Après une période de déconfinement et la fin de l'état d'urgence sanitaire le 10 juillet 2020, l'Etat français impose le port du masque le 17 juillet 2020 dans les lieux publics clos. Le 16 juillet 2020, Jean Castex, nouveau Premier Ministre, déclarait devant les sénatrices et les sénateurs "Le port du masque, constitue avec le respect des gestes dits « barrière » une mesure de prévention et de protection efficace". Cette décision se base sur les recommandations faites par l'OMS dans un rapport intitulé "Conseils sur l'utilisation des masques dans le contexte de la pandémie de COVID-19", paru le 5 juin 2020 (7). A la page 6 de ce rapport, l'OMS précise la chose suivante: "À l’heure actuelle, l’utilisation généralisée des masques par les personnes en bonne santé dans le cadrecommunautaire n’est pas encore étayée par des preuves scientifiques directes ou de haute qualité et il y a des avantages et des dommages potentiels à prendre en compte". Cette affirmation de l'OMS montre qu'on ne dispose à ce jour d'aucune étude scientifique randomisée prouvant l'efficacité et l'utilité du masque, efficacité et utilité qui étaient niée au début de la pandémie. Elle montre aussi son ignorance des 10 études randomisées prouvant l'inutilité des masques (8) (9). Ces mêmes masques sont même des "nids à microbes" pouvant se révéler plus nuisibles qu'autre chose pour citer les mots du professeur émérite de l'Université Johannes-Gutenberg de Mayence Sucharit Bhakdi (10). Outre les risques de malaises vagales liés au fait de respirer son propre CO2, le port prolongé du masque facial amène une prolifération des microbes et des champignons (stapyilocoques notamment) que nous respirons tout le temps du port, ce qui est un risque important pour notre santé. Enfin, le masque laisse entrer et sortir les microbes (dont la taille est de l'ordre du nanomètre) et ne protègent ni le porteur ni son entourage. La décision de l'Etat français d'imposer le port du masque est donc infondée et illégitime.