vendredi 18 mars 2022
4,2/ Produire le mouvement : contraction musculaire et apport d’énergie
4,2,3/ l’équilibre glucidique
1/ homéostat glycémique
p.442
Comparer la consommation de glucose par l’organisme au repos et celles en activité musculaire, en période postprandiale et à jeun.
La glycémie est la concentration de glucose dans le sang, maintenue dans un intervalle relativement étroit autour d’une valeur d’équilibre proche de 1g.L-1. Elle dépend des apports alimentaires et est régulée.
2/ régulation hépatique
p.444
Glycogène : https://libmol.org/?pubchem=439177&embedded=1
Réaliser un protocole expérimental en se fondant sur une démarche historique (par exemple expérience dite du foie lavé).
Les cellules musculaires ont besoin de nutriments, principalement de glucose et de dioxygène, puisés dans le sang. Les réserves de glucose se trouvent sous forme de glycogène dans les cellules musculaires et dans les cellules hépatiques. Elles servent à entretenir des flux de glucose, variables selon l’activité, entre les organes sources (intestin et foie) et les organes consommateurs (dont les muscles).
The human right that benefits nature
https://www.bbc.com/future/article/20210316-how-the-human-right-to-a-healthy-environment-helps-nature
By Katarina Zimmer _ 17th March 2021
mercredi 16 mars 2022
3 - La Terre, un astre singulier
La Terre, singulière parmi un nombre gigantesque de planètes, est un objet d’étude ancien. Les évidences apparentes et les récits non scientifiques ont d’abord conduit à de premières représentations. La compréhension scientifique de sa forme, son âge et son mouvement résulte d’un long cheminement, émaillé de controverses.
3.2 - L’histoire de l’âge de la Terre
L’âge de la Terre est d’un ordre de grandeur sans rapport avec la vie humaine. Sa compréhension progressive met en œuvre des arguments variés.
1/ L’âge de la terre au fil de l’histoire des sciences
Interpréter des documents présentant des arguments historiques utilisés pour comprendre l’âge de la Terre. Identifier diverses théories impliquées dans la controverse scientifique de l’âge de la Terre.
3,1,2/ Génétique des populations
Manuel p.192-193
Paludisme et hémoglobine : http://genet.univ-tours.fr//gen001700_fichiers/htm/gen12ch8b.htm
- Génotype : ensemble des allèles portés par un individu. On le réduit souvent aux allèles du (ou des) gène(s) étudié(s).
- Forces évolutives : tout processus qui modifie la structure génétique de la population. Les mutations, les migrations, la dérive génétique ou la sélection naturelle sont des forces évolutives.
- Fréquence allélique : fréquence d’un allèle par rapport aux autres allèles d’un même gène dans une population. Chez une espèce à deux chromosomes, on a, pour un gène donné, deux fois plus d’allèles que d’individus ( puisque chaque individu a deux allèles). f (allèle) = Nombre total de l’allèle donné / ( 2 x nombre total d’individus).
- Fréquence génotypique : fréquence d’un génotype par rapport aux autres génotypes d’un même gène dans une population. f (génotype) = Nombre d’individus de ce génotype / Nombre total d’individus.
Analyser une situation d’évolution biologique expliquant un écart par rapport au modèle de Hardy-Weinberg.
Au cours de l’évolution biologique, la composition génétique des populations d’une espèce change de génération en génération. Le modèle mathématique de Hardy-Weinberg utilise la théorie des probabilités pour décrire le phénomène aléatoire de transmission des allèles dans une population. En assimilant les probabilités à des fréquences pour des effectifs de grande taille (loi des grands nombres), le modèle prédit que la structure génétique d’une population de grand effectif est stable d’une génération à l’autre sous certaines conditions (absence de migration, de mutation et de sélection). Cette stabilité théorique est connue sous le nom d’équilibre de Hardy-Weinberg. Les écarts entre les fréquences observées sur une population naturelle et les résultats du modèle s’expliquent notamment par les effets de forces évolutives (mutation, sélection, dérive, etc.).