A2/ Les différentes approches du cerveau
-
clinique
aires corticales spécialisées Broca, Wernicke
: http://svt.ac-amiens.fr/archives_svt/info/logiciels/animneuro/aires/index.htm
aires de Brodman
: http://www.thevisualmd.com/interactives.php?idu=12699&idc=1138&cw=1
synthèse schématique :
http://ww3.ac-poitiers.fr/svt/activite/j-coutable/AiresCerebrales/AiresC.htm
aires
spécialisées, aires corticales somatosensorielles, aire motrice.
Rappel sur exp de Milner (1952) vue en 1S sur les
circuits de la récompense
la peur, modèle d'apprentissage :
http://www.larecherche.fr/sites/larecherche.fr/files/content/system/media/peur.pdf
localisation ducortex
: http://www.udel.edu/biology/Wags/histopage/lowmagpage/lomagjpegs/cerebralhemispheres.jpg
visible human project
: http://www.madsci.org/~lynn/VH/annotated.html
cortex
substance grise / blanche
A3/ Expérimentation animale de la plasticité cérébrale / site www
La plasticité cérébrale au niveau du cortex des
rongeurs :
http://www.inrp.fr/Acces/biotic/neuro/plasticite/html/plastic.htm
organisation des projections corticales des
vibrisses chez le rat :
http://www.inrp.fr/Acces/biotic/neuro/plasticite/html/vibrisses.htm
=> correspondance entre zone sensitive
(vibrisses) et zone corticale ( tonneaux de neurones du cortex )
plasticité
cérébrale
fontaine de jouvence neuronale :
http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actualite-une-fontaine-de-jouvence-neuronale-25819.php
A4/ Exemple clinique de plasticité cérébrale / site www
Plasticité corticale chez l'homme adulte :
http://www.inrp.fr/Acces/biotic/neuro/plasticite/html/plasthom.htm
études de pathologies génétiques du système
nerveux central (insensibilité congénitale à la douleur)
=> comportement régulé par la douleur ssi
existence du réseau de neurones corticaux responsables du traitement
de la douleur
élaboration
d'un phénotype spécifique
plasticité
affecte aussi le cortex moteur
B.5.3/ Motricité et plasticité cérébrale
Si
le réflexe myotatique sert d'outil diagnostique pour identifier
d'éventuelles anomalies du système neuromusculaire local, il n'est
pas suffisant car certaines anomalies peuvent résulter d'anomalies
touchant le système nerveux central et se traduire par des
dysfonctionnements musculaires. Ainsi, les mouvements volontaires
sont contrôlés par le système nerveux central.
L'exploration
du cortex cérébral permet de découvrir les aires
motrices spécialisées à l'origine des mouvements volontaires.
Les messages nerveux moteurs qui partent du cerveau cheminent par des
faisceaux de neurones qui descendent dans la moelle jusqu'aux
motoneurones. C'est ce qui explique les effets paralysants des
lésions médullaires. Le corps cellulaire du motoneurone reçoit des
informations diverses qu'il intègre sous la forme d'un message
moteur unique et chaque fibre musculaire reçoit le message d'un seul
motoneurone.
La
plasticité cérébrale affecte autant le cortex moteur que
l'importance de cette plasticité, tant dans l'élaboration d'un
phénotype spécifique que dans certaines situations médicales.
Le
système nerveux central peut récupérer ses fonctions après une
lésion limitée. La plasticité des zones motrices explique cette
propriété.
La
comparaison des cartes motrices de plusieurs individus montre des
différences importantes. Loin d'être innées, ces différences
s'acquièrent au cours du développement, de l'apprentissage des
gestes et de l'entraînement. Cette plasticité cérébrale explique
aussi les capacités de récupération du cerveau après la perte de
fonction accidentelle d'une petite partie du cortex moteur.
Les
capacités de remaniements se réduisent tout au long de la vie, de
même que le nombre de cellules nerveuses. C'est donc un capital à
préserver et entretenir.
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