travaux, publiés le 25 mai 2016 dans Nature, ont été menés par une équipe internationale impliquant notamment Jacques Jaubert de l'université de Bordeaux, Sophie Verheyden de l'Institut royal des Sciences naturelles de Belgique (IRSNB) et Dominique Genty du CNRS, avec le soutien logistique de la Société spéléo-archéologique de Caussade, présidée par Michel Soulier. Ils ont été soutenus par le ministère de la Culture et de la Communication.Photos : Ces photos sont disponibles auprès d'Alexiane Agullo.

Bruniquel 4

© Etienne FABRE – SSAC.
Prise de mesures pour l'étude archéo-magnétique dans la grotte de Bruniquel.



Bruniquel 3

© Xavier MUTH - Get in Situ, Archéotransfert, Archéovision – SHS-3D, base photographique Pascal Mora.
Restitution 3D des structures de la grotte de Bruniquel.



Bruniquel 2

© Michel SOULIER – SSAC.
Carottage dans le plancher stalagmitique à l'intérieur de l'une des structures de la grotte de Bruniquel.



Bruniquel 7

© Michel SOULIER – SSAC.
Détail d'un foyer avec des « spéléofacts » dans la grotte de Bruniquel.



Bruniquel 5

© Salle de la grotte de Bruniquel.
Michel SOULIER – SSAC / Nature Jaubert et al.



Bruniquel 1

© Michel SOULIER – SSAC.
Prise de mesures pour l'étude archéo-magnétique dans la grotte de Bruniquel.



Bruniquel 6

© Michel SOULIER – SSAC.
Vallée de l'Aveyron à hauteur de la grotte de Bruniquel.

Sécheresse et canicule extrêmes : les prairies récupèrent mieux lorsque leur atmosphère est riche en CO2

Les évènements extrêmes climatiques, tels que les canicules et sécheresses, risquent de modifier la capacité de séquestration du carbone des écosystèmes terrestres. Grâce à une vaste expérimentation menée à l'Ecotron (CNRS) de Montpellier sur une prairie permanente de moyenne montagne, des chercheurs de l'Inra et du CNRS montrent pour la première fois que l'enrichissement en CO2 de l'atmosphère améliore la récupération de la prairie après ces évènements extrêmes, en plus de ralentir les effets négatifs du stress hydrique. Publiés en ligne dans PNAS, ces travaux révèlent l'importance de considérer l'ensemble des interactions dans l'étude des impacts du changement climatique.

Ecotron
© Hubert RAGUET/CNRS Photothèque
Prélèvement des blocs de prairie en moyenne montagne en Auvergne.

 Ecotron2
© Hubert RAGUET/CNRS Photothèque
Vue de l'intérieur d'un macrocosme de l'Ecotron avec 4 monolithes de prairies.

§ Quelles sont les conséquences de l'utilisation de l'énergie fossile ?

§ Chauffage à St Louis = 950 € / jour 
26,8 milliards de barils de pétrole consommés chaque année dans le monde
= 73 424 657 barils / jour, la moitié pour le secteur des transports
=> presque 40 000 000 barils par jour juste pour aller à l'école !?!

§ Quelles sont les conséquences de l'utilisation de l'énergie fossile ?

3.6- Utilisation anthropique de l'énergie fossile

Anthropic use of fossil energy

A1/ Liste de différentes formes d'énergie fossile / internet

combustibles fossiles : charbon, pétrole, gaz
fossil fuels : coal, petrol, gaz

A2/ Conséquences de l'utilisation de l'énergie fossile / tableau

Conséquences de l'extraction et du transport de l'énergie fossile :
  • épuisement des réserves : déséquilibre entre consommations et production : temps
  • déforestation pour creusement carrières, installations de puits, de plateformes,
  • gaz & déchets libérés lors de l'extraction
  • fuites sous marines + atmosphere = produits nocifs pour la nature : S, CO, Pb, Hg, … poussières
  • accidents
    • marées noires => pb biodiversité
    • coup de grisou = accident minier, éboulement, ,
    • incendies
conséquences de l'utilisation = produits de combustion :
  • CO2 + CH4=> effet de serre => augmentation température => fonte glaces => aumg° niv mer => modif° climats et courants => des écosystèmes
  • oxydes de N et S = NO + SO → ac nitrique et sulfurique => pluies acides pH < 5,6 => modif°écosystèmes, destruction d'espèces
  • poussières nocives pour les bronches

A3/ Mesure du taux de CO2 / logiciel Excel

Construire la courbe de teneur en CO2 / Excel ou Libre Office à l'aide des fichiers placés sur le réseau
tab : co2_2200ans.xls
co2nat.xls
Résultats :
variation taux CO2 :
taux de CO2 augmente surtout depuis révol° indus
=> augmentation de la T°C / effet de serre

A3/ Schématisation du cycle du carbone / Manuel p.130 + net

cycle du carbone :
diapo /cycl_carb.odp
Représenter un cycle du carbone simplifié mais quantifié => en quoi l’utilisation des combustibles fossiles constitue un enjeu planétaire ?
cycle du carbone

B36/ L'utilisation anthropique de l'énergie fossile et ses conséquences

L’utilisation de combustible fossile restitue rapidement à l’atmosphère du dioxyde de carbone prélevé lentement et piégé depuis longtemps. Brûler un combustible fossile revient à utiliser une énergie solaire du passé. L’augmentation rapide, d’origine humaine, de la concentration du dioxyde de carbone dans l’atmosphère interfère avec le cycle naturel du carbone.
The use of fossil fuel returns quickly to the atmosphere the carbon dioxide slowly taken and trapped during a long time. Burning fossil fuel is actually using solar energy of the past. The rapid increase, of anthropic origin, of the concentration of carbon dioxide in the atmosphere interferes with the natural carbon cycle.
fossil fuel, carbon dioxide, solar energy, carbon cycle

dimanche 22 mai 2016


Vaccins, ce que tout parent doit savoir


En 2013, l'Union européenne a autorisé la mise sur le marché d'un nouveau vaccin « 6-en-1 » pour les nourrissons. Ce vaccin, appelé Hexyon et produit par le laboratoire Sanofi, regroupe les vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l'hépatite B, la poliomyélite et contre certaines infections comme la méningite.

Cette « innovation » est généralement présentée par les médias comme « une vraie avancée en matière de vaccination, à l'heure où les autorités sanitaires tentent par différents moyens (…) de redonner confiance aux Français en cette méthode préventive » (lu sur le site Informations Hospitalières).

En ce qui me concerne, je ne suis pas rassuré. Je m'explique. Le fait de mélanger ensemble un grand nombre de vaccins est une méthode connue des laboratoires pharmaceutiques pour compliquer la preuve d'effets indésirables. Car plus il y a de vaccins dans l'injection, plus il devient difficile de prouver qu'un effet indésirable précis est lié à l’un des vaccins. Il faut un nombre de cas déclarés d'effets secondaires négatifs beaucoup plus important pour obtenir un niveau de preuve statistiquement fiable.

Or, cette tactique se développe justement au moment où le grand public réalise que les effets indésirables des vaccins sont tout sauf négligeables.

Des effets secondaires inquiétants

Un nombre alarmant d'études scientifiques met actuellement en lumière les dangers des vaccins.

Il ne s'agit plus de mises en garde émanant de mouvements associatifs marginaux ou à tendances sectaires. Non, c'est maintenant la communauté médicale internationale elle-même qui exprime ses doutes, voire ses inquiétudes.

Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que cette catastrophe ne soit compensée par des vies sauvées par ailleurs par ce vaccin. (1) Une association, quoique plus faible, a aussi été établie entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré (paralysie). (2)

Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus et le cancer cervical, est aujourd'hui au centre d'un scandale qui n'en finit pas. Selon le décompte effectué par l'association Sanevax, ce vaccin est relié à 29 003 effets adverses graves et au moins à 130 décès. (3)

Le vaccin contre l'hépatite B, lui aussi, est fortement critiqué. Il est accusé de tuer les cellules du foie, alors qu'il est précisément supposé protéger contre une maladie du foie. (4) D'autre part, le 21 novembre 2012, le Conseil d'Etat français a reconnu que l'aluminium dans le vaccin hépatite B avait été la cause d'une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages, dont souffre depuis 1996 un employé de la Ville de Paris, permettant à cette personne d'être indemnisée. (5) Des milliers de personnes, qui n'ont pas eu l'idée de porter plainte, pourraient être dans le même cas.

Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques, même à faibles doses, comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l'aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol. Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à ces substances, qui peuvent affecter de façon dramatique leurs fonctions nerveuses et immunitaires.

Ces molécules sont employées comme adjuvants pour renforcer l'efficacité des vaccins en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s'emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.

L'aluminium pourrait aussi être une cause majeure de maladie d'Alzheimer et de cancer du sein, ce qui expliquerait les proportions épidémiques que sont en train de prendre ces maladies dans les générations d'après-guerre.

Un rapport risque/avantage douteux

Ces effets indésirables sont toutefois présentés par les autorités médicales et la grande presse comme bénins par rapport aux « immenses avantages » qu'auraient les vaccins.

L'opinion publique leur prête en effet le mérite de nous protéger de nombreuses maladies infectieuses et d'avoir éradiqué toutes les épidémies qui décimaient autrefois nos pays : typhus, diphtérie, coqueluche, scarlatine, tuberculose, méningite, tétanos et, bien entendu, les maladies infantiles, rougeole, oreillons, rubéole, etc.

Et pourtant, en dehors du cas particulier de la poliomyélite (qui mériterait un article à elle seule), la vérité scientifique et historique m'oblige à écrire, sans hésiter, qu'il s'agit là d'une pure mythologie.

Les maladies citées ci-dessus avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l'on introduise les vaccins. C'est l'amélioration des conditions de vie, de l'hygiène, de l'eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent l'effondrement du nombre de morts par ces maladies tout au long du XXe siècle.

Le cas emblématique de la diphtérie

Je ne peux traiter dans cette simple lettre de toutes les maladies et me contenterai d'exemples symboliques. Mais des chiffres similaires à ceux cités ici existent pour les autres maladies pour lesquelles les gouvernements vaccinent à l'échelle industrielle. Les lecteurs qui voudront en savoir plus se reporteront pour cela à l'excellent dossier « Survey on Vaccinations in Europe » dont sont tirés les chiffres suivants. (6)

En Espagne, il y avait chaque année 5 000 morts de diphtérie en 1900, mais seulement 81 en 1964, l'année où la vaccination systématique fut introduite.

En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L'année suivante, il y eut 15000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la guerre !

En Allemagne, il y avait 100 000 cas de diphtérie par an pendant la Première Guerre mondiale. Les nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y avait à nouveau 100 000 cas, et 250 000 en 1945. Après la guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie baissa régulièrement, jusqu'à 800 annuellement en 1972 (une baisse de 99,2 %).

En Norvège, 555 personnes moururent de diphtérie en 1908, mais seulement 2 en 1939. Le pays fut alors envahi par l'Allemagne, qui imposa le vaccin : le nombre de personnes touchées par la diphtérie monta à 22 787 cas en 1942 et près de 700 morts.

Ces chiffres indiquent que la diphtérie se répand lorsque les conditions de vie se dégradent (guerre), et que les campagnes de vaccination sont malheureusement impuissantes à enrayer le phénomène.

En revanche, le retour à la prospérité et à une meilleure hygiène de vie s'accompagne d'un recul de la maladie, jusqu'à une disparition quasi totale.

Ils indiquent également que les gouvernements sont capables d'introduire la vaccination systématique de la population pour une maladie quasi inexistante (cas de l'Espagne en 1964, de l'Allemagne en 1939).

Un phénomène général

Les mêmes phénomènes ont été observés avec les autres grandes maladies infectieuses.

La fièvre typhoïde, qui décimait les armées de Napoléon et fit 5 à 7 000 morts par an pendant la Guerre civile espagnole (à partir de 1937) fut quasiment éradiquée à la fin des années 50, sans qu'il y ait eu de campagne importante de vaccination.

Le vaccin contre la coqueluche ne commença à être administré que dans les années 40 aux Etats-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million d'enfants de moins de 15 ans, contre 1 500 en 1850. Une baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit.

En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an en 1965 quand furent lancées les campagnes de vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos).

La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les années 60 bien qu'il n'y ait jamais eu de vaccin.

En France, les campagnes à grande échelle de vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéole) furent lancées en 1983, alors que le nombre de décès causés par la rougeole était tombé à 20 personnes par an, contre 3 756 en 1906, une baisse de la mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne, 18 473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre 19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales commencèrent pourtant en… 1982.

La tuberculose et le BCG

Mais le cas le plus emblématique reste celui de la tuberculose. Censée être prévenue par le vaccin « BCG », cette maladie a en réalité plus vite régressé dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas qui ne vaccinaient pas leur population, qu'en France où tous les écoliers se faisaient vacciner.

Aujourd'hui, alors que le BCG n'est plus obligatoire ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni en Espagne, et qu'il n'est imposé en Italie qu'à certains adultes à risque (personnel de santé, militaires…), la France continue à vacciner religieusement des millions d'écoliers chaque année.

Les études de l'INSERM sont pourtant sans appel : le nombre de décès par tuberculose avait déjà chuté de 80 % quand fut introduit le BCG obligatoire le 5 janvier 1950, malgré les très difficiles conditions de vie des années d'après-guerre. Les campagnes de vaccination n'ont ensuite eu aucun effet notable sur les courbes de la maladie. Celle-ci a continué à régresser au même rythme qu'auparavant, avec l'amélioration de l'hygiène et la généralisation de l'eau courante. Ce qui n'est pas étonnant quand on sait que le fait d'être vacciné contre le BCG ne protège ni de l'infection, ni de la transmission de la maladie. Les personnes qui meurent aujourd'hui de la tuberculose en France ne sont nullement des personnes qui n'ont pas été vaccinées, mais des personnes marginalisées socialement et souffrant de dénutrition.

Le problème est que le BCG comporte des risques importants d'effets secondaires, raison pour laquelle la vaccination obligatoire a été abandonnée dans les années 70 et 80 (sauf en France, où l'obligation a été supprimée en 2007). C'est en effet un vaccin vivant, qui pose des risques, y compris de décès, aux enfants et aux personnes dont le système immunitaire est affaibli. Une étude réalisée à Barcelone a indiqué une baisse significative des cas de méningite chez les jeunes enfants après l'abandon des campagnes de vaccination au BCG.

Ce n'est donc nullement la vaccination qui a permis à nos sociétés de sortir des grandes épidémies mais la prospérité économique. Celle-ci a permis une amélioration de l'hygiène, de l'alimentation et de l'habitat. Si ces conditions devaient se dégrader de façon significative, il est évident que, malgré tous nos vaccins, on assisterait à un retour en force de ces maladies, exactement comme cela fut le cas pendant la Seconde Guerre mondiale.

La vérité soigneusement dissimulée

Actuellement, malheureusement, une industrie gigantesque s'est développée pour assurer la vaccination de masse des populations du monde entier. Cette industrie est d'autant plus lucrative qu'elle est totalement financée par les gouvernements, et que les entreprises qui se partagent le marché sont protégées à la fois par des brevets (dont le respect est assuré par les pouvoirs publics) et par une réglementation touffue que seuls quelques grands groupes armés de bataillons de juristes peuvent comprendre et respecter.

Des milliards de vaccins sont administrés chaque année, et des dizaines de milliards d'euros sont encaissés par les multinationales pharmaceutiques.

Pour le seul vaccin contre la grippe A, le gouvernement français avait payé 1,5 milliard d'euros pour 94 millions de doses, ce qui fait quasiment deux doses par citoyen.

A l'achat des vaccins, il a fallu ajouter le coût de :
  1. la campagne de vaccination pour un montant de 35,8 millions d'euros ;

  2. l'acquisition de respirateurs pour 5,8 millions d'euros ;

  3. l'achat d'antiviraux pour 20 millions d'euros ;

  4. 150,6 millions d'euros de masques ;

  5. 41,6 millions d'euros de dépenses logistiques ;

  6. 290 millions afin d'indemniser les personnels de santé réquisitionnés ;

  7. 59,6 millions destinés aux frais d'information et à la campagne de communication ;

  8. 100 millions de « frais liés à l'organisation territoriale de la campagne de vaccination » ;

  9. et encore 375 à 752 millions d'euros de dépenses liées aux consultations de médecins, à la prescription de médicaments.

Finalement, le nombre de vaccins utilisés n'a été que de 4,5 millions, ce qui est une bonne chose, mais cela veut dire que sur les 94 millions de doses, 89,5 millions sont parties à la poubelle, une fois atteinte la date de péremption. (7)

Ce gaspillage révoltant a été dénoncé par le Professeur Bernard Debré et le député et médecin Jean-Marie Le Guen. Mais la presse a traité l'affaire comme un scandale isolé, sans lien avec la surconsommation systématique des autres vaccins, en France et à travers le monde.

Pas de suivi des accidents liés aux vaccins

De même, personne ne se soucie actuellement des risques réels que vous faites courir à vos enfants en les vaccinant. Et s'ils tombent malades juste après la vaccination, vous pouvez être certain qu'on vous expliquera qu'il s'agit d'une pure coïncidence, y compris s'il y a décès.

Le cas arrive tous les ans à des milliers de parents. Leur enfant se fait vacciner et, dans les heures qui suivent, il déclenche de graves réactions pouvant aller des maux de tête aux vomissements, en passant par l'eczéma, l'hyperactivité, les perturbations du sommeil et un peu plus tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.

Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non seulement nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent même pas l'accident aux autorités de pharmacovigilance (agences responsables de surveiller les effets indésirables des médicaments) puisqu'ils considèrent qu'il n'y a pas de lien.

C'est ce qui est arrivé à la petite Christina Richelle, décédée suite au vaccin Gardasil contre le HPV (papillomavirus), et à tant d'autres personnes que l'on retrouve sur les innombrables sites d'information sur la vaccination. (8)

Un témoignage parmi d'autres, recueilli par l'EFVV (European Forum For Vaccine Vigilance) :

« Je ne peux vous dire mon nom et je ne peux pas vous révéler l'identité de mon bébé parce que j'ai peur que cela me retombe dessus, mais j'ai voulu vous contacter en entendant parler de votre projet, parce que je suis si heureuse que quelqu'un entreprenne quelque chose. Mon bébé est mort dans les 24 heures après avoir reçu son premier vaccin DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos), il y a deux mois. Je me sens si horriblement mal, personne ne peut avoir la moindre idée de ce que c'est. Elle était parfaite. Lorsqu'on lui fit l'injection, elle se mit à crier pendant au moins une heure, d'une façon bizarre. Puis elle parut très fatiguée, s'est endormie profondément, et ne s'est plus jamais réveillée. J'ai commencé à m'inquiéter parce qu'elle semblait dormir plus longtemps que d'habitude et lorsque j'ai voulu vérifier, j'ai remarqué qu'elle avait un peu vomi et qu'elle ne respirait plus. Ils ont dû faire une autopsie mais ils n'ont pas pu identifier la cause du décès. Je sais que c'est le vaccin qui l'a tuée. Elle n'avait pas été malade une seule fois jusque là. Mais plus je l'ai dit au corps médical, plus ils sont devenus hostiles. Aujourd'hui, j'ai peur qu'ils me prennent mon autre enfant et je ne veux pas qu'ils m'accusent d'avoir tué mon bébé. Je ne devrais pas avoir à vivre comme ça, c'est horrible. Je suis presque trop terrorisée pour pouvoir faire mon deuil correctement. Elle était si belle. »

Mais c'est très souvent le même scénario : officiellement, il ne peut y avoir aucun lien entre le vaccin et les accidents qui s'ensuivent. La plupart des médecins nieront farouchement l'évidence. Rien ne serait plus facile, pourtant, que de donner à chaque personne vaccinée un petit questionnaire, à renvoyer à l'Agence Nationale du Médicament, sur lequel elle noterait tous les effets anormaux qu'elle constaterait durant, par exemple, les huit jours suivant la vaccination.

Cela permettrait très rapidement d'établir enfin des statistiques globales sur les effets indésirables réels des vaccins. Dans un cas comme cité ci-dessus, il est vraiment trop facile de déclarer que l'enfant est décédé « de cause inexpliquée » ou encore que c'est la « mort subite du nourrisson ». Parce qu'injecter un vaccin, cela consiste à introduire dans l'organisme non seulement des virus potentiellement dangereux (même artificiellement affaiblis) et des adjuvants que les systèmes immunitaires immatures ne supportent pas forcément.

Mais pour des raisons qui n'ont rien à voir avec votre santé ni le bien commun, et tout à voir avec les comptes en banques des industriels et des politiques, ce type de mesures n'est absolument pas envisagé aujourd'hui par les autorités sanitaires.

Que faire ??

Cela veut-il dire qu'il faille à arrêter de vacciner tous les enfants ?

Non. Car même si on a exagéré les bienfaits des vaccins sur la santé publique, et même si les dangers de la vaccination sont minorés, il existe probablement de nombreux cas où il est raisonnable de vacciner.

Le problème est que l'absence d'études sérieuses sur les risques et bénéfices réels des vaccins obscurcit considérablement le débat. Ni les citoyens, ni les professionnels de santé de bonne volonté, ne disposent aujourd'hui d'éléments fiables pour prendre des décisions éclairées.

Nous sommes donc obligés de jouer à la roulette russe avec les vaccins.

Il semble toutefois raisonnable a priori d'éviter tous les vaccins qui ne sont pas obligatoires, lorsqu'on est en bonne santé. Faire du zèle est coûteux, mais plus probablement encore dangereux.

Pour toutes les maladies, il y a des personnes « à risque », et d'autres qui le sont moins. Vacciner aveuglément tous les enfants avec tous les vaccins du calendrier vaccinal est, dans la plupart des cas, nocif.

De plus, il ne faut pas oublier que même les vaccins obligatoires (DTPolio et BCG en France) ne le sont plus si votre médecin constate des contre-indications. Cela n'est pas théorique car de nombreuses personnes peuvent en fait présenter des contre-indications, en particulier les personnes allergiques, souffrant de maladies auto-immunes, ou ayant d'autres problèmes liés à leur système immunitaire. Un examen médical est donc recommandé avant toute vaccination, même si ce n'est pas prévu par le système.

Une réforme indispensable et urgente

Il est donc indispensable et urgent que les pouvoirs publics prennent des mesures visant à améliorer la connaissance des vaccins et l'information des médecins comme du grand public à ce sujet.

Une information transparente doit être donnée sur les dangers de chaque vaccin. S'il y a eu des morts, des personnes gravement handicapées, ou malades à vie, les personnes qui sont sur le point de se faire vacciner doivent en être informées.

Beaucoup de vaccins ont un rapport bénéfices/risques douteux. Une information lisible et facilement compréhensible doit figurer sur l'emballage des vaccins, indiquant clairement ceux qui sont indispensables, ceux qui ne sont nécessaires que dans certains cas, et ceux qui sont inutiles dans la plupart des cas.

Mais même si c'est aux médecins de s'assurer qu'ils ne font pas courir de risque inutile à leurs patients (serment d'Hippocrate), rappelons-nous que nous ne vivons pas dans l'utopie et que ce sera toujours à nous, ultimement, d'être responsable de notre santé.

Bien à vous,

Jean-Marc Dupuis

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Sources :

  1. Rapport « Survey on Vaccinations in Europe », EFVV, téléchargeable gratuitement sur www.efvv.org
    Risk of narcolpesy in children and young people receiving AS03 - BMJ 2013;346:f794

  2. Guillain-Barré Syndrome After Influenza Vaccination in Adults, David N. Juurlink, Therese A. Stukel, Jeffrey Kwong, Alexander Kopp, Allison McGeer, Ross E. Upshur, Douglas G. Manuel, Rahim Moineddin, Kumanan Wilson, Arch Intern Med. 2006;166:2217-2221.

  3. Décompte effectué par Sanevax : http://sanevax.org/breaking-news-gardasil-fingerprints-found-in-post-mortem-samples/

  4. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22249285

  5. http://www.quechoisir.org/sante-bien-etre/maladie-medecine/maladie/actualite-aluminium-dans-les-vaccins-lien-de-cause-a-effet-etabli

  6. Rapport « Survey on Vaccinations in Europe », EFVV, téléchargeable gratuitement sur www.efvv.org

  7. http://www.lemonde.fr/epidemie-grippe-a/article/2010/01/04/une-grippe-a-deux-milliards-d-euros_1287422_1225408.html

  8. http://www.gardasilandunexplaineddeaths.com/

Voir également :

Meyer, J., & Jensen, K. A. (1954). A fatal case of tuberculosis produced by BCG. Am Rev Tuberc, 70(3), 402–412. JAMES E. F., Fatal case of tuberculosis produced by BCG, American review of tuberculosis, 1955, tome 71, pp.321-323 ; Pedersen, F. K., Engbaek, H. C., Hertz, H., & Vergmann, B. (1978). Fatal BCG infection in an immunocompetent girl. Acta Paediatr Scand, 67(4), 519–523.

OMS, L'éradication mondiale de la variole – Rapport final de la commission mondiale pour la certification de l'éradication de la variole, éd. OMS, 1980.

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