vendredi 22 février 2019

Sciences de la Vie et de la Terre 2ndes - Durée 50’

Exercice 1 : QCM (10 points)
Pour chaque question, il vous est donné quatre propositions A, B, C et D. Une, deux ou trois propositions peuvent être exactes. Répondez en cochant la ou les propositions exactes.Barrez les mauvaises réponses.

1/ La Phalène du bouleau est un papillon qui passe ses journées immobile, les ailes déployées sur les troncs d’arbres et les murs. Il s'expose à ses prédateurs que sont les oiseaux. Ces papillons peuvent être blancs tachetés de noir (forme claire) ou entièrement noirs (forme sombre) et ces deux formes peuvent se reproduire entre elles. Jusqu’au 19ème siècle, la forme claire prédominait largement dans les populations britanniques de phalènes. Le premier spécimen sombre fut isolé en 1860, à Manchester, grande ville industrielle. L'apparition de cette nouvelle variété est liée à une mutation. La fréquence de cette forme s’est accrue rapidement jusqu'à constituer 98% des individus aux alentours de 1900 dans les régions les plus industrialisées. La forme claire est restée prédominante en zone rurale. A partir de 1960, des mesures ont été prises afin de réduire la pollution ; la fréquence de la forme sombre diminua alors que celle de la forme claire augmenta. Les informations données sur la Phalène du bouleau permettent de déduire que :
A) - les formes claire et sombre des Phalènes appartiennent à la même espèce,
B) - la forme blanche est favorisée dans un environnement pollué,
C) - l'apparition de la forme sombre au sein de la population claire est due à l'existence d'une ou plusieurs modifications de la séquence nucléotidique du gène impliqué dans la coloration de ces papillons,
D) - la sélection exercée par l'environnement sur les formes sombres est irréversible.

2/ La mutation d'un gène :
A) - donne toujours un désavantage à l'individu porteur de l'allèle muté,
B) - donne toujours un avantage à l'individu porteur de l'allèle muté,
C) - a un effet variable selon l'environnement de l'individu porteur de l'allèle muté,
D) - peut ne pas avoir d'effet.

3/ La dérive génétique :
A) - est un mécanisme aléatoire,
B) - crée de nouveaux allèles,
C) - fait varier la fréquence des allèles dans une population,
D) - est plus marquée quand l'effectif de la population est grand.

4/ Le graphique ci-contre correspond à une comparaison de la diversité génétique de différentes espèces animales et végétales selon qu’elles vivent sur des îles ou des continents. Plus l'indice est élevé, plus il y a d'allèles différents dans la population. Ce graphique montre :
A) - que sur les continents, c'est la population de campanules qui présente le plus grand nombre d'individus,
B) - que sur les îles, il y a très peu de loups,
C) - qu'il y a une plus grande diversité d'allèles sur les continents,
D) - que dans la population de pinsons présente sur les continents, l’indice de diversité génétique atteint presque 20.

5/ La sélection naturelle :
A) - est le seul moteur de l'évolution des espèces,
B) - peut conduire à l'apparition de nouvelles espèces,
C) - sélectionne les individus les plus aptes à se reproduire,
D) - est un mécanisme génétique.

Exercice 2 : Evolution des allèles au sein d’une population (pts)
Dobzhansky et Pavlovsky ont construit un protocole pour tester l’hypothèse de l’action de la dérive génétique sur la diversité des allèles d’une population. Ces deux chercheurs utilisent des populations de Drosophila pseudoobscura. Ils considèrent les deux allèles (PP et AR) d’un même gène. Le protocole consiste à laisser évoluer des populations de mouches, pendant 18 mois, dans un environnement stable. Dix d’entre elles comptent 4000 mouches (notées « grandes populations ») et dix autres sont constituées de 20 individus (notées « petites populations »). Au début de l’expérience, la fréquence des deux allèles est identique (50 %).
  1. Décrire l’évolution des fréquences alléliques au sein des populations.
  2. Donnez un nom au phénomène.
  3. Que concluez-vous de la comparaison de ces expériences ?

Exercice 3 : La réintroduction d’une espèce disparue (pts)
L’esturgeon européen fréquentait autrefois les côtes et les rivières de l’Europe de l’Ouest. C’est un poisson osseux qui est apparu il y a 200 millions d’années. Il passe la plus grande partie de sa vie en mer, mais dès qu’il arrive à maturité sexuelle, il effectue une migration de plusieurs centaines de kilomètres pour remonter les fleuves et frayer. Il pond alors jusqu’à 2,5 millions d’œufs collants, gris foncé, qui sont récupérés et commercialisés : le caviar. L’aménagement des cours d’eau et la construction de barrages et d’écluses a fermé ses voies de migration. Un programme de recherche a été mis en place pour relâcher de jeunes poissons produits en captivité afin de restaurer cette espèce en France et en Europe. Après plus d’une dizaine d’années d’efforts quotidiens, une femelle (Francine née en 1994 et pesant 8,5 kg) et deux mâles (Justin né en 1984, 24 kg et Emile né en 1994, 17,6 kg) ont permis l’obtention d’un peu plus de 11 000 larves. Une grande partie de ces larves serviront à repeupler les rivières françaises et une autre à constituer un groupe de reproducteurs qui pourra être exploité ou permettre un futur repeuplement.

  1. En considérant que la pêche de 2 500 esturgeons représente 100% de la capture possible de ce poisson, calculez le pourcentage de capture d’esturgeons pour chaque pêche commerciale de 1961-70 et de 1971-80.
  2. Comment la population d’esturgeons a-t-elle évolué au cours des siècles ?
  3. Quelles sont les raisons possibles de la disparition de l’esturgeon en Europe ?
  4. Identifiez les deux objectifs du repeuplement des rivières françaises.
CORRIGE
PARTIE 2 Evaluation des compétences
Evolution des allèles au sein d’une population
Quest. 1
Dans les grandes populations, la fréquence allélique diminue de 50 à 35-20 : faible écart entre les valeurs
alors que dans les petites populations, la fréquence allélique diminue de 50 à 45-15 : grand écart entre les valeurs

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Quest. 2
La dérive génétique est à l’origine des différences des fréquences alléliques dans les 2 populations.

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Quest. 3
Plus la population est petite, plus la dérive génétique est forte. En effet un allèle peut rapidement représenter une grande part de la population en seulement une génération alors que dans les grandes populations, il faudra plusieurs générations avant qu’un allèle soit prépondérant.

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Réintroduction de l’esturgeon européen
Quest. 1
Captures de 1961-70 : 1000 x 100 / 2500 = 40%
Captures de 1971-80 : 150 x 100 / 2500 = 6%

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Quest. 2
pêche moins fructueuse, carte de répartition montrent que La population d’esturgeon en Europe a fortement baissée

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Quest. 3
Les raisons possibles de sa disparition :
  • le commerce du caviar, caviar qui n’est autre que les œufs de l’esturgeon et donc les futures générations
  • l’aménagement des cours d’eau empêchant l’esturgeon de migrer vers ses lieux de fraie & ponte


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/1
Quest. 4
Les deux objectifs du repeuplement des rivières :
  • l’augmentation de la population d’esturgeons avec à terme la recolonisation des rivières d’Europe
  • et peut être la reprise de la pêche commerciale.


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tri du cahier avant vacances

A2 : comparaison de 4 cranes de vertébrés

comparaison cranes vert.odg

A4 : Observation de gonades femelles au microscope

Coupes ovaires uterus.odg
A partir de la puberté, le fonctionnement des organes reproducteurs est cyclique chez la femme jusqu’à la ménopause.
A chaque cycle, un des ovaires libère un ovule.
A chaque cycle, la couche superficielle de la paroi de l'utérus s’épaissit puis est éliminée : c’est l’origine des règles.

A5 : suivit d’une cycle féminin

jeudi 21 février 2019

§ comment l'organisme reconnaît-il les cellules du soi ?

A3 : Un système de reconnaissance entre cellules : les recepteurs

\immuno_molécules.odg©
Diap \immuno_recepteurs.odp
Cellule présentatrice de l'antigène, CD, CMH (complexe majeur d'histocompatibilité),

A4 : Notion de tolérance immunitaire

\immuno_molécules.odg©
Diapo \immuno_tolérance.odp
coopération entre immunité innée et adapative
cellules dendritiques
  • éliminer les cellules autoréactives
  • garder des cellules tolérantes au soi et intolérantes à un antigène
en résumé :
La nature du problème :
  • Les lymphocytes T et les lymphocytes B perçoivent constamment des signaux antigéniques auxquels il serait in/opportun de répondre
  • Un système de filtrage actif des signaux doit donc être mis en place.
  • L’effet de ce filtrage, c’est la tolérance immunitaire
Un lymphocyte en contact ligand-récepteur avec une cellule présentatrice de l'antigène (dendritique ou macrophage) va être mis en
  • anergie ou
  • apoptose ou
  • prolifération
lymphocytes B → plasmocytes sécrétant des Immunoglobulines
lymphocytes cytotoxiques : LT CD8 → LTcytotoxique
lymphocytes T CD4 → lymphocytes T auxiliaire sécrétant des Interleukines
IL = Interleukines [entre - globules blancs]
C’est dans les organes lymphoïdes primaires que la plus grande partie des lymphocytes capables de percevoir le soi (autoréactifs) sont éliminés par apoptose
Les organes lymphoïdes doivent donc posséder un échantillon des signaux du soi
Les cellules présentatrices d’antigène (et en particulier les cellules dendritiques) jouent un rôle fondamental dans le maintien ou la rupture de la tolérance immunitaire
Les cellules activées (LTc, LTa, Plasmo¢) prolifèrent dans les ganglions lymphoïdes
duplos

A5 : Phylogénie à partir des molécules immunitaires

© immuno_phylogenie.odg
Diapo : immuno_evolution.odp
Manuel p284
immunité, héritée, évolution

Bilan : Immunité acquise & adaptative

Bilan : logiciel\Immunologie1.2.exe
Alors que l'immunité innée est largement répandue chez les êtres vivants, l'immunité adaptative est propre aux vertébrés.
Le système immunitaire, normalement, ne se déclenche pas contre des molécules de l'organisme ou de ses symbiotes. Cela est vrai notamment pour la réponse adaptative.
Pourtant, les cellules de l'immunité adaptative, d'une grande diversité, sont produites aléatoirement par des mécanismes génétiques complexes qui permettent potentiellement de répondre à une multitude de molécules. La maturation du système immunitaire résulte d'un équilibre dynamique entre la production de cellules et la répression ou l'élimination des cellules autoréactives.
Mots-clés : Cellule présentatrice de l'antigène, lymphocytes B, plasmocytes, immunoglobulines (anticorps), séropositivité, lymphocytes T CD4, lymphocytes T auxiliaire, interleukine 2, lymphocytes T CD8, lymphocytes T cytotoxiques ; sélection, amplification, différenciation clonales. Réponse adaptative à médiation humorale.

C pour suivre

Gene/Protein Name Etymology : https://www.biostars.org/p/88965/

Achtung : petit test de connaissances dans la semaine de la rentrée !
 

le site Artplastoc : une mine d'infos

TERMINALE OPTION FACULTATIVE ARTS PLASTIQUES BACCALAURÉAT 2019

PROGRAMME : Programme de Terminale option facultativeLa PrésentationLa sculpture occidentale traditionnelle et contemporaineArt contemporain : la voie du réel (1)Art contemporain : la voie du réel (2),

La question de la PrésentationLa PrésentationLionel Gabel : la question de la Présentation, quelques entréesHervé Yann, La Présentation,


LES TROIS QUESTIONS DU BAC 2019 

1-Les transparents de Carmontelle (Louis Carrogis dit, 1717-1806) : d'une mise en scène de l'image aux prémices de l'histoire de l'installation : La vie et l'oeuvre de CarmontelleLes dessins et peintures de Carmontelle (1717-1806)Faire un Quiz sur la vie et l'oeuvre de Carmontelle,
Les estampes du Jardin de Monceau, 1779"Promenade dans un parc", le transparent du J. Paul Getty Museum

Echos des transparents de Carmontelle dans l'Art des XX° et XXI° siècles : Echos des transparents de Carmontelle-1Echos des transparents de Carmontelle-2Echos des transparents de Carmontelle-3Paysage et panorama,

Appel à contribution des enseignants sur : "L'Echo des transparents de Carmontelle dans les pratiques contemporaines",

Références Carmontelle : Lanternes magiques : documents pédagogiques en ligneLionel Gabel, "Petite histoire de l'image animée", sur Prezi"L'lnvention du Cinéma", par ACAP - Pôle Image Picardie,



3-Bill Viola (né en 1951) : L'oeuvre de Bill Viola : fiche récapitulative, PowerPoint et liens vidéosBill Viola, "Emergence (The Passions)", 2002Bill Viola, Interviews, 2010 et 2014Bill Viola : un Quiz sur sa vie et son oeuvreBill Viola : fiche de synthèse
Le cri dans les œuvres de Bill ViolaBill Viola, dans, "Les Dormeurs dans l'Art" (1915-2015)"Bill Viola et les Peintres"Un choix d’œuvres de Bill Viola : les liens vidéos"Who is Bill Viola ?", 2018,

Références Viola : "Une histoire de l'Art Vidéo" par Christine Van Assche, 2004"Une petite histoire de l'Art Vidéo", 2014, L'Art Comptant Pour Rien, "L'Art Vidéo"Exposition : "Vidéo Image Evolution", Galerie W, Paris, mars-mai 2018La mise en abyme du téléspectateur : Valie Export et Bill Viola,




MATÉRIEL 2018-2019 :
 Liste du matériel,


ORIENTATION 
Classe Préparatoire à l'Enseignement Supérieur Artistique : Ouverture depuis 2016 d'une CPESA au Lycée Simone Veil de Valbonne (06)Interviews d'étudiantes à la CPES-CAAP de Valbonne,

Les Ecoles d'Art : Les Écoles Supérieures d'Art et de Design,

Chap2 : des parentés qui s'expliquent par l'évolution

A1 : comparaison des membres de la famille vertébré

comparaison membres vert.odg

A2 : comparaison de 4 cranes de vertébrés

comparaison cranes vert.odg

mardi 19 février 2019

Un réseau de microvaisseaux sanguins découvert dans les os

Ces capillaires assurent la majeure partie de la circulation sanguine dans les os et participeraient aux échanges entre la moelle osseuse et la circulation sanguine globale.
Noëlle Guillon
microvaisseaux dans un os de souris

lundi 18 février 2019

La grotte de Denisova enfin bien datée

Les strates de ce site capital pour les paléoanthropologues viennent d’être enfin placées sur une chronologie précise couvrant plus de 300 000 ans. 
François Savatier
Grotte de Denisova
La grotte de Denisova, en Sibérie, est l’un des sites préhistoriques les plus fascinants. On y a en effet découvert en 2010 les Dénisoviens, une espèce humaine jusque-là inconnue, et en 2018 la première métisse née d’une Néandertalienne et d’un Dénisovien. Les traces de la présence de Dénisoviens et de Néandertaliens s’étalent entre il y a 300 000 ans et 40 000 ans environ, mais elles sont difficiles à dater. Deux équipes, celle de Katerina Douka, de l’institut Max-Planck à Iéna, et celle de Zenobia Jacobs, de l’université Wallongong, en Australie, se sont attaquées au problème avec de nouvelles techniques et viennent de livrer la première chronologie cohérente pour le site.
L’équipe de Zenobia Jacobs a reconstitué l’environnement dénisovien de 300 000 à 20 000 ans. Les chercheurs ont utilisé la luminescence stimulée optiquement, une technique optique de datation, afin de situer dans le temps les restes de 27 espèces de grands vertébrés, de 100 espèces de petits vertébrés et de 72 espèces de plantes. Les variations entre forêts de feuillus (périodes chaudes) et toundra (périodes froides) ainsi reconstruites coïncident pour l’essentiel avec celles de l’environnement du lac Baïkal, à quelque 1 600 kilomètres à l’est. Dans le système chronologique des stades isotopiques de l’oxygène (SIO), très utilisé aujourd’hui, les données obtenues signifient que les climats qui ont produit les strates de Denisova sont bien datés entre le SIO9 (337 000 à 374 000 ans) et le SIO2 (29 000 à 14 000 ans).
L’équipe de Katerina Douka a, elle, daté les 14 restes fossiles d’humains de Denisova. La plupart n’étant pas datables par le carbone 14, les chercheurs ont construit (à l’aide d’un modèle bayésien) un arbre probable de parenté, aux branches datées, reliant les génomes séquencés de Denisova entre eux et aux génomes connus d’Homo sapiens et d’H. neanderthalensis.
Il en ressort que le plus ancien fossile du site, celui d’un Dénisovien, date d’il y a 122 700 à 194 400 ans. Deux fossiles néandertaliens datent d’entre 90 900 et 130 300 ans, mais les plus anciens sédiments contenant des traces d’ADN néandertalien remontent à il y a quelque 190 000 ans… Quant à la métisse évoquée précédemment, dénommée Denisova 11, elle a vécu il y a entre 79 300 et 118 100 ans. Et le plus récent fossile dénisovien (Denisova 3), trouvé dans une position stratigraphique comparable à celles de deux fossiles néandertaliens, a vécu il y a 76 600 à 51 600 ans. Il est ainsi de plus en plus clair que pendant des centaines de milliers d’années, Néandertaliens et Dénisoviens ont fréquenté la grotte et s’y sont côtoyés.
Pendentif en os de cerf découvert à Denisova.
L'un des pendentifs en os découverts à Denisova. Sont-ils sapiens ou dénisoviens ?

 © Tom Higham, Université d'Oxford
Un autre point frappant est l’absence à Denisova de tout fossile ou trace d’ADN sapiens, alors que l’on y a découvert deux assemblages lithiques accompagnés d’orne­ments d’un type que, autrefois, on attribuait toujours à H. sapiens. Datés d’entre 32 000 et 48 000 ans, ils remontent donc à la période d’arrivée de notre espèce en Sibérie. Aucune trace fossile ou génétique d’H. sapiens n’étant décelable sur le site, l’explication la plus simple, selon les chercheurs, est que les derniers Dénisoviens sont les auteurs de ces ornements. Dans ce cas, eux aussi auraient développé des cultures modernes comparables à celles que l’on connaît à la même époque chez H. neanderthalensis et H. sapiens.
https://www.pourlascience.fr/sd/prehistoire/la-grotte-de-denisova-enfin-bien-datee-16200.php

Stone Age Europe may have been home to no more than 1500 people


Is anybody there?
Is anybody there?
JEFF PACHOUD/AFP/Getty
Stone Age Europe was a lonely place to live. An assessment of ancient population sizes suggests a vast swathe of western and central Europe may have been home to no more than 1500 people at any one time.
Our species, Homo sapiens, arrived in Europe about 43,000 years ago. Archaeological evidence, particularly the appearance of distinctive stone tools at multiple sites, suggests these humans rapidly spread across the continent. But it’s an open question exactly how many people lived in Europe at this time.
https://www.newscientist.com/article/2194183-stone-age-europe-may-have-been-home-to-no-more-than-1500-people/

§ comment l'organisme reconnaît-il les cellules du soi ? Les antigènes à abattre ?

3,2,2/ Modélisation de l'immunité adaptative

A1 : Modélisation des anticorps / Logiciel Rastop

\TS TP anticorps rastop.odt
\immuno_molécules.odg©
FT fournies au TP de Bac (ECE) : Rastop (version 05/01/2016) : (doc, odt, pdf)
quels atomes ? Combien de parties ? Quelle nature ? Quelle forme globale ?
Résultat TP : manuel p301
Manuel doc 2 p 281
Immunoglobulines en Y : parties variable / fixes ; lourdes / légères

A2 : Schématisation des complexes immuns

neutralisation de l'Ag / destruction ou “emprisonnement”
facilitation de la phagocytose de l'Ag
29 mars

A3 : Un système de reconnaissance entre cellules : les recepteurs

\immuno_molécules.odg©
Diap \immuno_recepteurs.odp
Cellule présentatrice de l'antigène, CD, CMH (complexe majeur d'histocompatibilité),

Comment l'immunité innée est-elle enrichie au cours de la vie ?

à lire pour le 18 février :

A4 : Liens immuns entre mère et fœtus / article scientifique

© pourquoi la mère ne rejette pas le foetus.odt
http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/spip.php?article1131
molécules du CMH (complexe majeur d'histocompatibilité) chez les vertébrés
= molécules HLA (human leucocyte antigen) chez l'humain
Le CMH humain est dénommé HLA

A5 : Mise en évidence d'un complexe immun / méthode d'Ouchterlony

bilan du tp
séropositivité => Immunoglobulines = anticorps,
complexe immun = Ac+Ag
réaction spécifique => sélection clonale

Bilan : L'immunité adaptative s'ajoute à l'immunité innée

Elle s'ajoute à l'immunité innée et assure une action plus spécifique contre des molécules, ou partie de molécules. Les cellules de l'immunité adaptative ne deviennent effectrices qu'après une première rencontre avec un antigène grâce aux phénomènes de sélection, d'amplification et de différenciation clonales.
Les défenses adaptatives associées avec les défenses innées permettent normalement d'éliminer la cause du déclenchement de la réaction immunitaire.
Mots-clés : immunoglobulines (anticorps), séropositivité, lymphocytes T CD4, lymphocytes T auxiliaire,lymphocytes T CD8, lymphocytes T cytotoxiques ; sélection, amplification, différenciation clonales.