vendredi 17 mars 2017

A3 : Ages de fonds océaniques / cartographie

© forages schemas.odg
Poster couloirs labos
Manuel p.161

B222/ GPS et forages confirment l'hypothèse

Le modèle prévoit que la croûte océanique est d’autant plus vieille qu’on s’éloigne de la dorsale. Les âges des sédiments en contact avec le plancher océanique (programme de forage sous-marins JOIDES) confirment cette prédiction et les vitesses prévues par le modèle de la tectonique des plaques.
Le modèle prévoit aussi des vitesses de déplacements des plaques d’après le paléomagnétisme et les alignements de volcans intraplaques. Avec l’utilisation des techniques de positionnement par satellites (GPS), à la fin du XXème siècle, les mouvements des plaques deviennent directement observables et leurs vitesses sont confirmées.
17 mars

B/ Cartographie, points chauds, forages et GPS / schéma ©

Mots clefs : Failles transformantes, modèle, alignements volcaniques, point chaud, Âges des sédiments, forage, JOIDES, paléomagnétisme, alignements volcaniques, GPS,
© sch'bilan 5
ou tectonique_schbil5.odg
  • Coloriez les fonds océaniques en fonction de l'âge
  • Placez les vecteurs GPS principaux
  • Placez les forages étudiés
  • Placez les volcans étudiés
  • Coloriez les 12 plaques

jeudi 16 mars 2017

§ Comment la théorie de la tectonique des plaques est-elle maintenant confortée ?

A2 : Exploitation de données de forages / logiciels

Comment fait-on un forage ? → diaporama sur http://www.iodp.org/
site de données sur les forages : http://www.isteem.univ-montp2.fr/IODP-France/
forages
JOIDES (Joint Oceanic Institution for Deep Earth Sampling)
IPOD (International Phase of Ocean Drilling), puis ODP (Ocean Drilling Project)
ECORD (European Consortium for Ocean Drilling Research)
IODP (Integrated Ocean Drilling Program)
DSDP (Deep Sea Drilling Projet)
fichiers sur serveur « commun » → SVT → 1S → forages
® TP forage Google Earth et Excel.odt
® TP forage Google Erth et excel données.xlsx
® Divergence.kmz
© EV TP forage google earth et excel.odt
TP forage Google Earth et excel correction.xlsx
dessiner un profil topographique avec des courbes de niveau = profil d'élévation sous Google earth
manuel p 160

§ Quelle est l'utilisation anthropique des plantes ?

B52/ reproduction & protection angiospermes

La plante possède des structures et des mécanismes de défense (contre les agressions du milieu, les prédateurs, les variations saisonnières).
L'organisation florale, contrôlée par des gènes de développement, et le fonctionnement de la fleur permettent le rapprochement des gamètes entre plantes fixées.
La pollinisation de nombreuses plantes repose sur une collaboration animal pollinisateur/plante produit d'une coévolution.
À l'issue de la fécondation, la fleur se transforme en fruits contenant des graines.
La dispersion des graines est nécessaire à la survie et à la dispersion de la descendance. Elle repose souvent sur une collaboration animal disséminateur/plante produit d'une coévolution.

§ Plantes médicinales, huiles essentielles, homéopathie ….

§ Quelle est l'utilisation anthropique des plantes ?

3.3. La plante domestiquée

Les plantes (on se limite aux angiospermes), directement ou indirectement (par l'alimentation des animaux d'élevage /ex) sont à la base de l'alimentation humaine. Elles constituent aussi des ressources dans différents domaines : énergie, habillement, construction, médecine, arts, pratiques socioculturelles, etc... La culture des plantes constitue donc un enjeu majeur pour l'humanité. L'homme agit sur le génome des plantes cultivées et donc intervient sur la biodiversité végétale. L'utilisation des plantes par l'Homme est une très longue histoire, qui va des pratiques empiriques les plus anciennes à la mise en oeuvre des technologies les plus modernes.

A1 : Comparaison de plantes sauvages et cultivées

D\plantes sauvages et cultivees.odp
Comparaison carotte, fenouil, épinard/chénopode
Comparaison maïs et téosinte / tableaux
© pages 10-11 \Plante_domestiquee_228039.pdf
compléter les tableaux
Recherchez :
◦ l’architecture de la plante et des inflorescences
◦ la structure des grains et leur composition chimique
• Légendez les croquis
Indiquez les ressemblances et différences : de l’architecture de la plante, des inflorescences et
des grains (nombre par épis, masse, composition)
Expliquez pourquoi :
• les caractéristiques du maïs sont des avantages pour une plante cultivée
• la plante cultivée ne peut plus se reproduire à l’état sauvage
Rappel : domestication du blé vu dans chapitre génétique
Identifiez le lieu, l’âge approximatif et les modifications génétiques à l’origine de la domestication du Maïs1
Diversité des cultures de carotte / GNIS : http://www.gnis.fr/index/action/page/id/857
Diversité des légumes du marché : http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/Marche/etalage.htm

A2 : Amélioration des plantes / sélection

© textes : \plantes amélioration.odt
répondre aux questions
1Le lieu : en méso- Amérique, région dans laquelle on trouve le plus grand nombre de variétés de Maïs, les croisements possibles avec les différentes variétés de Téosinte peuvent expliquer cette diversité.
L’âge : 6000 ans, découverte d’épis possédant des rachis solides (donc de Maïs) datés de 4250 ans au Mexique.

mardi 14 mars 2017

Quels sont les mécanismes cellulaires et moléculaires qui permettent de produire de l’énergie par respiration ?

Que devient le pyruvate dans la matrice mitochondriale ?

A5 : Réactions chimiques intramitochondriales

© glycolyse schematisation.odt
cycle de Krebs (dans la mitochondrie)
Diapo / respiration meca mol.odp
O2
CO2

A6 : Equation Bilan de la respiration dans la cellule

© respiration meca mol.odg

A : calculs de rendements energetiques

rendements energetiques ATP.odt

B2 : Energie et respiration1

- La plupart des cellules eucaryotes (y compris les cellules chlorophylliennes) respirent : à l'aide de dioxygène, elles oxydent la matière organique en matière minérale. La mitochondrie joue un rôle majeur dans la respiration cellulaire. L'oxydation du glucose comprend la glycolyse (dans le hyaloplasme) puis le cycle de Krebs (dans la mitochondrie) : dans leur ensemble, ces réactions produisent du CO2 et des composés réduits R'H2. La chaîne respiratoire mitochondriale permet la réoxydation des composés réduits ainsi que la réduction de dioxygène en eau. Ces réactions s'accompagnent de la production d'ATP qui permet les activités cellulaires.

§ levures en an//aérobie

© levures ME.odg

Quel métabolisme sans dioxygène, sans mitochondries ?

2,2,2 : Fermentation

A1 : fermentation de levures / montage expérimental

Demo prof
faire un schéma du montage
observer les résultats
conclure
alcool, CO2
1[Le détail des réactions chimiques, les mécanismes de la chaîne respiratoire et la conversion chimio-osmotique ne sont pas au programme.]

lundi 13 mars 2017

§ Comment la plante se reproduit-elle ?

Comment l'inflorescence naît-elle du méristème ?

Méristème = tissus (ensemble de cellules) en multiplication cellulaire => de croissance

A6 : Morphogénèse d'une fleur Arabidopsis thaliana / étude de mutants

Diap \genes ABC Arabidopsis thaliana.odp
genes ABC arabidopsis thaliana.odg ©
Schéma Modèle ABC : Lieux d’expression des gènes (classes de gènes) d’identité des organes dans le développement floral : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=2917
tous les articles < 2007 sur le modèle ABC : http://aob.oxfordjournals.org/content/100/2/155.full.pdf+html
gènes de développement et organisation florale

B52/ reproduction & protection angiospermes

La plante possède des structures et des mécanismes de défense (contre les agressions du milieu, les prédateurs, les variations saisonnières).
L'organisation florale, contrôlée par des gènes de développement, et le fonctionnement de la fleur permettent le rapprochement des gamètes entre plantes fixées.
La pollinisation de nombreuses plantes repose sur une collaboration animal pollinisateur/plante produit d'une coévolution. À l'issue de la fécondation, la fleur se transforme en fruits contenant des graines.
La dispersion des graines est nécessaire à la survie et à la dispersion de la descendance. Elle repose souvent sur une collaboration animal disséminateur/plante produit d'une coévolution.