vendredi 28 avril 2017

§ que se passe-t-il si l'infection persiste ? Comment l'immunité innée est-elle enrichie au cours de la vie ?

A3 : Liens immuns entre mère et fœtus / article scientifique

© pourquoi la mère ne rejette pas le foetus.odt
molécules du CMH (complexe majeur d'histocompatibilité) chez les vertébrés
= molécules HLA (human leucocyte antigen) chez l'humain
Le CMH humain est dénommé HLA
différentiation de cellules dites « naïves » :
  • lymphocytes → cellules "tueuses" = NKC (natural killer cell) = lymphocytes NK (niT niB)
  • lymphocytes LT8 → LT cytotoxiques
  • lymphocytes LT4 → LT régulateurs

A4 : Mise en évidence d'une réaction immunitaire / méthode d'Ouchterlony

TS_TP_Ouchterlony.odt
Résultat TP : manuel p300
séropositivité => Immunoglobulines = anticorps,
complexe immun = Ac+Ag
réaction spécifique => sélection clonale

B4,2,1 : L'immunité adaptative s'ajoute à l'immunité innée

Elle s'ajoute à l'immunité innée et assure une action plus spécifique contre des molécules, ou partie de molécules. Les cellules de l'immunité adaptative ne deviennent effectrices qu'après une première rencontre avec un antigène grâce aux phénomènes de sélection, d'amplification et de différenciation clonales.
Les défenses adaptatives associées avec les défenses innées permettent normalement d'éliminer la cause du déclenchement de la réaction immunitaire.
Mots-clés : Cellule présentatrice de l'antigène, lymphocytes B, plasmocytes, immunoglobulines (anticorps), séropositivité, lymphocytes T CD4, lymphocytes T auxiliaire, interleukine 2, lymphocytes T CD8, lymphocytes T cytotoxiques ; sélection, amplification, différenciation clonales. Réponse adaptative à médiation humorale.

jeudi 27 avril 2017

La multitache rend le cerveau 40% moins efficace : zappons zappons !

Neural mechanisms for integrating consecutive and interleaved natural events: To understand temporally extended events, the human brain needs to accumulate information continuously across time. Interruptions that require switching of attention to other event sequences disrupt this...

annales

SUJETS ZÉRO DES ECE 2013

-   Anticorps
-   Parentés +  fiche technique Anagène +  fichier de séquences
-   Photosynthèse +  fiche technique chromatographie
-   Subduction +  fiche technique microscope polarisant
-   Ensemble des fichiers

Vous pouvez encore consulter les sujets zéro initialement destinés à la préparation de l'épreuve écrite de sciences de la vie et de la Terre de la session 2013 du baccalauréat :

Partie 1

Partie 2 - premier exercice

Partie 2 - second exercice

CORRECTION BB SVT 1S1 - 2h30 - jeudi 27 avril 2017
1ère partie : Restitution organisée de connaissances  (10 points)
Synthèse insuffisante  
hors sujet
sans pblématique 
non construite
Synthèse pertinente :
   Introduction : accroche → définitions → problématique → plan
   Plan : Organisation faits & idées
   Conclusion : bilan → ouverture
   Schéma bilan
Connaissances insuffisantes
Définitions :
  Lithosphère = croûte + manteau sup
isotherme 1300°C
asthénosphère
  croûte océanique : basalte et gabbro
manteau : péridotite
  Dorsale [dos]
  Subduction [fondre en dessous]
  convection = mouvement de matière sous l'effet de la chaleur
convergence
divergence
Dorsale :
expansion océanique
accrétion de magma
séismes superficiels,
volcan sous marin
relief dorsale rift
volcans de point chaud
failles transformantes
forages
âge des sédiments
topographie océanique
fort flux thermique
anomalies magnétiques
inversion pôles magnétiques 
Subduction :
plaque plongeante
disparition plaq océan
séismes profonds
volcanisme explosif
fosse bassin arr-arc
cordillère arc insulaire
plan de Wadati-Benioff
GPS
Rédaction et illustration
insuffisantes
maladroites
correctes
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10

2ème partie : Pratique d'un raisonnement scientifique  (10 points)
B
Démarche
Partie Sc :
Éléments tirés des documents
Connaissances
1
Incohérente
Insuffisante
Doc1
Pheno macro = agglutination sang
Phenotype = caractère obs
3 niveaux de Phenotype :
macro, micro, mol
génotype = comp° allèlique
gène → protéine
gène codé / séq bases ADN
allèles = versions d'un gène
mutation = modif séq ADN
délétion = soustraction de b
substitution = échange de b

2
3
Maladroite
Doc 2
Pheno micro = hématies ABO
Pheno mol = marqueurs ABO
allèles ABO → protéines enzymes ABO
enzymes ABO → marqueurs ABO
enzymes AB actives, O inactive
Phenotypes [A, B, O, AB]
génotypes (AA ; AO ; BB ; BO ; AB ; OO)
4
5
moyenne
6
Doc 3
A O / délétion en 258
A B / 4 substitutions : 523, 700, 793, 800
7
Cohérente :
Introduction
Organisation
Conclusion
tableau
schéma
8
9
suffisante
10

Comment l'immunité innée est-elle enrichie au cours de la vie ?

A3 : Une breve sur les recepteurs de l'immunite innee

À l'occasion d'une lésion, des pathogènes peuvent s'introduire dans l'organisme par l'intermédiaire de la peau ou des muqueuses. Différentes cellules de l'immunité innée présentes dans ces tissus, souvent qualifiées de cellules résidentes, reconnaissent ces pathogènes dès leur entrée dans l'organisme. Il s'agit des cellules dendritiques, des macrophages et des mastocytes.
L'identification des pathogènes par ces cellules se fait au moyen de récepteurs qui reconnaissent des motifs moléculaires caractéristiques des micro-organismes. On parle de PRR (Pattern Recognition Receptor, Le terme fut proposé par l'immunologiste Charles Janeway en 1989) pour désigner ces récepteurs cellulaires capables de reconnaître des motifs moléculaires caractéristiques des pathogènes, motifs appelés  PAMP (Pathogen Associated Molecular Patterns).
Les PRRs sont exprimés par toutes les cellules de l'immunité innée. Certains PRRs sont membranaires, d'autres sont cytoplasmiques, ce qui permet un repérage efficace du pathogène.
La reconnaissance d'un PAMP par un PRR peut en particulier :
déclencher la phagocytose
déclencher l'activation de la cellule et la mise en place de mécanismes effecteurs.
Pour aller plus loin : une page scientifique complète sur le rôle des récepteurs de l'immunité innée

B41/ Immunité innée & naturelle

L'immunité innée ne nécessite pas d'apprentissage préalable, est génétiquement héritée et est présente dès la naissance. Elle repose sur des mécanismes de reconnaissance et d'action très conservés au cours de l'évolution. Très rapidement mise en oeuvre, l'immunité innée est la première à intervenir lors de situations variées (atteintes des tissus, infection, cancer). C'est une première ligne de défense qui agit d'abord seule puis se prolonge pendant toute la réaction immunitaire. Elle prépare le déclenchement de l'immunité adaptative.
Mots-clefs : Organes lymphoïdes, macrophages, monocytes, granulocytes, phagocytose, mastocytes,

§ que se passe-t-il si l'infection persiste ? Comment l'immunité innée est-elle enrichie au cours de la vie ?

4,2/ L'immunité adaptative, prolongement de l'immunité innée

4,2,1/ Mise en évidence d'une immunité acquise

A1 : Quelques expériences historiques / schémas

© \immuno_cytotox.odg
en 1890 Von Behring montre que les antitoxines produites par un animal pourraient immuniser un autre animal 
En 1966 Claman a montré qu’une souris privée de thymus à la naissance et privée de moelle osseuse par irradiation, ne produit plus d’anticorps.
Cependant dans certaines conditions, la production d’anticorps peut être rétablie.
pour compléter : Mise en évidence expérimentale d'une immunité acquise
mise en évidence d'une coopération cellulaire :
immunité acquise, adaptative, spécifique
coopération cellulaire

A2 : Mise en évidence de la cytotoxicité / MET

\immuno_cytotox.odg ©
schématisation :
lymphocytes T8 → lymphocytes T cytotoxiques

mardi 25 avril 2017

Un bon prof (ça nous changeraaa) : https://www.youtube.com/watch?v=pbAnuTfAsHQ
Les enveloppes fluides de la Terre (atmosphère et hydrosphère) sont le siège d'une dynamique liée notamment à l'énergie reçue du Soleil. Elles sont en interaction permanente avec la biosphère et la géosphère. Le climat, à l'échelle globale ou locale, est à la fois le résultat de ces interactions et la condition de leur déroulement. La compréhension, au moins partielle, de cette complexité permet d'envisager une gestion raisonnée de l'influence de l'Homme. Sans chercher l'exhaustivité, l'objectif de ce thème est d'aborder quelques aspects de la relation entre histoire des enveloppes fluides de la Terre et histoire du climat.

Comment évaluer l'évolution du climat ?

© \Climat indicateurs.odg

Comment varie le climat sur « courte » échelle de temps ?

3,1/ Les changements climatiques à l'échelle du million d'années

3,1,1/ Les apports de la glaciologie dans la détermination des températures passées

A1 : Les missions de forage dans les glaces

Logiciel Vostok pour comprendre à qui ça sert :
\Vostok.exe
Logiciel « oxygène » pour comprendre le δ18O :
\Oxygene.exe

A2 : Exploitation des données des forages GRIP & Vostok / doc

Climat indicateurs.odg©
Arctique, ἄρκτος (árktos) signifie ours, en référence aux noms des constellations de la Grande et de la Petite Ourse, situées près du pôle nord céleste. +On ne trouve les ours polaires que sur la « Terre des Ours » (Arctique) et pas en Antarctique, ἀνταρκτικός (antarktikós) signifie « opposé à l'Arctique ».
Les tropiques sont les deux parallèles du globe terrestre qui délimitent une bande à l'intérieur de laquelle le soleil apparaît au zénith au moins une fois dans l'année. Chaque tropique est séparé de l'équateur par 23° 26′ de latitude : le tropique du Cancer au Nord, et le tropique du Capricorne au Sud (les noms de Cancer et Capricorne ont été attribués il y a environ 2 000 ans selon la position qu'occupait alors le Soleil dans le zodiaque au solstice d'été). La base Vostok se situe au-dessus du lac le plus austral du monde, le lac Vostok.
Selon la température, l’eau qui s’évapore contiendra des proportions différentes de molécules d’eau H216O (eau légère) et H218O (eau lourde). Une température élevée permettra à plus d’eau lourde de s’évaporer et la condensation favorisera la précipitation de cette eau lourde.
On peut alors calculer le rapport 18O/16O des échantillons d’eau récoltés et les normaliser par rapport à un standard : (18O/16O)SMOW. On obtient le delta O dixhuit, noté δ18O, qui nous permet ensuite de déterminer la température de l’atmosphère à laquelle cet échantillon s’est formé (formation d’une couche de glace).
Les variations climatiques montrent des alternances de périodes glaciaires et interglaciaires. Un cycle 100 000 ans rythme les glaciations. Des cycles de réchauffement refroidissement sont observés entre deux maxima glaciaires avec des périodes de 43 000, 24 000 et 19 000 ans.

3,1,2/ Les apports de la sédimentologie dans la détermination des températures passées

3,1,2,1/ Les archives sédimentaires marines, paléontologie

A1 : Missions de forages dans les océans et notions de sédimentologie

Diapo \carottage sédimentologie.odp

A2 : Observation de microfossiles / µscop

Lames minces
fiches de détermination :
Climat indicateurs.odg©

AM : Exploitation des données des forages sédimentaires / doc

Climat indicateurs.odg©

lundi 24 avril 2017

§ comment l'organisme se défend-t-il contre une infection ?

A2 : Chasse aux microbes / internet

© \microbes.odg
Diap microbes
MAIS :
Sequencing Staph: New Genetic Analysis Tracks MRSA Mutations : http://www.scientificamerican.com/article.cfm?id=mrsa-genome-sequencing
ET :
Microbes : pourquoi bactéries et virus nous sont indispensables : http://www.larecherche.fr/content/actualite-vie/article?id=28667
exploring biodiversity that live on us : http://www.yourwildlife.org/
Un nouveau virus géant découvert dans le permafrost sibérien : http://www2.cnrs.fr/presse/communique/4189.htm

virus sika