L'âge de coquillages perforés découverts dans une
grotte espagnole a été estimé à 115 000 ans. Ils ne peuvent ainsi
qu'être l'oeuvre de l'homme de Néandertal.
samedi 10 mars 2018
la spéciation chez les Equidés
Les
Equidés représentent 55 millions d'années de changements
anatomiques, qui va de l'ancêtre aux 3 à 4 doigts à l'ongulé
actuel possédant un seul et unique doigt. De cette famille ne
subsiste aujourd'hui que le genre « Equus », apparu il y
a 4 à 4,5 millions d'année en Amerique du Nord. Ce genre abrite
les espèces telles que le cheval (equus caballus), l'âne (equus
asinus), le zèbre (equus quagga ou zebra) mais encore l'hémione (equus
hemionus) ou le cheval de Przewalski (equus ferus przewalskii).
Les
espèces de ce genre sont de la classe « Mammalia »
(mammifères) et se caractérisent par une taille moyenne ou grande,
une tête allongée et un coup long orné d'une crinière.
Ces
espèces représentent un exemple frappant de modèle d'évolution,
mais le mystère de leur grande diversité reste un sujet
d'actualité.
Les
nombreuses recherches menées sur le génome des espèces actuelles
d'équidés ainsi que, plus récemment, sur le génome du zèbre
quagga, éteint au début du XXeme siècle, mettent en évidence la
complexité de l'histoire de la spéciation chez les Equus.
C'est
la comparaison des génômes des différentes espèces d'Equus
qui permet entre autre de décrypter les adaptations génétiques et
de retracer le moment où deux espèces distinctes sont apparues sous
l'influence de différents facteurs, ce qu'on appelle
spéciation.
Les
chercheurs, en séquençant les 6 génomes de chaque espèce vivante
d'ânes et de zèbres ont élargit les bases de données et ont pu
comparer ces séquences avec celles du cheval et de l'âne
domestiques, qui étaient jusque-là les seules à avoir été
séquencées entièrement : ils ont ainsi mis en évidence 48
gènes qui ont évolué différemment ; gènes impliqués entre
autre dans l'olfaction, les réponses immunitaires, le développement,
la locomotion ou encore le comportement.
Il
est d'usage de penser que la spéciation chez les Equus a
débuté par un isolement géographique de par la large expansion que
l'ancêtre commun a connu dès son apparition il y a environ 4
millions d'années. En effet, l'histoire démographique de ce genre a
été très active. L'évolution s'est faite principalement en
Amérique du Nord, puis les représentants du genre se sont dirigés
vers l'Europe et l'Asie par migrations (dès 2,1 – 3,4 Ma). La plus
ancienne spéciation a eu lieu en Amérique du Nord. Cette très
grande dispersion est à l'origine des spéciations.
L'isolement
géographique est vecteur d'adaptations génétiques et phénotypiques
chez l'individu, adaptations qui favorisent l'appréhension de
l'environnement, de l'écosystème, la survie et la reproduction. A
plus ou moins long terme, ces divergences génétiques et
phénotypiques (quoique moindres) ont « isolé » un
groupe d'équidés par rapport à un autre, entraînant un isolement
génétique et donc, un isolement reproductif. Les espèces d'Equus
sont donc nées du fait de la large diffusion de ce genre animal sur
le globe.C'est le cas par exemple du zèbre, espèce présente
principalement sur le continent africain, qui s'est remarquablement
bien adapté à son environnement aride et riche en insectes.
Isolement
reproductif ? En vérité pour les espèces du groupe Equus,
ce n'est pas vraiment le cas. Ce qui est complexe dans le cas des
différentes espèces d'Equus, c'est qu'il existe aujourd'hui
beaucoup de cas d'hybridation malgré des différences chromosomiques
majeures en fonction des espèces du genre (de 16 à 32 paires selon
les espèces), ce qui contraste avec la théorie selon laquelle les
incompatibilités chromosomiques sont les moteurs de la spéciation
équine. On veut dire par là que malgré un nombre très variable de
paires de chromosomes chez les différentes espèces d'Equus,
il est possible de trouver de fortes ressemblances dans le génomes
des espèces équines actuelles, ce qui vient s'opposer à l'idée
que l'accumulation de réarrangements chromosomiques mène à une
isolation reproductive complète. Ceci remet en cause le critère
d'interfécondité utilisé pour définir une espèce, puisque le
terme même d'hybridation vient s'y opposer : il définit le
croisement entre deux espèces. Des espèces qui, normalement, ne
devraient pas pouvoir se reproduire car trop éloignés que ce soit
sur le point de vue génétique et/ou géographique. Chez les
Equus cependant, les cas d'hybridation nombreux suggèrent une
proximité des génomes plus importante que ne le laisserait penser
certaines études.
Si
nous prenons le cas du mulet (ou de la mule) par exemple, équidé
hybride issu des amours d'un âne et d'une jument, des études de son
caryotype ont permis de le comparer avec ceux de ses parents. D'un
phénotype nettement hybride, alliant la taille et l'étendue du
cheval et les caractéristiques de l'âne, le mulet est également
d'un point de vue physiologique très proche de l'âne : c'est
en effet un animal très robuste. D'un point de vue génétique, le
caryotype du mulet possède 63 chromosome : un parfait mélange
entre son parent maternel et paternel qui en possèdent
respectivement 64 (cheval) et 62 (âne).
Cette hybridation est possible car si le caryotype du cheval et de l'âne diffèrent ne serait-ce que de par leurs réarrangements chromosomiques, ils restent cependant très proches.
Cette hybridation est possible car si le caryotype du cheval et de l'âne diffèrent ne serait-ce que de par leurs réarrangements chromosomiques, ils restent cependant très proches.
D'autres
cas d'hybridation sont bien connues : le zébrule entre autre,
issu du croisement d'un zèbre et d'une jument, le zébrâne venant
de l'accouplement d'un zèbre et d'une anesse ou encore le bardot
issu d'une anesse et d'un étalon.
Tous
ces hybrides possèdent également 63 chromosomes. Ce nombre impair
de chromosomes hérités de leurs parents équins entraînent
fatalement leur stérilité : ne pouvant s'apparier correctement
lors de la première division de la méiose, les cellules germinales
de l'animal sont vouées à se dégénérer ; ces irrégularités
d'appariement provoquent une très faible production de gamètes
viables qui sont, de plus, difficilement fécondables.
Ces
cas d'hybridation montrent la grande plasticité chromosomique chez
les espèces Equus, capables pour la plupart de se reproduire
entre elles. Cependant, cette descendance, stérile, corrobore le
fait que le cheval et l'âne, le cheval et le zèbre ou encore le
zèbre et l'âne restent des espèces différentes quoique très
proches, issue d'un ancien et même ancêtre commun.
L'évolution
du genre Equus a comme tous été l'objet d'une longue et
lente évolution. Elle est très intéressante à étudier car les
espèces équines représentent un modèle fondamental pour la
compréhension du lien réciproque entre structure chromosomique et
diversité génétique qui mènent finalement à la spéciation au
sein d'un genre.
Liens
des sources :
Les moustiques du métro londonien
La
première ligne du métro de Londres a été inaugurée en 1863.
Alors qu’il n’existait initialement qu’une seule espèce de
moustiques à Londres, on trouve actuellement des moustiques qui
vivent exclusivement dans les couloirs du métro londonien qui
viennent se rajouter aux moustiques dits « de surface ».
Ces nouveaux moustiques forment un écosystème confiné, sans
rapport direct avec l’extérieur. En laboratoire, il est impossible
de faire se reproduire des moustiques du métro londonien avec des
moustiques londoniens vivant en surface.
Pour
distinguer les populations du métro de celles de surface, les
scientifiques ont donné le nom de
Culex pipiens forme
molestus
aux premiers et de Culex
pipiens forme
pipiens
aux seconds.
La
forme Molestus
du métro londonien serait issue d’une population unique de surface
Culex pipiens.
Mais
il y a mieux : les moustiques du métro sont génétiquement
différenciés en fonction des lignes du métro !
Au
moins trois groupes génétiques correspondent effectivement aux
lignes Victoria, Bakerloo et Central ont en effet été identifiés…
Comment
cette espèce est-elle apparue ?
Quels sont les mécanismes de spéciation ?
Une
partie de la population initiale (Culex pipiens) est isolée dans les
souterrains du métro.
L'espèce
a subit ainsi un isolement géographique. Lorsqu’une
population change de zone de vie, elle fonde une nouvelle population
à partir
d’individu
« nouveaux ».
Ces derniers ont peu de chance d’avoir
la totalité des allèles présents dans la population d’origine
: ce qui entraîne
une fréquence allélique différente de celle d’origine
(on note donc déjà des différences). Cette partie de population
présente un faible effectif : la
dérive
génétique
va donc être marquée.
Ce mécanisme est celui de la variation aléatoire des fréquences
alléliques au sein d’une
population et au cours des générations.
L’isolement
de la population amène donc une évolution au cours du temps, une
variation des fréquences
alléliques,
au fil des mutations et des modifications du génome, ainsi que de la
transmission aléatoire des allèles.
Ensuite,
intervient la sélection naturelle. Les conditions du milieu
souterrain sont différentes des conditions en surface : les
pressions évolutives, les températures, la luminosité ne sont pas
les mêmes. Ainsi, un allèle d’un
gène
qui favorisait la survie en surface peut devenir défavorable dans ce
nouvel environnement. Les effets de la sélection naturelle sont
différents dans les deux milieux. Précisons
que les couloirs du métro
forment un environnement confiné,
isolé
de
l’extérieur,
donc les échanges
génétiques
avec la population de moustiques en plein air étaient
réduits
- quasiment inexistants-, ce qui a favorisé
aussi
la séparation
génétique
entre les deux populations et la création
de deux
espèces
distinctes comme le montre le schéma ci-contre:
De
plus, les phénomènes
jouent
simultanément
sur l’évolution des fréquences alléliques des deux populations.
L’accumulation
de différences peut conduire à l’apparition
de nouvelles espèces
comme nous le voyons sur le schéma suivant:
Conclusion:
On
comprend désormais comment cette spéciation a pu se mettre en
place. En effet, à partir du moment ou deux êtres qui se
reproduisent ne donnent pas de descendance fertile, on peut alors
affirmer que ces deux êtres n’appartiennent pas à la même
espèce. C’est ici le cas avec les moustiques Culex
pipiens forme
molestus
et pipiens.
Cette
spéciation est due aux mécanismes dont nous avons parlé dans cet
article à savoir: l’isolement géographique, les mutations, la
sélection naturelle…
Bibliographie:
vendredi 9 mars 2018
§ Quelle est l'évolution de l'homme ?
2,4,2/ Hominidé
A1 : Phylogénèse de l'oeil / rappel de 1S
Diap \oeil_phylogenese.odp
Phylogénèse et Famille multigéniqueA2: Comparaison des genres Homo et Pan / do© www
© Homo Pan.odg
Decoding Human Accelerated Regions :
http://www.the-scientist.com/?articles.view/articleNo/46643/title/Decoding-Human-Accelerated-Regions/
Cahier interactif :
http://morgane.frey.free.fr/cartelec/cartelec/terminale_s/theme1A/ch1%20et%202%20biodi%20evol%20homme/heterochronisme/index.html
dossier futura science :
http://www.futura-sciences.com/magazines/sciences/infos/dossiers/d/anthropologie-anatomie-comparee-homme-singe-694/page/9/
Homo
sapiens, chimpanzé, chronologie et intensité d'expression de
certains gènes, développement pré et postnatal,
Néoténie
§ Quelle est l'évolution de l'homme ?
2,4/ Le cas Humain
2,4,1/ Hominoïde
A1 : EV/ Construction de la phylogénie des hominidés / logiciel Phylogène
® TP phylogene Hominides.odt
TS TP phylogene Hominides - CoRR.odt
FT fournies au TP de Bac (ECE) :
http://pedagogie.ac-toulouse.fr/svt/serveur/bankact/index.php?m=1&sm=1
traiter les données pour établir des relations
de parenté / Phylogène (version 24/10/2009) : (doc,
odt,
pdf)
arbre
phylogénétique, ancêtre communcaractère ancestral = primitif // caractère dérivé = acquis
A2 : Comparaison de crânes d’hominidés / moulages + logiciel Mesurim
© TS TP mesurim cranes.odt
© Homo tableau comparaison.odt
craniometrie.pdf
Avec le
logiciel « Mesurim » effectuer les mesures selon les
indications des fiches techniques « crâniométrie » et
« effectuer des mesures sur les crânes avec « Mesurim » »
Comparer
vos résultats au tableau de comparaison des fossiles de la lignée
et déterminer si ce fossile appartient à la lignée humaine. Si oui
où le situer ?
FT fournies au TP de Bac (ECE) :
http://pedagogie.ac-toulouse.fr/svt/serveur/bankact/index.php?m=1&sm=1
télécharger fiche technique de craniométrie :
http://svtolog.free.fr/IMG/pdf/craniometrie.pdf
télécharger un tableau de comparaison:
http://svtolog.free.fr/IMG/pdf/ligneets.pdf
face
réduite, trou occipital, mandibule parabolique, capacité crânienneA3 : comparaisons anatomiques / logiciel
TP_lignée_humaine.odt
télécharger le logiciel de Perez Lignée humaine
(.zip)
:
http://pedagogie.ac-toulouse.fr/svt/serveur/lycee/perez/evolution/ligsomm.htm
télécharger fiche technique de craniométrie :
http://svtolog.free.fr/IMG/pdf/craniometrie.pdf
télécharger puis compléter le tableau :
http://svtolog.free.fr/IMG/pdf/ligneets.pdf
Bilan : Un regard sur l'évolution de l'Homme
Homo sapiens peut être regardé, sur le plan évolutif, comme toute autre espèce.Il a une histoire évolutive et est en perpétuelle évolution.
Cette histoire fait partie de celle, plus générale, des primates.
§ Que manquait-il à Wegener pour appuyer la théorie ?
A3 : Utilisation de la sismologie pour la découverte des profondeurs de la terre
D/ subduction.odp
Hodochrone [Hodo = vitesse ; chrone = temps]
= courbes de vitesses d'ondes sismiques à travers le globe
Tomographie [tomê = coupe ; graph = écrit ]
sismique = cartographie de l'intérieur de la terre à partir des
variations vitesses des ondes sismiques = échographie sismique
Manuel p.169-170....
Tomographie sismique :
http://www.futura-sciences.com/uploads/tx_oxcsfutura/img/mantle-graphic-enlarged.jpg
site Planete Terre :
http://planet-terre.ens-lyon.fr/planetterre/XML/db/planetterre/metadata/LOM-subduction-deformation.xml#id3021848
La propagation d’ondes à travers un même
matériau mais à des températures différentes montre la différence
entre lithosphère et asthénosphère.
Les hodochrones permettent de comparer les
différentes données sismiques à travers la terre et donc de
révéler des différentes discontinuités (limites entre couches
différentes par leur nature ou leur composition) comme celle de
Mohorovicic séparant croûte et manteau ou la LVZ séparant la
lithosphère et l'asthénosphère.
Rhéologie [rhéô = couler ; logos = étude
]
lithosphère
/ asthénosphère;
lithosphère (océanique ou continentale) plongeant ss\ manteau
plan de Wadati-Benioff
lithosphère rigide et cassante / asthénosphère ductile
A4 : Schématisation du phénomène de subduction / animations
animation en flash :
http://www.biologieenflash.net/sommaire.html
→ géologie interne → subduction
petit logiciel à télécharger :
http://svt.ac-rouen.fr/tice/animations/tectonique/expansion.htm
au fur et à mesure de son éloignement de la
dorsale, la lithosphère océanique s'épaissit (par refroidissement
+ poids de la sédimentation qui s'accumule) et devient plus dense,
jusqu'à dépasser la densité de l'asthénosphère. Au bout de 50 à
180 Ma, la densité de la lithosphère dépasse celle de
l’asthénosphère, ce qui permet sa subduction. Cette différence
de densité est considérée comme le moteur principal de la
tectonique des plaques.
Bilan / schéma : Subduction du plancher océanique
© sch'bilan 3
Mots clefs : Fosse de subduction, foyer sismiques, plan de Benioff, lithosphère, asthénosphère, croûte, manteau, subduction, isotherme 1300°C
glossaire :
http://operabaroque.fr/magmatiques.htm
Bilan : Subduction du plancher océanique
Au voisinage des fosses océaniques, la distribution spatiale des foyers des séismes en fonction de leur profondeur s’établit selon un plan incliné, le plan de Wadati-Benioff.Les différences de vitesse des ondes sismiques qui se propagent le long de ce plan, par rapport à celles qui s’en écartent, permettent de distinguer la lithosphère de l’asthénosphère. La limite inférieure de la lithosphère correspond généralement à l’isotherme 1300°C (environ 100 km sous océans, 120 km sous continents). La lithosphère comprend la croûte + le manteau supérieur, l'asthénosphère est une partie du manteau sous-jacente. L’interprétation de ces données sismiques permet ainsi de montrer que la lithosphère s’enfonce dans le manteau au niveau des fosses dites de subduction.
jeudi 8 mars 2018
§ Quelle est l'évolution de l'homme ?
§ Quelle est l'évolution de l'homme ?
2,4/ Le cas Humain
2,4,1/ Hominoïde
A1 : EV/ Construction de la phylogénie des hominidés / logiciel Phylogène
® TP phylogene Hominides.odt
TS TP phylogene Hominides - CoRR.odt
FT fournies au TP de Bac (ECE) :
http://pedagogie.ac-toulouse.fr/svt/serveur/bankact/index.php?m=1&sm=1
traiter les données pour établir des relations
de parenté / Phylogène (version 24/10/2009) : (doc,
odt,
pdf)
arbre
phylogénétique, ancêtre communcaractère ancestral = primitif // caractère dérivé = acquis
§ Que manquait-il à Wegener pour appuyer la théorie ?
2.2.3 : Sismologie en profondeur
A1 : Etude de la répartition mondiale des séismes profonds / site CNRS
localisation des zones de subduction :
http://www.cnrs.fr/cw/dossiers/dosgeol/01_decouvrir/02_subduction/02_carte/carteok.htm
subduction
= zone de convergence de plaquesséïsmicité + volcanisme particuliers de la subduction : séismes profonds + volcanisme explosif
reliefs négatifs = fosse, (bassin arrière-arc)
reliefs positifs = cordillère ou arc insulaire
A2 : Tracé du plan de Wadati Benioff / logiciels Sismolog + Educarte
© 1S TP sismolog educarte subduction.odt
1S_TP_subduction_sismolog_educarte.odt
pour
localiser les zones de subduction :
isotherme d’une zone de subduction :
FT fournies au TP
de Bac (ECE) :
http://pedagogie.ac-toulouse.fr/svt/serveur/bankact/index.php?m=1&sm=1
pour
télécharger le logiciel Educarte :
http://www.edusismo.org/docs/outils/educarte/index.htm
pour
télécharger le logiciel tectoglob :
http://pedagogie.ac-amiens.fr/svt/info/logiciels/Tectoglob/index.html
plan de Wadati Benioff / sismolog :
http://svt.ac-dijon.fr/dyn/IMG/Subduction_ocean_continent.jpg
fresh news
nous avons remis dans la cage deux couples (ravis de sortir de leur petit carton)
le jeune blanc (bec) semble s'être fait accepté
quelques oeufs dans un nichoir non couvé
un autre nichoir occupé (par couveuse ?)
le jeune blanc (bec) semble s'être fait accepté
quelques oeufs dans un nichoir non couvé
un autre nichoir occupé (par couveuse ?)
§ Que manquait-il à Wegener pour appuyer la théorie ?
2.2.2 : Paléomagnétisme des fonds océaniques
[Paleo = ancien]A1 : Mesure du paléomagnétisme des dorsales océaniques / Google earth
Dossier
« dorsale » :
http://acces.inrp.fr/eduterre-usages/ressources_gge/divergence/la-topographie-oceanique
autre
ressource :
http://acces.inrp.fr/eduterre-usages/ressources_gge/magnetisme
fiche technique d'utilisation de Google earth :
http://pedagogie.ac-toulouse.fr/svt/serveur/bankact/index.php?m=1&sm=1
anomalies
magnétiques,=> la corrélation entre les anomalies magnétiques découvertes sur le plancher océanique et la connaissance plus ancienne de l’existence d’inversion des pôles magnétiques confirme l’hypothèse de l’expansion océanique.
A2 : Mise en évidence magnétisme des roches / échantillons
basalte, magnétite, aimant, limaille de Fe,
plaque plexis, boussole
magnétisme des roches (magnétite), basalte, champ magnétique terrestre
A3 : Schématisation de l'expansion océanique / animations
http://www.biologieenflash.net/sommaire.html
→ géologie interne → dorsale
http://svt.ac-rouen.fr/tice/animations/tectonique/expansion.htm
→ fichiers « rifting4 »
Convection,
dorsale, rift, croûte basaltes+gabbro=> liens entre amincissement de la lithosphère, remontée / convection, dépressurisation et fusion partielle de l’asthénosphère sous-jacente et formation d’une nouvelle lithosphère.
Bilan : Paléomagnétisme océanique
La mise en évidence de bandes d’anomalies magnétiques symétriques par rapport à l’axe des dorsales océaniques, corrélables avec les phénomènes d’inversion des pôles magnétiques (connus depuis le début du siècle), permet d’éprouver l'hypothèse de Wegener et de calculer des vitesses d’expansion océaniques.Mots clefs : Topographie océanique, flux thermique, magnétisme des roches (magnétite, point de Curie), anomalies, expansion, accrétion, dorsale, convection, vitesse d'expansion
glossaire :
http://operabaroque.fr/magmatiques.htm
Comment retrace-t-on l'évolution ?
A4 : Construction de l'« arbre de la vie »
Interactive tree of life : http://www.onezoom.org/
construction de l'arbre au cours des ans :
http://www.onezoom.org/tetrapods.htm
(clic en haut à droite, compteur années en bas)
another tree of life : http://tolweb.org/tree/
Timetree
: http://timetree.org/
Lifemap : http://lifemap-otol.univ-lyon1.fr/
A5 : reflexion sur la notion d'espèce / concepts
des
sites « spécialisés »
:
Les
mécanismes de l'évolution
:
http://www.snv.jussieu.fr/vie/dossiers/evolution/evol/tridiv_4.html#IVB ;
Speciation and
extinction :
http://www.bio.georgiasouthern.edu/bio-home/harvey/lect/lectures.html?flnm=bgsp&ttl=Speciation%20and%20Differentiation&ccode=el&mda=scrn
des définitions
de l'espèce :
au programme de
6e : « La diversité des espèces est à la base de la
biodiversité. Une espèce est un ensemble d'individus qui évoluent
conjointement sur le plan héréditaire. »
Mayr donne de l'espèce la définition largement
admise : « l'espèce représente un groupe de populations
réellement ou potentiellement interfécondes et séparé
reproductivement de tout autre groupe analogue. »
Conception biologique de l'espèce (BSC) = une
espèce est un groupe de populations naturelles au sein desquelles
les individus peuvent échanger du matériel génétique ; toute
espèce est séparée des autres par des mécanismes d'isolement
reproductif.
Conception phylogénétique de l'espèce (PSC) =
concept cladistique = un groupe d'organismes qui peuvent être
distingués d'autres groupes et auquel apartiennent les ancêtres et
les descendants d'une lignée évolutive = le plus petit agrégat de
populations identifiable par une combinaison unique d'états de
caractères chez des individus comparables.
Conception évolutive de l'espèce (ESC) = une
espèce est une lignée évolutive formée de populations ancestrales
et de leurs descendants, qui est distincte des autres lignées
évolutives et qui a son propre destin.
espèce = ensemble d'individus qui produisent une
descendance fertile d'un point de rupture du flux généalogique
juqu'au suivant.
futura
sciences :
http://www.futura-sciences.com/fr/definition/t/zoologie-2/d/espece_2261/
« dans la
nature il n’y a pas d’espèces : il n’apparait que des
barrières de reproduction. Les espèces, c’est nous qui les créons
à partir d’un modèle théorique » (G. Lecointre, professeur au
Museum National d’Histoire Naturelle - Revue Espèces – n° 1
–septembre 2011) : http://www.especes.org/
Doit-on
abandonner le concept d’espèce ? :
http://www.inra.fr/dpenv/leguyc46.htm
l'espèce
est une réalité statistique, collectivehttps://videos.reseau-canope.fr/corpus/lignees_d_especes-HD.mp4
oiseaux de paradis : danse des paradisiers : http://youtu.be/YTR21os8gTA
Bilan : Évolution des espèces
La diversité du vivant (biodiversité) est en partie décrite comme une diversité d'espèces. La définition de l'espèce est délicate et peut reposer sur des critères variés qui permettent d'apprécier le caractère plus ou moins distinct de deux populations (critères phénotypiques, interfécondité, etc.). Le concept d'espèce s'est modifié au cours de l'histoire de la biologie. Une espèce peut être considérée comme une population d'individus suffisamment isolés génétiquement des autres populations. Une population d'individus identifiée comme constituant une espèce n'est définie que durant un laps de temps fini. On dit qu'une espèce disparaît si l'ensemble des individus concernés disparaît ou cesse d'être isolé génétiquement. Une espèce supplémentaire est définie si un nouvel ensemble s'individualise. L'espèce est une réalité statistique, collective.Mots clefs : espèce, critères phénotypiques, interfécondité, concept, histoire, isolement génétique, temps
© article /Djebel Irhoud.odt
mercredi 7 mars 2018
§ Comment se fait la coordination des fonctions de respiration et de circulation ?
nerf
|
Exp de section
|
Exp de stimulation
|
=> Rôle du nerf
|
Parasympathique
|
Accélération cardiaque
|
Ralentissement cardiaque
|
Ralentit le coeur
nerf moteur modérateur
|
Orthosympathique
|
Ralentissement cardiaque
|
Accélération cardiaque
|
Accélère le coeur
nerf moteur accélérateur
|
Cyon ou Hering
|
Accélération cardiaque
|
Ralentissement cardiaque
|
Nerfs sensitifs
|
Pour la prochaine fois :
réaliser un schéma de la boucle de
régulation nerveuse de la pression artérielle, contenant les mots
suivants :
barorécepteurs
→ nerf sensitif → centre bulbaire → nerfs orthosympathiques &
parasympathiques → effecteur = cœurcubitus, l’os qui a changé de sexe
Cuistres que nous sommes. Nous avons appris incidemment que l’os de l’avant-bras que nous avions coutume d’appeler cubitus aurait changé de nom subrepticement depuis longtemps et répondrait désormais au doux nom d’ulna. Le Petit Larousse a enregistré ce changement, avec discrétion, il y a longtemps déjà (au moins l’édition 2004). Le Petit Robert, lui, ignore encore ulna, mais il connaît l’adjectif ulnaire, « qui a trait au cubitus », ce qui est un premier pas. Quand il indiquera « qui a trait à l’ulna », la boucle sera bouclée. Il faut noter aussi que l’adjectif cubital (« qui a trait à l’ulna ») subsiste toujours, ce qui complique la situation sémantique.
Ulna signifie « avant-bras » en latin ; et cubitus, « coude ». Le milieu médical, à qui nous devons ce changement de terme, s’est approché au plus près de l’étymologie. Au passage, cet os a changé de sexe : cubitus était masculin, ulna est féminin. Dommage pour cubitus, qui pouvait se prêter à moult jeux de mots – nous pensons notamment à cette chanson de Georgius où il était question de « montrer son cubitus » en tout bien tout honneur – mais pour nous consoler nous savons que cubital (pluriel masculin cubitaux) a toujours cours.http://correcteurs.blog.lemonde.fr/2012/12/11/cubitus-los-qui-a-change-de-sexe/
mardi 6 mars 2018
il y a du nouveau !
5 perruches se sont sauvées, il n'en reste que 4 + 1 jeune qui semble mal accepté par les autres
les enfants du primaire ont repéré 5 oeufs dans un des nichoirs ..
on reçoit 2 nouveaux couples jeudi, nous aurons donc au moins 4 couples au total
§ Comment se fait la coordination des fonctions de respiration et de circulation ?
2 EV QCM santé2.odt
§ Comment se fait la coordination des fonctions de respiration et de circulation ?
2.3- Une boucle de régulation nerveuse
A1 : Expérience virtuelle sur la régulation de la pression artérielle / logiciels www
animation expérience sur le chien :
http://svt.ac-creteil.fr/?Une-animation-sur-l-influence-du
Expériences de section-stimulations :
http://www.ac-nice.fr/svt/productions/freeware/regulpan/
Autre logiciels en ligne des expériences de
section-stimulations :
http://44.svt.free.fr/jpg/regulation_pression-arterielle.htm
logiciel Regnerv_RC sur la régulation cardiaque
(à télécharger) :
http://svt.ac-creteil.fr/?Modulation-du-rythme-cardiaque-par-630
; http://svt.ac-creteil.fr/?Modulation-du-rythme-cardiaque-par
construire un tableau de comparaison des
différentes expériences
lundi 5 mars 2018
Chap2 : des parentés qui s'expliquent par l'évolution
A1 : comparaison des membres de la famille vertébré
https://www.assistancescolaire.com/enseignant/elementaire/ressources/base-documentaire-en-sciences/les-membres-anterieurs-des-vertebres-tetrapodes-4shv0401
http://dionysos.bretagne.iufm.fr/carelcarest/carest/prive/plc/evolution/images_evolution/membres-anterieurs.gif
http://svtmarcq.over-blog.com/article-phylogenese-evolution-et-parente-des-especes-i-term-s-58339680.html
A2 : comparaison de 4 cranes de vertébrés
http://svt.ac-besancon.fr/wp-content/uploads/sites/104/2016/03/cranes-2.gif
https://www.flickr.com/photos/galleriejc/5650367442
http://shop-vaillier.com/index.php?id_product=22&controller=product&id_lang=1
http://planet-terre.ens-lyon.fr/article/tiktaalik-2006-06-01.xml
https://www.istockphoto.com/kr/%EB%B2%A1%ED%84%B0/%ED%8C%8C%EC%B6%A9%EB%A5%98-%EB%91%90%EA%B0%9C-gm138295483-19146454
https://www.batraciens-reptiles.com/classification_reptiles.htm
https://www.batraciens-reptiles.com/cranesrept.jpg
http://www.delachauxetniestle.com/ouvrage/cranes/9782603019412
https://www.assistancescolaire.com/enseignant/elementaire/ressources/base-documentaire-en-sciences/les-membres-anterieurs-des-vertebres-tetrapodes-4shv0401
http://dionysos.bretagne.iufm.fr/carelcarest/carest/prive/plc/evolution/images_evolution/membres-anterieurs.gif
http://svtmarcq.over-blog.com/article-phylogenese-evolution-et-parente-des-especes-i-term-s-58339680.html
A2 : comparaison de 4 cranes de vertébrés
http://svt.ac-besancon.fr/wp-content/uploads/sites/104/2016/03/cranes-2.gif
https://www.flickr.com/photos/galleriejc/5650367442
http://shop-vaillier.com/index.php?id_product=22&controller=product&id_lang=1
http://planet-terre.ens-lyon.fr/article/tiktaalik-2006-06-01.xml
https://www.istockphoto.com/kr/%EB%B2%A1%ED%84%B0/%ED%8C%8C%EC%B6%A9%EB%A5%98-%EB%91%90%EA%B0%9C-gm138295483-19146454
https://www.batraciens-reptiles.com/classification_reptiles.htm
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