vendredi 30 septembre 2016

§ Quel est le lien entre gènes et protéines ?

A3 : Découpage d'une protéine à différentes échelles / Rastop

FT/ logiciel de modélisation moléculaire / manuel p.394
Rastop, Raswin, Rasmol, jmol, ... sont des logiciels de modélisation moléculaire en 3D → forme des molécules et macromolécules
différentes façons de décrire une protéine / rastop
formule chimique des acides aminés puis de la liaison peptidique : http://www.snv.jussieu.fr/vie/dossiers/acideamine/acideamine.htm
Formule générale des acides aminés :
formule de la liaison peptidique

jeudi 29 septembre 2016

§ Comment reconstituer l'histoire d'une chaîne de montagnes ?

1,3,1/ Des roches métamorphiques

A1 : Observation de lames minces de roches / µscope polarisant et analysant

© TP_roches.odg
  1. observer à l'oeil nu : aspect général : minéraux, couleurs, structure
  2. observer les lames minces au microscope en LPnA puis LPA: structure de la roche : grenue, microlithique et minéraux en présence
  3. réaliser un dessin d'observation légendé
pour apprendre à reconnaître les minéraux et roches : manuel p.398-399
atlas minerals / Siddall, London : http://www.ucl.ac.uk/~ucfbrxs/PLM/PLMhome.html
atlas de roches et minéraux webminéral BRGM :
atlas de lames minces Minéraux et roches / Aubry, Caen : http://www.etab.ac-caen.fr/discip/geologie/Micropol/index.html
article de minéralogie au microscope polarisant : http://www.svt-monde.org/spip.php?article26
Le CRPG (Centre de Recherches Pétrographiques et Géochimiques, : http://www.crpg.cnrs-nancy.fr/Science/Collection/index.html

A2 : Etude du métamorphisme / graphe des faciés

© TP_roches.odg
D\facies métamorphiques.odp
Dans les ensembles de minéraux, plusieurs représentants voisins :
Micas : {biotite, muscovite, ...}
Feldspaths : {plagioclase, alcalin, ..}
Amphiboles : {horblende, glaucophane, actinote, ...}
Pyroxènes : {jadéite, ...}
Des transformations possibles :
Plagioclase+ pyroxène + eau hornblende
plagioclase + hornblende + eau chlorite + actinote
plagioclase + chlorite glaucophane + eau.
facies métamorphiques :
trajet d'un gabbro de la croûte oc (Nicollet) : http://christian.nicollet.free.fr/page/Figures/phototeque.html#TrajetCO
Collection de roches subduites dans les Alpes : éclogite et métagabbro : http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/biologie/ress/geologie/metagabbro/metagabbro.html
http://tristan.ferroir.fr/index.php/2011/12/29/les-facies-metamorphiques-deskola-et-lutilisation-dune-grille-petrogenetique/
diagramme de phase, T°/P°,
solidus // liquidus,
magmatisme // métamorphisme
faciés métamorphiques

§ Quel est le lien entre gènes et protéines ?

FT / électrophorèse

manuel p.396
éléctrophorèse de blancs d'oeufs : http://www.didier-pol.net/2elec-pr2.htm

A1 : Séparation de protéines / électrophorèse

1S_TP_drepanocytose_electrophorese.doc

mardi 27 septembre 2016

la vie secrète des sols

§ Comment se procure-t-on les sucres de la digestion ?

§ comment l'action des enzymes varie-t-elle ?

A4 : Modélisation enzymologique / logiciels

4 conditions d'action : [S], [E], pH, T°C
interprétation des graphes de résultats :

[P] = f(t) : augmente si T°C < 42°C et pH neutre et S compatible et en quantité suffisante
[S] = f(t) : inverse, mêmes conditions
seuil d'activité : plus d'activité enz, de produit formé, quand il n'y a plus de substrat à transformer
[P] = f(pH) , [P] = f(T°C) : courbe de Gauss : [P] max pour pH et T°C donnée
inhibiteur
La température et le pH déterminent l'efficacité de l'enzyme. L'enzyme peut être inactivée à basse température ou dénaturée à haute température. Chaque enzyme a une température et un pH optimum d'activité. Le milieu de vie de la cellule est déterminé par les pH et température optimums d'action de ses enzymes. La vitesse de la réaction dépend de la concentration de substrat et d'enzyme dans le milieu. Les enzymes sont des protéines, donc codées dans l'ADN, donc l'équipement enzymatique d'une cellule (individu) dépend de son patrimoine génétique.
octobre

A5 : Modélisation moléculaire / Rastop

© TP_Amylase Rastop Anagène.odt
Le mode d'action des enzymes est lié à la structure spatiale de la molécule (protéine) : la double spécificité (d'action et de substrat) repose sur la forme du site actif qui permet la formation du complexe enzyme-substrat et ainsi la catalyse de la réaction. La forme du site actif de l'enzyme dépend de la séquence polypeptidique (en acides aminés) qui la compose.

lundi 26 septembre 2016

Tracer les origines de la contamination au mercure dans les cheveux

Présent dans notre vie quotidienne, le mercure est un puissant neurotoxique, que notre corps accumule partiellement au fil des années. La consommation d'aliments comme le poisson, ou le riz dans certaines régions polluées, est l'une des formes les plus communes d'exposition au mercure. Mais il est également présent dans les amalgames dentaires, dans certains vaccins et médicaments, dans les objets électroniques et utilisé dans les exploitations aurifères artisanales (orpaillage). Identifier l'origine d'une contamination au mercure est essentiel pour évaluer le risque toxicologique, traiter l'empoisonnement ou effectuer des examens médico-légaux. Pour cela il est essentiel de déterminer la forme moléculaire du mercure dans les tissus humains, actuellement très peu connue. Des chercheurs du CNRS, de l'Université de Bordeaux, de l'Université Grenoble Alpes , de l'ESRF, le synchrotron européen de Grenoble et de l'Université de l'Illinois à Chicago, ont développé de nouvelles techniques d'analyses permettant d'identifier les formes chimiques du mercure dans les cheveux humains et par là-même la source d'exposition. Ces résultats sont publiés dans la revue Environmental Science & Technology.

§ Comment définir la lithosphère continentale ?

A4 : Mesure de densité des roches / site

densité croûte océanique/ continentale

B12 : La lithosphère continentale

La croûte continentale affleure dans les régions émergées. L'examen de données géologiques permet à la fois d'expliquer cette situation et de nuancer cette vision rapide car les mécanismes de formation des montagnes sont complexes. On se limite au cas des reliefs liés à un épaississement crustal dont les indices peuvent être retrouvés sur le terrain ou en laboratoire.
Les différences d'altitude moyenne entre les continents et les océans s'expliquent par des différences crustales. La croûte continentale, principalement formée de roches voisines du granite, est d'une épaisseur plus grande et d'une densité plus faible que la croûte océanique. L'âge de la croûte océanique n'excède pas 200 Ma, alors que la croûte continentale date par endroit de plus de 4 Ga. Cet âge est déterminé par radiochronologie. La radiochronologie des roches est fondée sur la décroissance radioactive naturelle de certains éléments chimiques présents dans les minéraux qui les constituent.
Au relief positif qu'est la chaîne de montagnes, répond, en profondeur, une importante racine crustale. L'épaississement de la croûte résulte d'un raccourcissement et un empilement. On trouve des indices tectoniques (plis, failles, nappes) et des indices pétrographiques (métamorphisme, traces de fusion partielle) du raccourcissement. Les résultats conjugués des études tectoniques et minéralogiques permettent de reconstituer un scénario de l'histoire de la chaîne.

C/ Poursuivre

§ Comment reconstituer l'histoire d'une chaîne de montagnes ?

1.3/ La convergence lithosphérique : contexte de la formation des chaînes de montagnes

Si les dorsales océaniques sont le lieu de la divergence des plaques et les failles transformantes une situation de coulissage, les zones de subductions sont les domaines de la convergence à l'échelle lithosphérique. Ces régions, déjà présentées en classe de première S, sont étudiées ici pour comprendre une situation privilégiée de raccourcissement et d'empilement et donc de formation de chaînes de montagnes.

1,3,1/ Des roches métamorphiques

Les 3 types de roches

 

 Les roches et minéraux correspondants à connaître en TS