vendredi 8 novembre 2019

A3 : Des traces de subduction dans les montagnes

D \traces subduction ds montagnes.odp
facies métamorphiques :
trajet d'un gabbro de la croûte oc (Nicollet) : http://christian.nicollet.free.fr/page/Figures/phototeque.html#TrajetCO
Collection de roches subduites dans les Alpes : éclogite et métagabbro : http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/biologie/ress/geologie/metagabbro/metagabbro.html
métagabbros, éclogite

A4 : Des traces d'océan dans les montagnes

D/ traces ocean ds montagnes.odp
pillows lavas, sédiments, fossiles, failles normales / marges passives, ophiolites
Les chaînes de montagnes présentent souvent les traces d'un domaine océanique disparu (ophiolites) et d'anciennes marges continentales passives (failles normales).

jeudi 7 novembre 2019

Goya : l'exposition événement

les règles du jeu

Épreuve facultative, toutes séries générales et technologiquesÉpreuve orale
Durée : 30 minutes maximum, sans temps de préparation
Première partie : 20 minutes maximum
Seconde partie : le temps restant
Objectifs de l'épreuve L'épreuve a pour objectif d'évaluer les compétences plasticiennes et techniques, théoriques et culturelles des candidats. Il s'agit de mesurer l'étendue des connaissances, de vérifier les acquis et d'apprécier la singularité de démarches inscrites dans un itinéraire artistique. Les compétences d'expression et d'argumentation font l'objet d'une attention particulière.
Modalités de l'épreuveL'évaluation se déroule sous la forme d'un entretien en deux temps s'appuyant sur un dossier de travaux réalisés par le candidat, puis sur sa culture artistique acquise dans le domaine des arts plastiques.
- Première partie : entretien sur dossier
La première partie de l'entretien prend la forme d'un dialogue avec les membres du jury. Ce dialogue s‘appuie exclusivement sur le dossier présenté par le candidat. Ce dossier est composé de travaux choisis par le candidat, réalisés dans le cadre de l'enseignement d'arts plastiques de l'année de terminale et en référence à son programme. Ils permettent au candidat de témoigner au mieux des projets, des démarches et des aboutissements qui ont jalonné son année de formation. Ces travaux font l'objet d'une évaluation.
- Seconde partie : entretien sur les connaissances et la culture artistique du candidatLe jury interroge le candidat à partir d'un ou de plusieurs documents iconographiques, en relation avec le programme de terminale publié au Bulletin officiel du ministère de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative. Il évalue les connaissances que celui-ci a acquises sur les contenus du programme (la question de la présentation et les trois questions limitatives). Il prend également la mesure des capacités du candidat à mobiliser des références utiles à situer les ancrages de sa pratique plastique.
- Le dossier est introduit par la fiche pédagogique, dont un modèle est placé en annexe 1 de la présente note de service. Il comprend également une liste de travaux.
- La fiche pédagogique précise que les travaux sont liés à l'enseignement facultatif en terminale. Elle est établie par le professeur et signée par le chef d'établissement. Elle comprend la liste des travaux contenus dans le dossier. Elle fait également apparaître la démarche ayant présidé à la mise en œuvre du programme, ainsi que les lieux culturels visités. Des indications concernant plus spécifiquement le travail du candidat et susceptibles d'éclairer le jury peuvent y être consignées.
- Les travaux sont choisis à l'initiative du candidat qui en juge l'intérêt et le bien-fondé. Ils témoignent de l'usage de médiums et techniques variés. Leur nombre est au minimum de trois et au maximum de six.
Au moins deux d'entre eux sont obligatoirement bidimensionnels et sur support physique. L'ensemble des travaux sont réunis dans un carton à dessin n'excédant pas le format raisin (50 x 65 cm) et 5 cm d'épaisseur. Les éléments (croquis et autres recherches) en relation avec les travaux du candidat peuvent être présentés sur des formats bidimensionnels. Tous les travaux en volume, bidimensionnels de très grand format ou ceux impliquant la durée ou le mouvement, sont restitués et visualisés par les moyens de la photographie, de la vidéo ou de l'infographie. Ils sont réunis dans un dossier numérique.
Les productions spécifiquement informatiques sont également incluses dans ce même dossier numérique.
Le visionnement du dossier n'excède pas cinq minutes. Le candidat est responsable du bon fonctionnement du matériel informatique requis. Des restitutions papier sont à prévoir par le candidat et seront présentées en cas d'une éventuelle panne technique du dispositif numérique.
Chaque élément du dossier est authentifié par le professeur et visé par le chef de l'établissement d'origine du candidat. Les productions numériques sont certifiées par une extraction de quelques éléments caractéristiques de type photogramme sur support papier.
Critères d'évaluation et notationCette épreuve orale est notée sur 20 points répartis comme suit :
- la première partie, entretien sur dossier, est notée sur 16 points à raison de 12 points pour les travaux et de 4 points pour l'entretien ;
- la seconde partie, entretien sur les connaissances et la culture artistique du candidat, est notée sur 4 points.
Il s'agit d'évaluer les capacités du candidat à :
- maîtriser la mise en forme visuelle et plastique ainsi que les techniques de réalisation ;
- expliciter et justifier des choix artistiques ;
- affirmer un parti pris singulier et des qualités d'invention.
Les candidats individuels ou issus des établissements scolaires hors contrat d'association avec l'État Ils présentent l'épreuve dans les mêmes conditions que les candidats scolaires. Dans ce cas, la fiche pédagogique peut être remplie directement par le candidat.
Composition du juryChaque commission d'interrogation est composée de deux professeurs d'arts plastiques dont un au moins assure tout ou partie de son service en lycée.
 http://www.education.gouv.fr/pid25535/bulletin_officiel.html?cid_bo=59483

les artistes à connaitre

Arts plastiques - Option facultative toutes séries
  • Sophie Taeuber-Arp (1889-1943)
En appui sur trois œuvres significatives de Sophie Taeuber-Arp, le professeur soutiendra l'investigation de l'entrée de programme portant sur « la tradition, rupture et renouvellements de la présentation : la tradition du cadre et du socle, ses ruptures et renouvellements contemporains » (extrait du programme fixé par l'arrêté du 21 juillet 2010, B.O. spécial n° 9 du 30 septembre 2010).
Artiste particulièrement inventive, Sophie Taeuber-Arp est pleinement inscrite dans les avant-gardes du début de XXe siècle. Elle devait pourtant rester longtemps dans l'ombre des grandes figures masculines de la modernité en arts plastiques. Membre de Dada, pratiquant l'art concret bien avant que les principes en soient énoncés par Théo Van Doesburg, elle s'est rapidement associée à des groupes d'artistes de tendance abstraite : Cercle et Carré, Abstraction-Création ou Allianz. Son œuvre très diverse s'exerce dans de nombreux domaines entre lesquels elle entretient de nombreux liens, les nourrissant réciproquement de leurs langages, de leurs esthétiques, de leurs avancées : peinture, sculpture, danse, architecture, architecture d'intérieur, arts décoratifs, etc. Elle devait également fonder et éditer la revue Plastique/PLASTIC.
- Sophie Taeuber-Arp (1889-1943), Tapisserie Dada, Composition à triangles, rectangles et parties d'anneaux, 1916, tapisserie au petit point, laine, 41 x 41 cm. Musée national d'art moderne, Centre Georges-Pompidou, Paris. Legs Mme Ruth Tillard-Arp, 2007 ;
- Sophie Taeuber-Arp (1889-1943), Jean ou Hans Arp (1886-1966), Théo van Doesburg (1883-1931), L'Aubette, 1926-1928, aménagement et décors d'un complexe de loisirs (café, restaurant, brasserie, salon de thé, ciné-bal, caveau-dancing, salle des fêtes, etc.) sur quatre niveaux (caveau, rez-de-chaussée, entresol et étage), Strasbourg. Premier étage restitué de 1985 à 2006. Classée au titre des Monuments Historiques ;
- Sophie Taeuber-Arp (1889-1943), Relief rectangulaire, rectangles découpés, rectangles appliqués et cylindres surgissants, 1936, relief en bois peint, 50 x 68,5 cm, signé et daté sur le dos : SH Taeuber-Arp 1936. Kunstmuseum, Basel. Don de Marguerite Arp-Hagenbach, 1968.
  • Les transparents de Carmontelle : d'une mise en scène de l'image aux prémices de l'histoire de l'installation
Ces œuvres et cette problématique visent à soutenir l'investigation de l'entrée du programme portant sur « l'aspect matériel de la présentation : le support, la nature, les matériaux et le format des œuvres ». Si l'étude des transparents réalisés par Louis Carrogis dit Carmontelle (1717-1806) en constitue l'objet, elle est aussi le point d'entrée - y compris dans le cadre de la pratique des élèves - vers des éléments de comparaison avec des stratégies et des modalités de présentation développées ultérieurement.
La part faite en arts plastiques à la sollicitation des sens du spectateur (perceptions tactiles, synesthésiques, auditives, etc.), son immersion ou son implication dans l'œuvre sont des caractéristiques de la modernité, sans en être les uniques marqueurs. En matière de présentation, la cimaise - « présentoir » frontal - s'est avérée particulièrement propice à soutenir un système de retrait contemplatif du regardeur. De nouvelles expériences sensibles et définitions de l'œuvre ont été proposées par l'installation et ses prémices. Celles-ci jouent fréquemment avec les mises en scène de l'image, le développement de son mouvement ou de la relation du spectateur avec l'image. Quelques précédents avant le XXe siècle, dont les transparents de Carmontelle et leur dispositif, ont jalonné progressivement les possibilités de cet élargissement de la conception et de la réception de l'œuvre plastique.
Axes de travail :
On étudiera les enjeux et problématiques que proposent les transparents de Carmontelle du point de vue de la présentation :
- l'émergence d'un mouvement imprimé à l'image et d'une mise en scène de l'œuvre plastique dans les transparents de Carmontelle ;
- les caractères nomades et éphémères de la monstration des transparents et multi sensoriels de leur réception ;
- les modalités techniques du dispositif et d'organisation de l'espace de présentation chez Carmontelle.
En prenant appui sur des exemples précis, librement choisis, le professeur enrichira cette étude des transparents de Carmontelle de leur écho dans les pratiques contemporaines.
  • Bill Viola
En appui sur des œuvres de Bill Viola, le professeur soutiendra l'investigation de l'entrée de programme portant sur « le statut de l'œuvre et présentation » (extrait du programme fixé par l'arrêté du 21 juillet 2010, B.O. spécial n° 9 du 30 septembre 2010).
Mondialement reconnu, Bill Viola est aujourd'hui un des artistes majeurs de l'image électronique. Né en 1951, il a grandi à l'ère des premiers développements de l'art vidéo. Dès ses études et ses premiers travaux d'artiste, il privilégiait ce nouveau médium pour en explorer les multiples possibilités artistiques : captations de performances, mises en espace des images et des moniteurs vidéo, exploitation du potentiel plastique, sémantique, symbolique des projections sur de grandes surfaces, etc. Au moyen d'installations intimistes ou monumentales, ses créations interrogent le rapport au temps de l'œuvre et au réalisme des sensations, des émotions et des expériences. Sculptant le temps, bouleversant les perceptions, immergeant le spectateur, Bill Viola propose une relation différente aux images animées. Il en pousse notamment les conventions narratives pour rejoindre parfois l'idée de « tableaux animés ». Il associe le visuel, le sonore et l'espace. Il tire parti des appareils et des technologies (caméras, optiques scientifiques, systèmes numériques, etc.), des formats et des qualités des écrans (miroirs, moniteurs multiples, rétroprojecteurs, etc.). Il joue de divers effets (ralentissements, grossissements, pétrifications, etc.). Nombre de ses créations ouvrent des dialogues entre la modernité du médium digital et un univers d'images s'inscrivant dans l'histoire de l'art.
Le professeur pourra sélectionner des œuvres parmi celles indiquées ci-après, à titre de repères, sans pour autant devoir s'y limiter :
- des bandes vidéo aux écrans plasma : The Reflecting Pool, 1977-79 ; Chott El-Djerid, 1979 ; Reverse Television - Portraits of Viewers, 1983-1984 ; Deserts, 1994 ; Walking on the Edge et The Encounter, 2012 ; The Dreamers, 2013 ;
- sculptures vidéo et installations : Heaven and Earth, 1992 ; The Sleepers, 1992 ; The Veiling, 1995 ; The Crossing, 1996 ; Going Forth By Day, 2002 ; The Tristan Project (Fire Woman et Tristan's Ascension), 2005 ;
- références aux grands maîtres : The Sleep of Reason, 1988 ; The Greeting, 1995 ; The Quintet of the Astonished, 2000.
https://www.education.gouv.fr/pid285/bulletin_officiel.html?cid_bo=126976

3/Modélisation de la membrane cytoplasmique / Rastop

Schématiser la membrane plasmique à partir de molécules dont les parties hydrophile/lipophile sont identifiées.
La cellule est un espace séparé de l’extérieur par une membrane plasmique. Cette membrane est constituée d’une bicouche lipidique et de protéines. La structure membranaire est stabilisée par le caractère hydrophile ou lipophile de certaines parties des molécules constitutives.

spécialisation cellulaire,
Les cellules spécialisées ont une fonction particulière dans l’organisme, en lien avec leur organisation
Toutes les cellules d’un organisme sont issues d’une cellule unique à l’origine de cet organisme
Elles possèdent toutes initialement la même information génétique cependant, les cellules spécialisées n’expriment qu’une partie de l’ADN.

§ qu’est-ce que l’ADN ?

2/ Histoire de la découverte de l’ADN

? notez les découvertes progressives
1865 en Autriche : Mendel démontre l'existence de "facteurs génétiques"
1868 en Suisse : Miescher trouve une substance spécifique du noyau qu'il nomme la "nucléine"
1883 en Allemagne : Weismann utilise le terme "matériel génétique"
1890 en Allemagne : Flemming, van Beneden & Strasburger publient des dessins de « chromosome » et de mitose.
1903 en Amérique : Sutton hypothesized that chromosomes are hereditary units.
1905 en Angleterre : Bateson suggère le motgeneticspour désigner les sciences de l’hérédité.
1909 au Danemark : Joahannsen définit le mot « gène ».
1910 en Amérique : Morgan démontre que les gènes sont portés par les chromosomes.
1933 en France : Brachet que l’ADN constitue les chromosomes.
1944 en Amérique : Avery, Mc Leod et Mc Carty montrent que l'ADN est le support des gènes.
1951 en Amérique : Chargaff établit sa règle : [A] = [T] et [C] = [G] pour toute cellule.
1953 en Angleterre : Franklin & Wilkins montrent que la molécule d’ADN a la forme d'une double hélice, puis Watson & Crick construisent le modèle moléculaire de l'ADN
1962 Nobel Prize in Physiology & Medecine
ADN, double hélice,
nucléotides (adénine, thymine, cytosine, guanine), complémentarité,
l’information génétique est organisée en gènes constitués d’ADN (acide désoxyribonucléique).

3/ modélisation moléculaire de l’ADN / logiciel Rastop

? utiliser le logiciel pour synthétiser/simplifier/construire une molécule d'ADN en schéma sur votre cahier
Objectifs : -Exprimer et exploiter des résultats à lécrit en utilisant les technologies de linformatique
Principe : les logiciels Rastop, Rasmol, Raswin, Jmol, … sont des banques de données de modèles moléculaires. On peut trouver toute sortes des molécules dans une bibliothèque en ligne (http://www.librairiedemolecules.education.fr/index.php) au format « pdb », le format de fichiers lisibles avec le logiciel Rastop (http://acces.ens-lyon.fr/biotic/rastop/accueil.htm).
Protocole :
  1. lancez le logiciel disponible dans le répertoire « SVT »
  2. ouvrir le logiciel « rastop »
  3. ouvrez le fichier « ADN »
  4. admirez la molécule en la manipulant à la souris et en changeant la représentation des atomes et des liaisons
  5. colorez la molécule par « CPK » : quels sont les atomes composant l’ADN ?
  6. colorez la molécule par « chaines » : combien de parties lui trouvez-vous ?
  7. colorez la molécule par « formes » : combien de nucléotides différents existe-t-il ? Que signifie le mot « complémentaires » ?
  8. affichez les « rubans » : quelle est la forme globale de la molécule ?
ADN, double hélice,
nucléotides (adénine, thymine, cytosine, guanine), complémentarité,

4/ synthèse protéique in vitro en MET


transcription, traduction, pré-ARNm, ARNm
Les molécules d'ARN sont synthétisées par complémentarité des nucléotides à partir de l'ADN lors d’un processus dénommé transcription.

5/ coloriage découpage collage pour comprendre par les mains

Codon initiateur = AUG
3 codons stop =

1,2,2,2/ Conséquences de l’expression génétique

1/ Bilan sur les groupes sanguins (rappels de 3e?)

mercredi 6 novembre 2019

A2 : Observation de lames minces de roches métamorphiques / µscope polarisant et analysant

TP_roches.odg
  1. observer à l'oeil nu : aspect général : minéraux, couleurs, structure
  2. observer les lames minces au microscope en LPnA puis LPA: structure de la roche : grenue, microlithique et minéraux en présence
  3. réaliser un dessin d'observation légendé
pour apprendre à reconnaître les minéraux et roches : manuel p.398-399
atlas minerals / Siddall, London : http://www.ucl.ac.uk/~ucfbrxs/PLM/PLMhome.html
atlas de roches et minéraux webminéral BRGM :
atlas de lames minces Minéraux et roches / Aubry, Caen : http://www.etab.ac-caen.fr/discip/geologie/Micropol/index.html
article de minéralogie au microscope polarisant : http://www.svt-monde.org/spip.php?article26
Le CRPG (Centre de Recherches Pétrographiques et Géochimiques, : http://www.crpg.cnrs-nancy.fr/Science/Collection/index.html
eclogite et métagabbro schiste bleu
15 octobre

A3 : Comparaison de densités lithosphériques / sujets BAC

© densite lithosphere.odg
1- Quels constats peut-on faire en comparant les densités des croûtes // manteau ?
2- Que se passe-t-il lorsque le métamorphisme des gabbros atteint le niveau 3 (du point de vue densité) ?
sujet ECE BAC 2013 n°30 : comparaison densité et minéralogie éclogite et métagabbro
cause de la subduction : différence de densité
La différence de densité entre l'asthénosphère et la lithosphère océanique âgée est la principale cause de la subduction. En s'éloignant de la dorsale, la lithosphère océanique se refroidit et s'épaissit. L'augmentation de sa densité au-delà d'un seuil d'équilibre explique son plongement dans l'asthénosphère, et c'est aussi pourquoi son âge n'excède pas 200 Ma en surface.

bilan sur ADN Chs et Gènes

qlq arbres généalogiques aves gropues sanguins
histoire génétique
bilan

mardi 5 novembre 2019

§ Comment reconstituer l'histoire d'une chaîne de montagnes ?

1.3 : Orogénèse et métamorphisme continental

1,3,1 : Des roches transformées à l’état solide

A1 : Etude du métamorphisme / graphe des faciés

TP_roches.odg
D\facies métamorphiques.odp
Dans les ensembles de minéraux, plusieurs représentants voisins :
Micas : {biotite, muscovite, ...}
Feldspaths : {plagioclase, alcalin, ..}
Amphiboles : {horblende, glaucophane, actinote, ...}
Pyroxènes : {jadéite, ...}
Des transformations possibles :
Plagioclase+ pyroxène + eau hornblende
plagioclase + hornblende + eau chlorite + actinote
plagioclase + chlorite glaucophane + eau.
facies métamorphiques :
trajet d'un gabbro de la croûte oc (Nicollet) : http://christian.nicollet.free.fr/page/Figures/phototeque.html#TrajetCO
Collection de roches subduites dans les Alpes : éclogite et métagabbro : http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/biologie/ress/geologie/metagabbro/metagabbro.html
diagramme de phase, T°/P°,
solidus // liquidus,
magmatisme // métamorphisme
faciés métamorphiques
Les matériaux océaniques et continentaux montrent les traces d'une transformation minéralogique (métamorphisme) à grande profondeur au cours de la subduction.

A2 : Observation de lames minces de roches métamorphiques / µscope polarisant et analysant

TP_roches.odg
  1. observer à l'oeil nu : aspect général : minéraux, couleurs, structure
  2. observer les lames minces au microscope en LPnA puis LPA: structure de la roche : grenue, microlithique et minéraux en présence
  3. réaliser un dessin d'observation légendé
pour apprendre à reconnaître les minéraux et roches : manuel p.398-399
atlas minerals / Siddall, London : http://www.ucl.ac.uk/~ucfbrxs/PLM/PLMhome.html
atlas de roches et minéraux webminéral BRGM :
atlas de lames minces Minéraux et roches / Aubry, Caen : http://www.etab.ac-caen.fr/discip/geologie/Micropol/index.html
article de minéralogie au microscope polarisant : http://www.svt-monde.org/spip.php?article26
Le CRPG (Centre de Recherches Pétrographiques et Géochimiques, : http://www.crpg.cnrs-nancy.fr/Science/Collection/index.html
eclogite et métagabbro schiste bleu

Risques Sismiques TERRE #11 - SVT Collège - Mathrix

localisation des séismes


https://renass.unistra.fr/sismicite/derniers-seismes-en-metropole
https://renass.unistra.fr/informations/reseau-national-de-surveillance-sismique

bilan sur les séismes

lundi 4 novembre 2019

1,2,2/ La protéine est l’expression d’un gène

1,2,2,1/ Processus cellulaire de la synthèse protéique

1/ Expériences historiques / anagène

Conclusion historique :
  • 1960 Crick & Brenner découvrent le codon : triplet de nucléotides (bases) correspondant à un acide aminé
  • 1961 Monod et Jacob découvrent l’ARNm : acide nucléique intermédiaire entre ADN et protéines
  • 1965 Niremberg & Mattéi découvrent le code génétique : correspondance entre codons et acides aminés
codon
Le code génétique est un système de correspondance, universel à l’ensemble du monde vivant, qui permet la traduction de l’ARN messager en protéines. L'information portée par une molécule d'ARN messager (le message génétique) est ainsi convertie en une information fonctionnelle (la séquence des acides aminés de la protéine).

2/ Calculs sur le nombre de séquences possible

- Calculer le nombre de combinaisons possibles de séquences de n nucléotides de longueur quand n grandit. Comparer à un code binaire utilisé en informatique.
- Calculer le nombre de combinaisons possibles de séquences de n acides aminés quand n grandit. Comparer au calcul réalisé pour l’ADN.
4 lettres possibles : ATGC
si on fait des séquences de 2 lettres => 42 = 16 séquences possibles
si on fait des séquences de 3 lettres => 43 = 64 séquences possibles
si on fait des séquences de 4 lettres => 44 = 256 séquences possibles
n=nombre de nucléotides dans une séquence nucléique ou d’acides aminés dans une séquence peptidique
nombre de combinaisons possibles de séquences de n nucléotides de longueur quand n grandit = 4n
nombre de combinaisons possibles avec un code binaire utilisé en informatique = 2n
nombre de combinaisons possibles de séquences de n acides aminés quand n grandit = 20n

3/ Autoradiographie d’une biosynthèse pancréatique


- Rechercher et exploiter des documents montrant la synthèse et la présence d'ARN dans différents types cellulaires ou dans différentes conditions expérimentales.
Uracile* à 0' hors de la cell - 1' dans noyau - 2' ds réticulum endoplasmique
Leucine* à 0' hors de la cellule - 3' ds réticulum endoplasmique - 7' ds appareil de Golgi - 30' ds vésicules - 120' dans lumière du canal pancréatique
Noyau, cytoplasme, organites : réticulum [réseau] endoplasmique, appareil de Golgi, vésicules
Chez les eucaryotes, la transcription a lieu dans le noyau et certains des ARN formés, après maturation éventuelle, sont exportés dans le cytoplasme. Parmi ceux-ci se trouvent les ARN messagers qui dirigent la synthèse de protéines lors d’un processus dénommé traduction.

4/ synthèse protéique in vitro en MET