mardi 6 février 2018

je vous présente Monsieur l'ornitho :

- Ornithorhynchus anatinus ?

- Mais non pas rynke !

- Oiseleur, fauconnier, ...










Un ornithologue siffleur pour le «Chant des oiseaux»

Concert

Le 19/12/2015







Franck Ibanez, propose des imitations surprenantes de chants d'oiseaux./ Photo DDM, D.R.
Franck Ibanez, propose des imitations surprenantes de chants d'oiseaux./ Photo DDM, D.R.

Demain soir, à 20h30, le théâtre des Carmes ouvre de nouveau ses portes à la troupe des Chants de Garonne pour un spectacle musical aussi chantant que surprenant, «Le chant des oiseaux». Cela fait deux ou trois ans que nous tournons avec ce spectacle qui rassemble des œuvres remontant jusqu'au 16 e siècle, des pièces inspirées par le chant des oiseaux parfois spectaculaires!», explique Jean-François Gardeil Des pièces écrites par Mozart, Ravel, Schubert, mais aussi Edmond Rostand et Guillaume Apollinaire... Le rossignol de Camille Saint Saëns, le chant de l'alouette de Clément Janequin notamment seront interprétés par les sopranos, ténors ou barytons de la compagnie, accompagnés au piano par Fabien Prou. Pour ce spectacle, les Chants de Garonne partagent l'affiche avec le surprenant Franck Ibanez, ornithologue que son travail et sa passion amènent à imiter avec un art certain plus d'une trentaine de chants d'oiseaux qu'il aime observer dans les bois et traduire la signification au public.

La Dépêche du Midi ,
https://www.ladepeche.fr/article/2015/12/18/2240691-un-ornithologue-siffleur-pour-le-chant-des-oiseaux.html







NMA : Franck Ibanez, l'homme qui parle aux oiseaux

Un très joli moment en fin de festival, avec la participation de Franck Ibanez./Photo DDM, Ysabel archives.
Un très joli moment en fin de festival, avec la participation de Franck Ibanez./Photo DDM, Ysabel archives.

Le dernier concert estival des Nuits Musicales en Armagnac «Le chant des oiseaux» sera donné à l'église de Terraube ce jeudi à 21 heures.
Une partie significative du répertoire vocal, toutes époques confondues, a été inspirée par les chants d'oiseaux : polyphonies de la Renaissance, richement descriptives et imitatives, airs et duos d'opéras, mélodies françaises des XIX° et XX° siècles… Le programme rend compte de cette diversité, à travers les prestations de cinq chanteurs : les soprani Véronique Guin et Morgane Bertrand, Denis Carayre, ténor, et les barytons Philippe Estèphe et Jean-François Gardeil. Accompagnés au piano par Fabien Prou.

Parmi les chants interprétés, on pourra entendre : Le Chant des oiseaux et Le Chant de l'alouette, quatuors de Clément Janequin, mais aussi l'air d'entrée de l'oiseleur Papageno et le duo Papageno-Papagena (issus de la Flûte Enchantée).
Mais on pourra aussi et surtout entendre Franck Ibanez, ornithologue imitateur d'oiseaux d'un niveau exceptionnel. Il alternera commentaires éclairants et reproductions parfaites de chants d'oiseaux. Celui-ci avait donné un aperçu de son talent lors de la soirée de lancement des Nuits Musicales en Armagnac au château de Cassaigne en 2013. L'homme a appris à discourir avec les oiseaux. À force de les côtoyer et de les écouter avec attention, il les imite à la perfection. Ainsi il peut expliquer le rôle du chant des oiseaux. Il sait interpréter leur chant : mécontentement, la peur avec un cri d'alarme, la joie, le plaisir à chanter près de la femelle qui couve… Des œuvres d'art en soi, qui délivrent une forte empreinte émotionnelle.
La Dépêche du Midi
,








Pouzac. La fauconnerie fait le lien entre l'homme et le rapace

Franck Ibañez, Gwenaelle Plet et Nicolas Eriau se rejoignent concernant les liens entre hommes et rapaces./Photo S. L.
Franck Ibañez, Gwenaelle Plet et Nicolas Eriau se rejoignent concernant les liens entre hommes et rapaces./Photo S. L.

Samedi 12 avril, à la salle des fêtes de Pouzac, Gwenaelle Plet invite Nicolas Eriau et Franck Ibañez, fauconniers professionnels, et remercie la municipalité de Pouzac pour son accueil. Une soirée qui s'insère naturellement dans le cadre de l'exposition «Becs et Ongles» où le rapace est présenté sous l'angle du lien entre hommes et rapaces. Le terme de fauconnerie désigne en réalité la pratique de la «chasse au vol», l'art de capturer une proie sauvage dans son milieu naturel à l'aide d'un rapace dressé. «J'ai plaisir à vous présenter ma passion, c'est mon métier, j'en vis, nous tissons un lien avec l'oiseau avec qui nous chassons et sommes toujours admiratifs de ce qui se joue, quand le rapace attrape sa proie, comme lorsque l'alouette échappe à l'épervier, la vie est passionnante», affirme le fauconnier. À l'origine, la chasse au vol répond au besoin de se nourrir : en Asie, particulièrement en Mongolie, puis en France, surtout au Moyen Âge. Interdite dans les pays scandinaves, elle est aujourd'hui pratiquée dans 56 pays, notamment dans le monde arabe et en Afrique du Sud. L'on compte une centaine de pratiquants en France, réunis par l'Anfa (Association nationale des fauconniers et autoursiers). Son métier conduit aussi N. Eriau en ville pour effaroucher les étourneaux. La chasse au vol et l'élevage des rapaces ne souffrent pas la médiocrité, le faucon, l'aigle, l'épervier et l'autour sont les compagnons «d'élite» des fauconniers. Pour connaître un art, il s'agit d'en comprendre son vocabulaire, les fauconniers sont très attachés au vocabulaire spécifique, reflet culturel de la fauconnerie, dont certains termes sont passés dans le langage courant tels : faire carrière, donner le change, gorge chaude, un hagard, hobereau ou niais… Tout un univers présenté au public.
La Dépêche du Midi
Publié le 29/04/2014 à 03:49
https://www.ladepeche.fr/article/2014/04/29/1872139-pouzac-fauconnerie-fait-lien-entre-homme-rapace.html 

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