mardi 15 septembre 2020

1,1/ L’origine du génotype des individus

Comment disposons-nous d’un patrimoine unique, différent pour chaque individu ?

1,1,3/ Genèse de génômes uniques

Le brassage des génomes par La reproduction sexuée des eucaryotes

1/ la fécondation engendre des combinaisons uniques

Extraire et organiser des informations sur l’élaboration des lois de Mendel.

Comprendre les relations de dominance / récessivité en fonction de l’équipement chromosomique chez les diploïdes (par exemple sur le système ABO, et/ou les gènes de la globine).

La fécondation entre gamètes haploïdes rassemble, dans une même cellule diploïde, deux génomes d’origine indépendante apportant chacun un lot d’allèles.

Chaque paire d’allèles résultant est constituée de deux allèles identiques (homozygotie) ou de deux allèles différents (hétérozygotie).

Le nombre de combinaisons génétiques possibles dans les gamètes est d’autant plus élevé que le nombre de gènes à l’état hétérozygote est plus grand chez les parents.

1 nombre de gamètes possibles (n=23) : 223 = 8 388 608 gamètes possibles à partir d'une cellule souche humaine (ovogonie ou spermatogonie)

2 nombre de zygotes possibles (2n=46) : 223 x 223 = 7,036874418x1013 = 703 687 441 800 000 = sept cent mille milliards

2/ la méiose mélange les combinaisons d’allèles


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