L'équipe « Variation phénotypique et adaptation
» (VPA) de l'Institut d'écologie et des sciences de l'environnement de
Paris (iEES Paris, UPMC/CNRS/INRA/UPEC/IRD/université Paris Diderot)
vient de démontrer que les risques de mourir au cours de la vie peuvent
fortement différer entre des individus d'une même espèce. Cette étude
montre aussi que le fait de retarder le vieillissement d'un individu, ne
s'accompagne pas forcément d'une augmentation de son espérance de vie.
Les résultats de l'étude ont été publiés dans Journal of Evolutionary Biology.
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Notes :
Références :
Within species variation in long-term trajectories of growth, fecundity and mortality in the Collembola Folsomia candida. Mallard, F., Farina, M., and Tully, T, Journal of Evolutionary Biology, 8 septembre 2015. doi: 10.1111/jeb.12752
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