vendredi 23 mars 2018

§ comment l'organisme reconnaît-il les cellules du soi ? Les antigènes à abattre ?

A1 : Modélisation des anticorps / Logiciel Rastop

TS SVT TP mise en évidence de la zone de contact entre anticorps et antigène


Matériel

Logiciel Rastop + Fiche technique.
Fichiers « anticorps_gp24.pdb » + « IGG_total.pdb ».


Principe

Visualisation de modèle de molécule et ici la zone de contact entre un anticorps et son antigène, pour cela Modifier l’affichage d’un modèle 3D d’un anticorps (seulement le fragment Fab) et de l’antigène fixé, pour mettre en évidence la zone de contact. Donc sélectionner l’antigène puis colorer en partant de là...


Protocole

Attention si on vous propose un fichier .zip, enregistrez le, renommez-le en .pdb, le format de Rastop.
Pour identifier les différentes parties de l’anticorps (partie Fab + Fc) :
  1. Ouvrir le fichier, IGGTOTAL.pdb
  2. Afficher en sphères
  3. Dans le menu « Atomes », choisir l’option « Colorer par » puis « Chaînes ». Combien y’a-t-il de chaines ?
  4. Schématisez (dessinez, simplifiez) la structure d’un anticorps sur le papier.
Pour mettre en évidence la zone de contact entre antigène et anticorps
  1. Sans fermer, Ouvrir anticorps-gp24.pdb, recommencer les étapes 1,2 et 3. En bleue, l’antigène (GP24), en vert chaine légère (L) et en rouge chaine lourde (H). Pour voir les 2 fenêtres, menu fenêtres>mosaïque verticale. comparez IGGTOTAL et anticorps-GP24.pdb. (Fragment Fab)
  2. Tout sélectionner
  3. Afficher le modèle en sphères (pour la suite prendre la fiche technique, ou site pour aide de Rastop)
  4. Activer la palette de couleur
  5. Choisir une couleur pour le modèle
  6. Cliquer sur la chaîne correspondant à l’antigène afin de la sélectionner, ou fenetre d’édition et taper *A
  7. Dans le menu « Éditer », choisir l’option « Sélectionner… », puis « Distant de… »
  8. Taper une distance de 2000
  9. Choisir une couleur pour débuter le dégradé (marron)
  10. Revenir à la sélection précédente
  11. Répéter les étapes 6 à 9 pour des distances de 1750, 1500, 1250, 1000, 750, 500 (rouge, rouge clair, rose, orange, jaune, jaune très clair…)
  12. Sélectionner l’Ag (P24) en tapant *A dans la fenetre d’édition. Cliquer sur le bouton fil de fer pour afficher le P24 (l’antigène) en fils de fer et choisir une autre couleur pour celui-ci. Colorer le fond en blanc.
Pour mettre en évidence la Zone de contact entre anticorps et antigène (=site antigénique). Il faut un modèle raccourci, l’anticorps anti GP24, présente le fragment Fab de cet anticorps lié avec son antigène (P24).
Rastop ne possède pas la capacité d’afficher une surface, ni de colorer automatiquement en fonction de la distance à un groupe d’atomes. On peut toutefois approcher le même effet en réalisant un traitement récursif de coloration par une sélection des atomes à des distances de plus en plus proches de l’antigène.

aux dubitatifs, douteux et suspicieux : résultat:

 

§ comment l'organisme reconnaît-il les cellules du soi ? Les antigènes à abattre ?

3,2,2/ Modélisation de l'immunité adaptative

§ comment l'organisme reconnaît-il les cellules du soi ? Les antigènes à abattre ?

A1 : Modélisation des anticorps / Logiciel Rastop

\TS TP anticorps rastop.odt
\immuno_molécules.odg©
FT fournies au TP de Bac (ECE) : Rastop (version 05/01/2016) : (doc, odt, pdf)
quels atomes ? Combien de parties ? Quelle nature ? Quelle forme globale ?
Résultat TP : manuel p301
Manuel doc 2 p 281
Immunoglobulines en Y : parties variable / fixes ; lourdes / légères

A2 : Schématisation des complexes immuns

neutralisation de l'Ag / destruction ou “emprisonnement”
facilitation de la phagocytose de l'Ag

jeudi 22 mars 2018

bagage et déménagement























Intro MontyPython : https://youtu.be/sFBOQzSk14c

Quelles sont les différences Homme / Femme ?

3,1 : Phénotypes sexuels

3,1,1 : Phénotypes sexuels macroscopiques

A1 : Anatomie des appareils & ♂ / schémas©

faites un schéma de l'appareil reproducteur ♀ & ♂ de face + profil
© \sex-anatomie.odt
diap\anatomie HF.odp
Schémas :
testicule, prostate, vésicule séminale, canal déférent = spermiducte+épididyme
ovaire, vagin, utérus, col, trompe = oviducte+pavillon,
rein → uretère → vessie → urètre

A2 : Dissections virtuelles des appareils ♀ & ♂/ souris, humain www

TP dissection souris mâles et femelles : http://espace-svt.ac-rennes.fr/applic/dissect/souris/souris17.htm
Zygote body (s'inscrire pour consulter) : http://www.zygotebody.com/
Visible human (s'inscrire pour consulter) : http://visiblehuman.epfl.ch/index.php

§ Comment la théorie de la tectonique des plaques est-elle maintenant confortée ?

2,4 : Modélisation globale

A1 : Modélisation numérique / logiciel

Cf TP précédents sur logiciels Educarte, Sismolog, tectoglob
\tectonique.exe
FT Educarte (version 09/12/2014) : (docodtpdf)
FT Sismolog (version 24/10/2009) : (docodtpdf) Avancé (docodtpdf)
FT Sismolog, sismogrammes (version 17/01/2017) : (docodtpdf)
FT Tectoglob (version 09/12/2014) : (docodtpdf)

A2 : Modélisation en laboratoire / maquettes

Diap histoire modelisation maquettes.odp

A3 : Paléotectonique

Bilan \Decouverte de la theorie de la tectonique des plaques.kmz
Diap \Terre paleotectonique.odp
\paleotectonique.odp
paléotectonique animée :

Bilan : modèle de synthèse actuel : PREM [Preliminary Reference Earth Model]

En permanence, de la lithosphère océanique est détruite dans les zones de subduction et produite dans les dorsales.
La divergence des plaques de part et d’autre de la dorsale permet la mise en place d’une lithosphère nouvelle à partir de matériaux d’origine mantélique. Dans les zones de subduction, convergence, les matériaux de la vieille lithosphère océanique s’incorporent au manteau.

B/Schéma © : du modèle actuel

Mots clefs : représentation graphique synthétique du modèle global, fonctionnement d’une dorsale type, subduction / accrétion,
Diapo \bilan tectonique.odp
sch'bilan

Conclusion : notion de modèle scientifique et son mode d’élaboration.

A1 : Discussion sur le statut du mot hypothèse en sciences

Définir selon vous le mot hypothèse
Demander une déf° au prof de
  • maths : conjecture d'un resultat, point de départ à infirmer, peu importe qu'elle soit vraie ou fausse ce qui compte c'est le raisonnement fait ensuite
  • physique : prévision sur résultat d'une expérience
  • français : analyse ce que l'auteur aurait voulu dire
  • SVT : réponse provisoire au problème posé
  • Philo : du grec : hypo = dessous => sous thèse pas encore validée

A2 : Suivit pour prédiction des évènements géologiques

Séismes / Rénass : http://renass.u-strasbg.fr/
Manuel p.126 : utilisation des données avec sismologue
radioactivité / IRSN : http://sws.irsn.fr/sws/mesure/index
séisme au Japon prévu depuis 2005 : http://www2.cnrs.fr/presse/thema/751.htm
Tectonique des plaques : un pas en avant vers la reconstitution du passé et la prédiction de l'avenir : http://www2.cnrs.fr/presse/communique/2585.htm

Bilan : La notion de modèle scientifique et son mode d’élaboration

Un modèle est une construction intellectuelle hypothétique et modifiable. Au cours du temps, la communauté scientifique l’affine et le précise en le confrontant en permanence au réel. Il a une valeur prédictive et c’est souvent l’une de ces prédictions qui conduit à la recherche d’un fait nouveau qui, suivant qu’il est ou non découvert, conduit à étayer ou modifier le modèle. La solidité du modèle est peu à peu acquise par l’accumulation d’observations en accord avec lui. Les progrès techniques accompagnent le perfectionnement du modèle tout autant que des débats et controverses.

Prg TS :
1-B - Le domaine continental et sa dynamique
1-B-1 La caractérisation du domaine continental : lithosphère continentale, reliefs et épaisseur crustale
1-B-2 La convergence lithosphérique : contexte de la formation des chaînes de montagnes
1-B-3 Le magmatisme en zone de subduction : une production de nouveaux matériaux continentaux
1-B-4 La disparition des reliefs

Sitographie

A.Wegener institute : http://www.awi.de/en/home/
Réseau de surveillance sismique Strasbourg : http://renass.u-strasbg.fr/

§ Comment la théorie de la tectonique des plaques est-elle maintenant confortée ?

2.3.4 : vecteurs GPS



A1 : principe du GPS

GPS = Global Positioning System


A2 : Exploitation des données GPS / logiciel Tectoglob

1S TP tectoglob GPS.doc
Affichage des vecteurs GPS / NASA : http://sideshow.jpl.nasa.gov/mbh/series.html

Bilan : les données GPS permettent de suivre les déplacements

Le modèle prévoit des vitesses de déplacements des plaques d’après le paléomagnétisme et les alignements de volcans intraplaques. Avec l’utilisation des techniques de positionnement par satellites (GPS), à la fin du XXème siècle, les mouvements des plaques deviennent directement observables et leurs vitesses sont confirmées.

B/schéma © : Cartographie, points chauds, forages et GPS

Mots clefs : Failles transformantes, modèle, alignements volcaniques, point chaud, Âges des sédiments, forage, JOIDES, paléomagnétisme, alignements volcaniques, GPS,

§ Comment la théorie de la tectonique des plaques est-elle maintenant confortée ?

2.3.3 : Forages JOIDES

A1 : inforages

D\forages.odp
Comment fait-on un forage ? → diaporama sur http://www.iodp.org/
site de données sur les forages : http://www.isteem.univ-montp2.fr/IODP-France/
forages
JOIDES (Joint Oceanic Institution for Deep Earth Sampling)
IPOD (International Phase of Ocean Drilling), puis ODP (Ocean Drilling Project)
ECORD (European Consortium for Ocean Drilling Research)
IODP (Integrated Ocean Drilling Program)
DSDP (Deep Sea Drilling Projet)

A2 : Ages de fonds océaniques / cartographie

© forages schemas.odg

A3 : Exploitation de données de forages / logiciels

fichiers sur serveur « commun » → SVT → 1S → forages
® TP forage Google Earth et Excel.odt
® TP forage Google Erth et excel données.xlsx
® Divergence.kmz
© EV TP forage google earth et excel.odt
TP forage Google Earth et excel correction.xlsx
dessiner un profil topographique avec des courbes de niveau = profil d'élévation sous Google earth

Bilan : les forages confirment l'hypothèse

Le modèle prévoit que la croûte océanique est d’autant plus vieille qu’on s’éloigne de la dorsale. Les âges des sédiments en contact avec le plancher océanique (programme de forage sous-marins JOIDES) confirment cette prédiction et les vitesses prévues par le modèle de la tectonique des plaques.

§ que se passe-t-il si l'infection persiste ? Comment l'immunité innée est-elle enrichie au cours de la vie ?

3,2/ L'immunité adaptative, prolongement de l'immunité innée

3,2,1/ Mise en évidence d'une immunité acquise

A5 : Liens immuns entre mère et fœtus / article scientifique

© pourquoi la mère ne rejette pas le foetus.odt
molécules du CMH (complexe majeur d'histocompatibilité) chez les vertébrés
= molécules HLA (human leucocyte antigen) chez l'humain
Le CMH humain est dénommé HLA
différentiation de cellules dites « naïves » :
  • lymphocytes → cellules "tueuses" = NKC (natural killer cell) = lymphocytes NK (niT niB)
  • lymphocytes LT8 → LT cytotoxiques
  • lymphocytes LT4 → LT régulateurs
  • lymphocyte B → Plasmocyte

A4 : Mise en évidence d'un complexe immun / méthode d'Ouchterlony

TS_TP_Ouchterlony.odt
Logiciel :
Ouchterlony II.exe
Résultat TP : manuel p300
séropositivité => Immunoglobulines = anticorps,
complexe immun = Ac+Ag
réaction spécifique => sélection clonale

Bilan : L'immunité adaptative s'ajoute à l'immunité innée

Elle s'ajoute à l'immunité innée et assure une action plus spécifique contre des molécules, ou partie de molécules. Les cellules de l'immunité adaptative ne deviennent effectrices qu'après une première rencontre avec un antigène grâce aux phénomènes de sélection, d'amplification et de différenciation clonales.
Les défenses adaptatives associées avec les défenses innées permettent normalement d'éliminer la cause du déclenchement de la réaction immunitaire.
Mots-clés : immunoglobulines (anticorps), séropositivité, lymphocytes T CD4, lymphocytes T auxiliaire,lymphocytes T CD8, lymphocytes T cytotoxiques ; sélection, amplification, différenciation clonales.

§ que se passe-t-il si l'infection persiste ? Comment l'immunité innée est-elle enrichie au cours de la vie ?

3,2/ L'immunité adaptative, prolongement de l'immunité innée

3,2,1/ Mise en évidence d'une immunité acquise

A1 : Expériences historique de Behring en 1890 / schémas

© \immuno_cytotox.odg
en 1890 Von Behring montre que les antitoxines produites par un animal pourraient immuniser un autre animal 
pour compléter : Mise en évidence expérimentale d'une immunité acquise
immunité acquise, adaptative, spécifique

A2 : Mise en évidence de la cytotoxicité / MET

\immuno_cytotox.odg ©
schématisation :
lymphocytes T8 → lymphocytes T cytotoxiques

A3 : mise en évidence d'une coopération cellulaire

© \immuno_cytotox.odg
© \immuno_molécules.odg
diapo \immuno-Cooperation cellulaire.odp
En 1966 Claman a montré qu’une souris privée de thymus à la naissance et privée de moelle osseuse par irradiation, ne produit plus d’anticorps.
Cependant dans certaines conditions, la production d’anticorps peut être rétablie.
coopération cellulaire

§ comment l'organisme se défend-t-il contre une infection ?

3,1,2/ Généralisation et systématique cellulaire

A1 : Nomenclature des cellules de l'immunité

© immuno_cellules.odg
Diapo : immuno-cell-sang.odp
cell au MET :
http://www.jle.com/e-docs/00/04/12/2C/texte_alt_jleabc00134_gr1.jpg
Syst immunitaire hom
Origine cell immun
  • thrombocytes = plaquettes
  • érythrocytes → globules rouges = hématies
  • leucocytes = globules blancs
Organes lymphoïdes : rate, appendice, ganglions …
cellules immunitaires = leucocytes = globules blancs : macrophage, monocyte, granulocyte, phagocyte, mastocyte, lymphocyte

A2 : Chasse aux microbes / internet

Diap microbes
MAIS :
Sequencing Staph: New Genetic Analysis Tracks MRSA Mutations : http://www.scientificamerican.com/article.cfm?id=mrsa-genome-sequencing
ET :
Microbes : pourquoi bactéries et virus nous sont indispensables : http://www.larecherche.fr/content/actualite-vie/article?id=28667
exploring biodiversity that live on us : http://www.yourwildlife.org/
Un nouveau virus géant découvert dans le permafrost sibérien : http://www2.cnrs.fr/presse/communique/4189.htm
virus sika

A3 : Une breve sur les recepteurs de l'immunite innee

À l'occasion d'une lésion, des pathogènes peuvent s'introduire dans l'organisme par l'intermédiaire de la peau ou des muqueuses. Différentes cellules de l'immunité innée présentes dans ces tissus, souvent qualifiées de cellules résidentes, reconnaissent ces pathogènes dès leur entrée dans l'organisme. Il s'agit des cellules dendritiques, des macrophages et des mastocytes.
L'identification des pathogènes par ces cellules se fait au moyen de récepteurs qui reconnaissent des motifs moléculaires caractéristiques des micro-organismes. On parle de PRR (Pattern Recognition Receptor, Le terme fut proposé par l'immunologiste Charles Janeway en 1989) pour désigner ces récepteurs cellulaires capables de reconnaître des motifs moléculaires caractéristiques des pathogènes, motifs appelés  PAMP (Pathogen Associated Molecular Patterns).
Les PRRs sont exprimés par toutes les cellules de l'immunité innée. Certains PRRs sont membranaires, d'autres sont cytoplasmiques, ce qui permet un repérage efficace du pathogène.
La reconnaissance d'un PAMP par un PRR peut en particulier :
déclencher la phagocytose
déclencher l'activation de la cellule et la mise en place de mécanismes effecteurs.
Pour aller plus loin : une page scientifique complète sur le rôle des récepteurs de l'immunité innée

Bilan : Immunité innée & naturelle

L'immunité innée ne nécessite pas d'apprentissage préalable, est génétiquement héritée et est présente dès la naissance. Elle repose sur des mécanismes de reconnaissance et d'action très conservés au cours de l'évolution. Très rapidement mise en oeuvre, l'immunité innée est la première à intervenir lors de situations variées (atteintes des tissus, infection, cancer). C'est une première ligne de défense qui agit d'abord seule puis se prolonge pendant toute la réaction immunitaire. Elle prépare le déclenchement de l'immunité adaptative.
Mots-clefs : Organes lymphoïdes, macrophages, monocytes, granulocytes, phagocytose, mastocytes,

§ que se passe-t-il si l'infection persiste ? Comment l'immunité innée est-elle enrichie au cours de la vie ?

§ comment l'organisme se défend-t-il contre une infection ?

A4 : Quelques molécules (anti)inflammatoires

Diapo : immuno_aspirine.odp
COX = cyclooxygénase
Nouvelles molécules anti-inflammatoires d'origine microbienne : http://www2.cnrs.fr/presse/communique/1659.htm
médiateurs chimiques de l'inflammation, réaction inflammatoire, médicaments anti-inflammatoires

Bilan : la réaction inflammatoire

La réaction inflammatoire aiguë en est un mécanisme essentiel. Elle fait suite à l'infection ou à la lésion d'un tissu et met en jeu des molécules à l'origine de symptômes stéréotypés (rougeur, chaleur, gonflement, douleur).
Mots-clefs : macrophages, monocytes, granulocytes, phagocytose, mastocytes, médiateur chimique de l'inflammation, réaction inflammatoire, médicament anti-inflammatoire.

C : Sitographie/ la réaction inflammatoire

mercredi 21 mars 2018

atelier cage


quelles différences entre gènes, allèles ?

Travaux pratiques : Gènes, Allèles A L’AIDE DU LOGICIEL « ANAGENE »
Objectifs : -Exprimer et exploiter des résultats à lécrit en utilisant les technologies de linformation
Principe : -Comparer des séquences de nucléotides de 4 gènes pour donner une définition du mot gène.
-Comparer des séquences de nucléotides de 3 allèles dun même gène pour donner une définition du mot allèle.
Protocole :
  1. Lancez le logiciel « Anagène » qui se trouve dans le dossier «SVT»
  2. Sélectionnez « banque de séquences » dans le menu fichier .
  3. Choisissez un gène. Prendre une molécule ayant comme suffixe .cod ou .adn
  4. Répétez les mêmes opérations pour trois autres gènes, puis validez.
  5. Sélectionnez les séquences de nucléotides, et utilisez l'icône « comparer les séquences/ comparaison simple» pour obtenir leur comparaison.
  6. Appeler le professeur pour vérification
  7. Copier-coller sur document.odt votre résultat pour mettre en évidence la différence entre les gènes
  8. Définir le mot gène et écrire la définition sous le tableau.
  9. Sélectionnez « banque de séquences » dans le menu fichier .
  10. Choisissez le gène béta de lhémoglobine.
  11. Prendre l'allèle normal « betacod.adn »
  12. Répétez les mêmes opérations pour les 2 allèles mutés, puis validez.
  13. Sélectionnez les séquences de nucléotides, et utilisez l'icône « comparer les séquences/ comparaison simple» pour obtenir leur comparaison.
  14. Appeler le professeur pour vérification
  15. Copier-coller sur document.odt votre résultat pour mettre en évidence la différence entre allèles
  16. Définir le mot allèle et écrire la définition sous le tableau.