vendredi 6 novembre 2015

FT : épreuve du Bac

TS SVT FT BAC 2013
Épreuve écrite et pratique Coefficient : 6 (8 pour les spécialités)
Les programmes du cycle terminal de la série scientifique du lycée précisent que les enseignements de sciences de la vie et de la Terre s'organisent autour des grandes étapes de la démarche scientifique. Les activités expérimentales y occupent une place importante et permettent aux élèves d'acquérir des compétences spécifiques à cette démarche qui doivent être évaluées. C'est pourquoi l'évaluation des compétences expérimentales est intégrée dans l'épreuve de sciences de la vie et de la Terre du baccalauréat en série S.
Epreuve écrite de sciences de la vie et de la Terre / 16 points. 3H30'
Cette épreuve a pour objectif de valider la maîtrise des compétences acquises dans le cadre du programme de la classe de terminale. Les connaissances et capacités mobilisées dans les programmes des classes antérieures à la classe de terminale ne constituent pas le support principal des sujets composant l'épreuve ; certains sujets peuvent toutefois conduire les candidats à les mobiliser. L'ensemble de l'épreuve écrite s'appuie sur la totalité du programme. Elle est constituée de deux parties, la seconde étant composée de deux exercices distincts.
Partie 1 / 8 points. ~1h45'
Cette partie permet d'évaluer la maîtrise par le candidat des connaissances acquises. Le questionnement peut se présenter sous forme de question de synthèse et/ou de QCM. Il prend éventuellement appui sur un ou plusieurs documents.
Partie 2 / 8 points. ~1h45'
Cette seconde partie de l'épreuve écrite permet d'évaluer la pratique du raisonnement scientifique et de l'argumentation. Elle est subdivisée en deux exercices :
- Le premier exercice / 3 points. ~40'
permet d'évaluer la capacité du candidat à raisonner dans le cadre d'un problème scientifique proposé par le sujet, en s'appuyant sur l'exploitation d'un nombre réduit de documents. Le questionnement peut être formulé de façon ouverte ou sous forme de QCM.
- Le second exercice / 5 points. ~1h05'
permet d'évaluer la capacité du candidat à pratiquer une démarche scientifique dans le cadre d'un problème scientifique à partir de l'exploitation d'un ensemble de documents et en mobilisant ses connaissances. Le questionnement amène le candidat à choisir et exposer sa démarche personnelle, à élaborer son argumentation et à proposer une conclusion.
*Pour les candidats qui n'ont suivi que l'enseignement obligatoire, le second exercice de la seconde partie de l'épreuve peut porter ou non sur la même partie du programme que le premier exercice.
*Pour les candidats ayant choisi la spécialité sciences de la vie et de la Terre, cet exercice porte sur l'un des thèmes du programme de spécialité.
Epreuve pratique d'évaluation des compétences expérimentales / 4 points. 1 heure
Le calcul de la note se fait sur 20 points, puis elle sera divisée par 5 avant d'être ajoutée à celle obtenue à l'écrit. L'évaluation des compétences expérimentales a lieu dans le courant du troisième trimestre, dans le cadre habituel de formation de l'élève. Le jour de l'évaluation, les élèves tirent au sort une situation d'évaluation parmi celles retenues par l'établissement.
*Les élèves ayant choisi l'enseignement de spécialité peuvent avoir à réaliser une activité spécifique de l'enseignement de spécialité ou bien une activité appartenant à une partie du programme du tronc commun.
**Pour la session de remplacement, les candidats ne passent pas la partie pratique de l'épreuve. La note éventuellement obtenue au cours de l'année scolaire à l'évaluation des capacités expérimentales est reportée et prise en compte lors de la session de remplacement.
Épreuve orale de contrôle. Durée : 20 minutes. Temps de préparation : 20 minutes
Le candidat tire au sort un sujet comportant deux questions, portant sur deux domaines différents du programme de terminale S et doit traiter les deux questions. Celles-ci portent exclusivement sur le programme du tronc commun pour les candidats qui n'ont pas choisi l'enseignement de spécialité. *Pour ceux qui ont choisi cet enseignement, l'une des deux questions porte sur l'un des thèmes du programme de l'enseignement de spécialité.
Dans l'esprit défini pour les épreuves écrites et conformément au programme officiel, les sujets proposés doivent permettre d'évaluer les compétences acquises dans le cadre du programme de terminale. Ils comportent des documents choisis parmi ceux que les professeurs utilisent dans les situations d'apprentissage. Cette épreuve a lieu dans une salle comportant du matériel de sciences de la vie et de la Terre afin que des questions puissent être posées sur le matériel expérimental et son utilisation, sans que le candidat soit conduit à manipuler. Une importance égale est attribuée à l'évaluation des connaissances et à celle des capacités mises en jeu.

§ Quelle est l'origine du volcanisme continental ?

§ Quelle est l'origine du volcanisme continental ?

1.4/ Le magmatisme en zone de subduction : une production de nouveaux matériaux continentaux

A1/ Les conditions pour produire un magma / diagrammes de phases

© origin magma.odg
à partir des diagrammes de phases de la péridotite et magmatisme : http://www.tulane.edu/~sanelson/eens211/earths_interior.htm
=> globalement peu de fusion dans le manteau

-> fusion partielle par hydratation du manteau au dessus des plaques en subduction

FT SVT : RESTITUTION ORGANISEE DES CONNAISSANCES

un compromis entre connaissances, méthode et temps


On demande d'exposer, sans support documentaire fourni, des connaissances acquises au cours de l'année sur un point du programme. La question fait apparaître les limites du sujet. D'éventuels schémas sont explicitement demandés. La réponse doit être organisée comme le demande son titre (introduction-développement-conclusion). L'exposé doit être scientifiquement et grammaticalement correct, illustré de schémas, tableaux ou graphiques. L'évaluation prend en compte les connaissances, la qualité du plan et celle des expressions écrites et graphiques.


1/ DISSECTION / EXTRACTION
�� Prendre le temps de lire et relire le sujet, ainsi que ses commentaires de manière calme et critique. Cette lecture conditionne dans une large proportion la qualité de la copie. Le candidat doit être attentif à la formulation du texte et en particulier, doit porter son attention sur : les adjectifs et leurs accords ; les articles et les prépositions ; la ponctuation.
�� Repérer les mots-clefs pour déterminer le sens et les limites du sujet, pour éviter les hors sujets, en recherchant la définition de tous ses termes. Rechercher les problèmes qu'il soulève.
�� Repérer le verbe-clef qui renseigne sur la nature du travail demandé : montrer, décrire, expliquer, comparer, ...


2/ ÉBULLITION / SÉLÉCTION
�� Recenser toutes les idées et connaissances se rapportant de près ou de loin au sujet (mots clefs, schémas). Utiliser les interrogations réflexes (Qui Que Quoi Comment Où Quand Pourquoi ?)


3/ ORGANISATION / PLANIFICATION
�� Faire un tri, Classer ces idées, les associer, en fonction : du temps disponible et des connaissances du candidat (supprimer les arguments d'importance secondaire ou difficilement exploitables)
�� Construire le plan. Organiser les arguments en grands paragraphes. Prévoir le contenu et les subdivisions de chaque paragraphe. Dans ce plan :
- Dégager les idées essentielles : structuration en 2 à 4 §, comportant des titres.
- Respecter la démarche scientifique : en partant des faits et non des interprétations.
- Partir d'exemples ou d'expériences précis pour ensuite les généraliser.
- Penser aux transitions entre les parties qui aident à le correcteur à suivre le fil du raisonnement.


4/ RÉDACTION / ILLUSTRATION
�� Prendre beaucoup de soin à rédiger au brouillon une introduction et une conclusion. Tous les aspects de l'introduction sont fondamentaux et conditionnent la suite. La conclusion doit être connue avant même la rédaction du devoir afin de posséder un fil conducteur et d'éviter les hors-sujets.


- L'INTRODUCTION
1/ Annonce le sujet (et ses limites) en dégageant les principaux problèmes, la problématique : ancrage dans le passé
2/ Annonce le plan : ancrage dans le futur


- LA CONCLUSION
1/ Répond à la problématique de départ, comprend un bilan des principales idées de l'exposé.
2/ Elle apporte un élément d'ouverture (élargir le cadre du sujet)
Elle peut être accompagnée d'un schéma-bilan.


- LE DEVELOPPEMENT
Numéroter et rédiger des titres où apparaissent des idées fortes qui seront alors détaillées dans le paragraphe.
Une idée = un paragraphe, éviter de « caser une tranche de cours », toujours hors sujet.
�� Le devoir doit être convenablement illustré. Chaque grande idée doit être accompagnée d'une illustration, même lorsque ce n'est pas demandé dans le sujet, un schéma est toujours bienvenu.
- Les schémas sont destinés à illustrer les faits exposés. Ils doivent avoir une valeur explicative, être intégrés dans le texte.
- Les schémas doivent posséder un titre précis. Une illustration sans titre + légende + échelle + unités n'a aucune valeur.
- Les schémas doivent être grands et enrichis de couleurs.
5/ RELECTURE
garder quelques minutes pour relire, pour que ce qui est fait le soit bien :
�� chasse aux erreurs - orthographe – légendes
�� soulignage des titres et mots clefs
« On fait la science avec des faits comme une maison avec des pierres, mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. » Henri Poincaré

« Toute science est nécessairement formée de trois choses : la série des faits qui constitue la science, les idées qui les rappellent, les mots qui les expriment, ... quelque certains que fussent les faits, quelque justes que fussent les idées qu'ils auraient fait naître, ils ne transmettent que des expressions fausses si nous n'avons pas des expressions exactes pour les rendre. » Antoine Laurent de Lavoisier (1743-1794)

§ Que manquait-il à Wegener pour appuyer la théorie de la dérive des continents ? (suite)

A3/ Visualisation des discontinuités à partir de la sismologie / diaporama

D/ subduction.odp
Hodochrone [Hodo = vitesse ; chrone = temps] = courbes de vitesses d'ondes sismiques à travers le globe
Tomographie [tomê = coupe ; graph = écrit ] sismique = cartographie de l'intérieur de la terre à partir des variations vitesses des ondes sismiques = échographie sismique
La propagation d’ondes à travers un même matériau mais à des températures différentes montre la différence entre lithosphère et asthénosphère.
Les hodochrones permettent de comparer les différentes données sismiques à travers la terre et donc de révéler des différentes discontinuités (limites entre couches différentes par leur nature ou leur composition) comme celle de Mohorovicic séparant croûte et manteau ou la LVZ séparant la lithosphère et l'asthénosphère.
Rhéologie [rhéô « couler » ]
lithosphère / asthénosphère;
lithosphère (océanique ou continentale) plongeant ss\ manteau
plan de Wadati-Benioff
lithosphère rigide et cassante / asthénosphère ductile

A4/ Schématisation du phénomène de subduction / animations

animation en flash : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html → géologie interne → subduction
au fur et à mesure de son éloignement de la dorsale, la lithosphère océanique s'épaissit (par refroidissement + poids de la sédimentation qui s'accumule) et devient plus dense, jusqu'à dépasser la densité de l'asthénosphère. Au bout de 50 à 180 Ma, la densité de la lithosphère dépasse celle de l’asthénosphère, ce qui permet sa subduction. Cette différence de densité est considérée comme le moteur principal de la tectonique des plaques.

B113/ Subduction du plancher océanique / schéma

© sch'bilan 3
Mots clefs : Fosse de subduction, foyer sismiques, plan de Benioff, lithosphère, asthénosphère, croûte, manteau, subduction, isotherme 1300°C

B113/ Subduction du plancher océanique

Au voisinage des fosses océaniques, la distribution spatiale des foyers des séismes en fonction de leur profondeur s’établit selon un plan incliné, le plan de Wadati-Benioff.

Les différences de vitesse des ondes sismiques qui se propagent le long de ce plan, par rapport à celles qui s’en écartent, permettent de distinguer la lithosphère de l’asthénosphère. La limite inférieure de la lithosphère correspond généralement à l’isotherme 1300°C (environ 100 km sous océans, 120 km sous continents). La lithosphère comprend la croûte + le manteau supérieur, l'asthénosphère est une partie du manteau sous-jacente. L’interprétation de ces données sismiques permet ainsi de montrer que la lithosphère s’enfonce dans le manteau au niveau des fosses dites de subduction

jeudi 5 novembre 2015

Quelles preuves de parenté à l'échelle moléculaire ?

A2 : Modélisation sur logiciel / Rastop

On ne peut pas voir les molécules au microscope mais la chimie nous ayant permis de connaître le nombre d'atome et leur disposition dans l'espace, on peut modéliser avec des logiciels de visualisation moléculaire pour repérer quelques caractéristiques des molécules du vivant.
visiter la librairie de molécules et chercher la composition atomique globale de chaque type de molécule :
réaliser un tableau en 4 colonnes / 5 lignes pour comparer les différents types de molécules organiques : types d'atomes, grosses ou petites molécules ...

atomes : C, H, O, N, P, S,
molécules : glucides, lipides, protides, acides nucléiques
chemical elements : Carbon, Hydrogen, Oxygen, Nitrogen, Phophorus, Sulphur,
molecules : carbohydrates, lipids, protein, nucleic acids

A3 : Classement des molécules de la vie

Molécules de la vie font partie de la matière organique
la matière organique c'est ce qui contient des liaison C-H
4 catégories de molécules organiques : MACROMOLÉCULE
= Polymère
= molécule complexe
exemple
Monomère
= molécule simple
exemple
atomes
GLUCIDES = SUCRES Polyosides
Amidon, cellulose, lactose, saccharose
Test du Lugol
Oses
Glucose, Galactose, Fructose,
Test de Fehling
C+H+O
C6H12O6
LIPIDES = GRAISSES Lipides complexes
cholestérol,
Test du papier
Acides gras
acide oléique, arachidonique, linoléique, butyrique
Test du papier
C+H+O
PROTIDES Protéines
Albumine, gluten, pepsine
Acides aminés
acide glutamique, aspartique, cystéine
C+H+O+N (+S)
ACIDES NUCLEIQUES ADN, ARN Nucléotides C+H+O+N+P
molecules of life are classified in :
3 categories of organic molecules MACROMOLECULE Monomere atoms
CARBOHYDRATES = SUGAR Polysaccharids
Starch
Monosacharids
Glucose
C H O
LIPIDS = FAT Lipids
Oil
Fatty acid
Oleic Acid
C H O
PROTIDES protein
Albumin
Amino acid
Glutamic Acid
C H O N
NUCLEIC ACIDS DNA, RNA Nucleotids C H O N P

B.1.4 : Les molécules de la vie

Les êtres vivants sont constitués d’éléments chimiques C, H, O, (N, P, S) disponibles sur le globe terrestre. Leurs proportions sont différentes dans le monde inerte et dans le monde vivant. Ces éléments chimiques se répartissent dans les diverses molécules constitutives des êtres vivants : les glucides, lipides, protides et acides nucléiques. Les êtres vivants se caractérisent par leur matière organique carbonée et leur richesse en eau. L’unité chimique des êtres vivants est un indice de leur parenté.
Life is composed of chemical elements CHO(NPS) found on earth. Their proportions are different in the inanimate world and the living world. These chemicals are divided into various constituent molecules of life. Living beings are characterized by their carbon material and water. The chemical unit of living things is an indication of their parentage.

B.1.4 : Schématisation

Biodiversity, ecosystems, species, evolution
biodiversité, écosystèmes, espèces, évolution
Sch'bilan : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=2698

C : Pour aller plus loin

RCSB Protein data bank : http://www.rcsb.org/pdb/home/home.do
Site de Didier Pol : http://www.didier-pol.net/

mardi 3 novembre 2015

§ Comment reconstituer l'histoire d'une chaîne de montagnes ?

B/ Schématisation de l'accrétion océanique à la collision continentale / animations + schéma ©

schéma-bilan subduction
Animation simple : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html → géologie interne → dorsale : accrétion
en s’éloignant de la dorsale, la lithosphère océanique s’épaissit, s’hydrate et se densifie
=> dépasse la densité de l’asthéno => subd° => ne dépasse pas 200 Ma
transformation minéralogique en profondeur / subduction

B13/ Métamorphisme de subduction

Les chaînes de montagnes présentent souvent les traces d'un domaine océanique disparu (ophiolites) et d'anciennes marges continentales passives (failles normales). La « suture » de matériaux océaniques résulte de l'affrontement de deux lithosphères continentales (collision). Tandis que l'essentiel de la lithosphère continentale continue de subduire, la partie supérieure de la croûte s'épaissit par empilement de nappes dans la zone de contact entre les deux plaques. Les matériaux océaniques et continentaux montrent les traces d'une transformation minéralogique (métamorphisme) à grande profondeur au cours de la subduction. La différence de densité entre l'asthénosphère et la lithosphère océanique âgée est la principale cause de la subduction. En s'éloignant de la dorsale, la lithosphère océanique se refroidit et s'épaissit. L'augmentation de sa densité au-delà d'un seuil d'équilibre explique son plongement dans l'asthénosphère, et c'est aussi pourquoi son âge n'excède pas 200 Ma en surface.
Les indices de subduction ou de collision doivent pouvoir être reconnus sur divers types de documents. La succession est présentée comme un scénario type, jamais parfaitement réalisé sur le terrain. Le rôle moteur de la traction par la lithosphère océanique plongeante complète la compréhension de la tectonique des plaques.

Attention : ROC le 13/11/15

Qu'est-ce que la photosynthese ?

A7 : Réaction de Hill / ExAO

Réaction de Hill (version 21/02/2012) : (docodtpdf)
FT_hill.odt
© \TP ExAO Photosynthèse Hill.odt
© \Hill ExAO résultats.odg
phase photochimique puis phase (bio)chimique
composés réduits RH2

A6 : Bilan final de la photosynthèse / équation chimique

D\photosynthèse equation globale.odp
=> lumière + un accepteur d'électrons sont indispensables pour obtenir un dégagement d'O2.
Le rejet d'O2 est donc bien la conséquence d'une oxydoréduction.
En présence de lumière, on a donc
une oxydation de l'eau : 2 H2O = 4 H+ + 4 e- + O2
Le ferricyanure est réduit : 2 Fe3+ + 4 e- = 2 Fe2+
L'O2 vient donc de la molécule d'eau qui s'oxyde en présence de lumière dans les chloroplastes.

Dans les conditions naturelles de la photosynthèse, l'oxydation de l'eau s'accompagne de la réduction d'un intermédiaire

§ Que manquait-il à Wegener pour appuyer la théorie de la dérive des continents ? (suite)


1.1.3- Sismologie en profondeur

A1/ Etude de la répartition mondiale des séismes profonds / site CNRS

subduction = zone de convergence de plaques
séïsmicité + volcanisme particuliers de la subduction : séismes profonds + volcanisme explosif
reliefs négatifs = fosse, (bassin arrière-arc)
reliefs positifs = cordillère ou arc insulaire

A2/ Tracé du plan de Wadati Benioff / logiciels Sismolog + Educarte

© 1S_TP_subduction_sismolog_educarte.odt
© carte.odt
pour localiser les zones de subduction :
isotherme d’une zone de subduction :
pour télécharger le logiciel Educarte : http://www.edusismo.org/docs/outils/educarte/index.htm

D'où vient le magma basaltique produit au niveau des dorsales ?

A4/ Modélisation de la convection / maquette et animations

Lampe à laves
modélisation convection :
manuel p 279
animations sur la convection :
différence convection / conduction :
convection = mouvement de matière sous l'effet de la chaleur
conduction = mouvement de chaleur dans la matière

A5/ Schématisation de l'expansion océanique / animations

Voir carnet de sortie géologiques
http://www.biologieenflash.net/sommaire.html → géologie interne → dorsale
Convection, dorsale, rift, croûte basaltes+gabbro

B112/ Expansion et accrétion océanique / schéma

© sch'bilan 2
Mots clefs : Topographie océanique, flux thermique, magnétisme des roches (magnétite, point de Curie), anomalies, expansion, accrétion, dorsale, convection, vitesse d'expansion

B112/ Expansion et accrétion océanique

Au début des années 1960, les découvertes de la topographie océanique et des variations du flux thermique permettent d’imaginer une expansion océanique par accrétion de matériau remontant à l’axe des dorsales, conséquence d’une convection profonde.
La mise en évidence de bandes d’anomalies magnétiques symétriques par rapport à l’axe des dorsales océaniques, corrélables avec les phénomènes d’inversion des pôles magnétiques (connus depuis le début du siècle), permet d’éprouver l'hypothèse de Wegener et de calculer des vitesses d’expansion océaniques.

lundi 2 novembre 2015

Le profit ou la vie ! (à voir absolument !)

Le profit ou la vie ! (à voir absolument !)

Posté par Santé+ Magazine sur dimanche 21 juin 2015

§ Comment reconstituer l'histoire d'une chaîne de montagnes ?

A6/ Modélisation du plan de Wadati- Benioff / logiciels

Rappel 1S : sismolog et educarte déjà utilisés
© TS TP subduction sismolog.odt
des séismes et du volcanisme => arc et chaîne de montagnes
mise en évidence du plan de Wadati Benioff : http://svt.ac-dijon.fr/dyn/IMG/Subduction_ocean_continent.jpg
en s’éloignant de la dorsale, la lithosphère océanique s’épaissit, s’hydrate et se densifie
=> dépasse la densité de l’asthéno => subd° => ne dépasse pas 200 Ma
=> âge de la plaque # pente du plan de WB

§ Comment reconstituer l'histoire d'une chaîne de montagnes ?

12-14 octobre : sortie géologique à Erquy

Sortie géologique au cap d'Erquy / carnet

© \Erquy_carnetA5.odg
D/ TS Erquy.odp