vendredi 12 septembre 2014

A6/ Etude d'indices pétrographiques de raccourcissement

Manuel p132-133 question 1
Manuel p134-135 question "bac"
D\roches metamorphiques.odp
Migmatites du do© pli faille nappe
gneiss, transformation de minéraux
migmatite [migma : mélange] : mélange granite (magma) + gneiss (métam)
pétrographiques = minéralogiques :
schistosité, foliation + nouveaux minéraux => métamorphisme
traces de fusion partielle => ultramétamorphisme = anatexie

B12/ La lithosphère continentale

La croûte continentale affleure dans les régions émergées. L'examen de données géologiques permet à la fois d'expliquer cette situation et de nuancer cette vision rapide car les mécanismes de formation des montagnes sont complexes. On se limite au cas des reliefs liés à un épaississement crustal dont les indices peuvent être retrouvés sur le terrain ou en laboratoire.
Les différences d'altitude moyenne entre les continents et les océans s'expliquent par des différences crustales. La croûte continentale, principalement formée de roches voisines du granite, est d'une épaisseur plus grande et d'une densité plus faible que la croûte océanique. L'âge de la croûte océanique n'excède pas 200 Ma, alors que la croûte continentale date par endroit de plus de 4 Ga. Cet âge est déterminé par radiochronologie. La radiochronologie des roches est fondée sur la décroissance radioactive naturelle de certains éléments chimiques présents dans les minéraux qui les constituent.
Au relief positif qu'est la chaîne de montagnes, répond, en profondeur, une importante racine crustale. L'épaississement de la croûte résulte d'un raccourcissement et un empilement. On trouve des indices tectoniques (plis, failles, nappes) et des indices pétrographiques (métamorphisme, traces de fusion partielle) du raccourcissement. Les résultats conjugués des études tectoniques et minéralogiques permettent de reconstituer un scénario de l'histoire de la chaîne.

C/ Poursuivre

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