vendredi 17 mai 2019

Quid est contraception ? A5 : PMA & contraception hormonale ® sex_hormones.ods sex_hormones-COR.ods  Recenser, extraire et organiser des informations pour relier les causes de stérilité ou d’infertilité au choix des modalités de la procréation médicalement assistée. A6 :Classification des méthodes de contraception & PMA méthodes empêche l'émission de gamète empêche la rencontre des gamètes = fécondation empêche l'implantation de l'embryon = nidation stérilisation Contraception Contragestion naturelle 0 Billings, woomb, ... 0 mécanique stérilisation masculine = vasectomie stérilisation féminine = ligature ou obturation des trompes 0 préservatifs masculin (condom) ou féminin (cape, diaphragme) DIU = Sterilet dispositif intra-utérin chimique Pilule, patch, implant, anneau, éponge 0 Spermicide Pilule du lendemain RU486 (pour grossesse précoce) pilule abortive Lexique de mots que l’on fait petits parce qu’ils dérangent : PMA : procréation médicalement assistée IVG : interrvuption volontaire de grossesse, avortement DIU : dispositif intra-utérin, sterilet FIVETE : fécondation in vitro et transplantation d'embryon ICSI : Intra cytoplasmic sperm injection DPI : diagnostique préimplantatoire GPA : gestation pour autrui IST : infection sexuellement transmissible remplace le mot MST depuis 1999 MST : maladie sexuellement transmissible, remplace le mot vénérienne [de Venus] depuis 1990  Montrer les applications biotechnologiques découlant des connaissances scientifiques. Liste IST https://fr.wikipedia.org/wiki/Infection_sexuellement_transmissible Les maladies suivantes sont essentiellement à transmission sexuelle : la gonorrhée (blennorragie gonococcique) ; la chlamydiose à Chlamydiae trachomatis ; le chancre mou ; l'herpès génital la trichomoniase ; la syphilis ; l’infection à Mycoplasma genitalium Les maladies suivantes peuvent être transmises par voie sexuelle mais non exclusivement : nombreuses maladies bactériennes, dont la syphilis ; parasitoses dues à des ectoparasites, comme la gale ou les poux du pubis ; autres infections mycoplasmiques, maladies virales : verrues génitales ou condylomes, dus à certaines souches de Papillomavirus humain (VPH), cancer du col de l'utérus, du à certaines souches de Papillomavirus humain (VPH), l'hépatite B le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) responsable du syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA).  Extraire et exploiter des données pour relier la prévention contre les IST (SIDA, hépatite, papillomavirus, etc.) à la vaccination ou l’utilisation du préservatif. Bilan : schématisation de la régulation hormonale masculine dessins anatomie : http://biodidac.bio.uottawa.ca/Thumbnails/searchresults.htm?frompage=1&StartRow=193&sujet=&formattype=diagbw&auteur=&keyword=&phylum=homo&datesoumis=&maxrows=64 dosages de 3 hormones mâles : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/spip.php?article560 AMH et testostérone chez l’homme de l’âge fœtal à l’âge adulte, dosage plasmatique : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/spip.php?article2696 Régulation de la sécrétion de testostérone : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/spip.php?article1183 ; http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/spip.php?article724 ; http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/spip.php?article803 Hormones en fonction de l’âge : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/spip.php?article573 Bilan : schématisation de la régulation hormonale féminine Hormones en fonction de l’âge : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/spip.php?article573 dessins anatomie : http://biodidac.bio.uottawa.ca/Thumbnails/searchresults.htm?frompage=1&StartRow=193&sujet=&formattype=diagbw&auteur=&keyword=&phylum=homo&datesoumis=&maxrows=64 dosage hormones femelles : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/spip.php?article572 Hormones et grossessse : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/spip.php?article1578 grossesse en mai, cycles hormonaux : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/spip.php?article693 ménopause : hormones et ovocytes : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/spip.php?article685 nombre d’ovocytes chez une femme en fonction de l’âge : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/spip.php?article2092 http://www.reseau-canope.fr/corpus/video/le-cycle-ovarien-111.html logiciel « hormones » : \hormones.exe hormones sexuelles (testostérone, progestérone, oestrogènes) ; organes cibles, hormones et neurohormones hypothalamo-hypophysaires (FSH, LH et GnRH) ; modes d’action biologique des molécules exogènes. Bilan  Mettre en oeuvre une méthode (démarche historique) et/ou une utilisation de logiciels (ex : visualisation de modèles moléculaires, réalité augmentée) et/ou une pratique documentaire pour expliquer le mode d’action des molécules exogènes agissant comme des « leurres ».  Recenser, extraire et organiser des informations pour relier les causes de stérilité ou d’infertilité au choix des modalités de la procréation médicalement assistée.  Extraire et exploiter des données pour relier la prévention contre les IST (SIDA, hépatite, papillomavirus, etc.) à la vaccination ou l’utilisation du préservatif.  Montrer les applications biotechnologiques découlant des connaissances scientifiques. hormones sexuelles (testostérone, progestérone, oestrogènes) ; organes cibles, hormones et neurohormones hypothalamo-hypophysaires (FSH, LH et GnRH) ; modes d’action biologique des molécules exogènes. Le fonctionnement de l’appareil reproducteur repose sur un dispositif neuroendocrinien faisant intervenir l’hypothalamus, l’hypophyse et les organes sexuels. La connaissance de plus en plus précise des hormones naturelles endogènes contrôlant les fonctions de reproduction humaine a permis progressivement la mise au point de molécules de synthèse exogènes qui leurrent ce système et permettent une maîtrise de la procréation de plus en plus adaptée, avec de moins en moins d'effets secondaires. des molécules exogènes peuvent agir comme des « leurres » pour empêcher la production des ovocytes ou des spermatozoïdes, pour désynchroniser le fonctionnement de l’appareil reproducteur chez la femme ou empêcher le développement de la muqueuse utérine Chez la femme et chez l’homme, ces molécules de synthèse sont utilisées dans la contraception régulière (« la pilule »), la contraception d'urgence féminine, les hormones contragestives, ainsi que la contraception hormonale masculine. D’autres modes de contraception existent chez l’homme et la femme ; certains permettent de se protéger des infections sexuellement transmissibles (IST) et d’éviter leur propagation. Selon les problèmes de stérilité ou d’infertilité, différentes techniques médicales peuvent être utilisées pour aider à la procréation, dont les hormones pour permettre ou faciliter la fécondation et/ou la gestation.

Quid est contraception ?

A5 : PMA & contraception hormonale

® sex_hormones.ods
sex_hormones-COR.ods
Recenser, extraire et organiser des informations pour relier les causes de stérilité ou d’infertilité au choix des modalités de la procréation médicalement assistée.

A6 :Classification des méthodes de contraception & PMA


méthodes

empêche l'émission de gamète
empêche la rencontre des gamètes = fécondation
empêche l'implantation de l'embryon = nidation
stérilisation
Contraception
Contragestion
naturelle
0
Billings, woomb, ...
0
mécanique
stérilisation masculine = vasectomie
stérilisation féminine = ligature ou obturation des trompes
0

préservatifs masculin (condom) ou féminin (cape, diaphragme)
DIU = Sterilet
dispositif intra-utérin
chimique

Pilule, patch, implant, anneau, éponge

0
Spermicide
Pilule du lendemain
RU486 (pour grossesse précoce)
pilule abortive
Lexique de mots que l’on fait petits parce qu’ils dérangent :
PMA : procréation médicalement assistée
IVG : interrvuption volontaire de grossesse, avortement
DIU : dispositif intra-utérin, sterilet
FIVETE : fécondation in vitro et transplantation d'embryon
ICSI : Intra cytoplasmic sperm injection
DPI : diagnostique préimplantatoire
GPA : gestation pour autrui
IST : infection sexuellement transmissible remplace le mot MST depuis 1999
MST : maladie sexuellement transmissible, remplace le mot vénérienne [de Venus] depuis 1990
Montrer les applications biotechnologiques découlant des connaissances scientifiques.

Liste IST

Les maladies suivantes sont essentiellement à transmission sexuelle :
la gonorrhée (blennorragie gonococcique) ;
la chlamydiose à Chlamydiae trachomatis ;
le chancre mou ;
l'herpès génital
la trichomoniase ;
la syphilis ;
l’infection à Mycoplasma genitalium
Les maladies suivantes peuvent être transmises par voie sexuelle mais non exclusivement :
nombreuses maladies bactériennes, dont la syphilis ;
parasitoses dues à des ectoparasites, comme la gale ou les poux du pubis ;
autres infections mycoplasmiques,
maladies virales :
verrues génitales ou condylomes, dus à certaines souches de Papillomavirus humain (VPH),
cancer du col de l'utérus, du à certaines souches de Papillomavirus humain (VPH),
l'hépatite B
le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) responsable du syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA).
Extraire et exploiter des données pour relier la prévention contre les IST (SIDA, hépatite, papillomavirus, etc.) à la vaccination ou l’utilisation du préservatif.


Bilan : schématisation de la régulation hormonale masculine

dessins anatomie :
dosages de 3 hormones mâles :
AMH et testostérone chez l’homme de l’âge fœtal à l’âge adulte, dosage plasmatique :
Régulation de la sécrétion de testostérone :
Hormones en fonction de l’âge :

Bilan : schématisation de la régulation hormonale féminine

Hormones en fonction de l’âge : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/spip.php?article573
grossesse en mai, cycles hormonaux : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/spip.php?article693
ménopause : hormones et ovocytes : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/spip.php?article685
nombre d’ovocytes chez une femme en fonction de l’âge : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/spip.php?article2092
logiciel « hormones » :
\hormones.exe
hormones sexuelles (testostérone, progestérone, oestrogènes) ; organes cibles, hormones et neurohormones hypothalamo-hypophysaires (FSH, LH et GnRH) ; modes d’action biologique des molécules exogènes.

Bilan

Mettre en oeuvre une méthode (démarche historique) et/ou une utilisation de logiciels (ex : visualisation de modèles moléculaires, réalité augmentée) et/ou une pratique documentaire pour expliquer le mode d’action des molécules exogènes agissant comme des « leurres ».
Recenser, extraire et organiser des informations pour relier les causes de stérilité ou d’infertilité au choix des modalités de la procréation médicalement assistée.
Extraire et exploiter des données pour relier la prévention contre les IST (SIDA, hépatite, papillomavirus, etc.) à la vaccination ou l’utilisation du préservatif.
Montrer les applications biotechnologiques découlant des connaissances scientifiques.
hormones sexuelles (testostérone, progestérone, oestrogènes) ; organes cibles, hormones et neurohormones hypothalamo-hypophysaires (FSH, LH et GnRH) ; modes d’action biologique des molécules exogènes.
Le fonctionnement de l’appareil reproducteur repose sur un dispositif neuroendocrinien faisant intervenir l’hypothalamus, l’hypophyse et les organes sexuels. La connaissance de plus en plus précise des hormones naturelles endogènes contrôlant les fonctions de reproduction humaine a permis progressivement la mise au point de molécules de synthèse exogènes qui leurrent ce système et permettent une maîtrise de la procréation de plus en plus adaptée, avec de moins en moins d'effets secondaires. des molécules exogènes peuvent agir comme des « leurres » pour empêcher la production des ovocytes ou des spermatozoïdes, pour désynchroniser le fonctionnement de l’appareil reproducteur chez la femme ou empêcher le développement de la muqueuse utérine
Chez la femme et chez l’homme, ces molécules de synthèse sont utilisées dans la contraception régulière (« la pilule »), la contraception d'urgence féminine, les hormones contragestives, ainsi que la contraception hormonale masculine.
D’autres modes de contraception existent chez l’homme et la femme ; certains permettent de se protéger des infections sexuellement transmissibles (IST) et d’éviter leur propagation.
Selon les problèmes de stérilité ou d’infertilité, différentes techniques médicales peuvent être utilisées pour aider à la procréation, dont les hormones pour permettre ou faciliter la fécondation et/ou la gestation.
maladies
pasteur
maladies génétiques
cas des jumeaux

jeudi 16 mai 2019

index des mots à connaître

liste des mots clefs du programme de TS

d’où la chaleur de la terre vient-elle ?

1,5,2 : Origine de la géothermie

A1 : Modélisation des mouvements de chaleur

lampe huiles colorées
animations sur la convection :
\modelisation-de-la-convection-video01.mpg
\modelisation-de-la-convection-video02.mpg
modelisation-de-la-convection-video03.mpg
convection et conduction
Deux mécanismes de transfert thermique existent dans la Terre : la convection et la conduction. Le transfert par convection est beaucoup plus efficace.
16 mai

A2 : Origine de la chaleur interne / doc

Manuel p. ?
Le flux thermique a pour origine principale la désintégration des substances radioactives contenues dans les roches.

Pour aller plus loin ...

gradient, flux géothermiques

A3 : rappels sur le mouvements de plaques

Schémas bilans précédents
À l'échelle globale, le flux fort dans les dorsales est associé à la production de lithosphère nouvelle ; au contraire, les zones de subduction présentent un flux faible associé au plongement de la lithosphère âgée devenue dense. La Terre est une machine thermique.

Bilan : Géothermie et propriétés thermiques de la Terre

Mots clefs : gradient , flux thermique, convection, conduction, énergie géothermique.
Le flux thermique a pour origine principale la désintégration des substances radioactives contenues dans les roches.


Deux mécanismes de transfert thermique existent dans la Terre : la convection et la conduction.
Le transfert par convection est beaucoup plus efficace.


À l'échelle globale, le flux fort dans les dorsales est associé à la production de lithosphère nouvelle ; au contraire, les zones de subduction présentent un flux faible associé au plongement de la lithosphère âgée devenue dense.


La Terre est une machine thermique.

Netographie

site Italien sur les Alpes et la paléotectonique : http://italiangeology.tripod.com/ingvideo.htm
étude structures géol /M photos = témoin collision : http://www.discip.crdp.ac-caen.fr/svt/cgaulsvt/travaux/collisionweb/index.htm

mercredi 15 mai 2019

comment les hormones influencent-elles la sexualité ?

2,1,2/ Hormones et reproduction humaine

A1 : Exploitation de dosages d’hormones sexuelles humaines / tableur

® sex_hormones.ods
  • Copier le fihier/document « sex_hormones »  sur serveur classe / travail 
  • coller sur serveur perso
  • ouvrir avec libre/open office calc
  • Lire les 4 pages de tableaux (y compris leur titre!)
  • Construire des graphiques judicieusement à partir des données
  • Interpréter chaque graphique
  • Produire un document texte avec graphiques et interprétation
  • Enregistrer votre compte-rendu sur serveur « classe » pour correction → note
  • vous serez évalué sur le choix du graphe (type), titre, légende, interprétation, mise en page
sex_hormones-COR.ods
hormones sexuelles (testostérone, progestérone, oestrogènes) ; organes cibles
17 avril

EVA : représentation graphique des changements pubertaires

À partir de la page « hormones grossesse » du fichier « sex_hormones » qui se trouve sur le réseau, tracez un graphe et rédigez un texte d’interprétation de ce graphique. vous serez évalué sur le choix du graphe (type), titre, légende, interprétation, mise en page
EV tableur graphe interpretation.odt

EVA : connaissances

© sex QCM.odt

vacances

A2 : Localisation de l'axe hypothalamo-hypophysaire

DIAP/hypothalmus-physe.odp
Moulage
hypothalamus, tige pituitaire, hypophyse
hormones et neurohormones hypothalamo-hypophysaires (FSH, LH et GnRH)
GnRH =  Gonadotropin Releasing Hormone = Gonadolibérine = hormone de libération des gonadotrophines
FSH = Follicle Stimulating Hormone = gonadostimuline = gonadotrophine
LH = Luteinizing Hormone = gonadostimuline = gonadotrophine

A3 : Définition d'une hormone

Diaphormone.odp
cellule endocrine, molécule, voie sanguine, à distance, spécifique, cellule cible, recepteur cellulaire
message hormonal = concentration plasmatique d’homrmone = taux sanguin d'H

A4 : Modélisation moléculaire de l’action hormonale

2 TP RU486 rastop.odt
utilisation de logiciels (ex : visualisation de modèles moléculaires) et/ou une pratique documentaire pour expliquer le mode d’action des molécules exogènes agissant comme des « leurres ».


modes d’action biologique des molécules exogènes.


Quid est contraception ?

A5 : PMA & contraception hormonale

® sex_hormones.ods
sex_hormones-COR.ods
Recenser, extraire et organiser des informations pour relier les causes de stérilité ou d’infertilité au choix des modalités de la procréation médicalement assistée.

A6 :Classification des méthodes de PMA


méthodes

empêche l'émission de gamète
empêche la rencontre des gamètes = fécondation
empêche l'implantation de l'embryon = nidation
stérilisation
Contraception
Contragestion
naturelle
0
Billings, woomb, ...
0
mécanique
stérilisation masculine = vasectomie
stérilisation féminine = ligature ou obturation des trompes
0

préservatifs masculin (condom) ou féminin (cape, diaphragme)
DIU = Sterilet
dispositif intra-utérin
chimique

Pilule, patch, implant, anneau, éponge

0
Spermicide
Pilule du lendemain
RU486 (pour grossesse précoce)
pilule abortive

d’où la chaleur de la terre vient-elle ?

1,5,2 : Origine de la géothermie

A1 : Modélisation des mouvements de chaleur

lampe huiles colorées
animations sur la convection :
convection et conduction
Deux mécanismes de transfert thermique existent dans la Terre : la convection et la conduction. Le transfert par convection est beaucoup plus efficace.

lundi 13 mai 2019

§ Qu'est-ce que la géothermie ?

1.5 : Géothermie et propriétés thermiques de la Terre

énergie solaire, d'origine externe → cf 2nde
flux thermique d'origine interne se dirige aussi vers la surface.
L'étudier en classe terminale est à la fois prendre conscience d'une ressource énergétique possible et un moyen de comprendre le fonctionnement global de la planète.

1,5,1 : Etude de la géothermie

A1 : Exploitation de données sur gradient et flux géothermiques / Google earth + Excel

®TS TP geothermie.odt
®gradient_géothermiques.xls
® TP geothermie_activite_resultat.kmz
gradient_géothermiques.correction.xls
® Géothermie en France_avril14.kmz
® geothermie_usa.kmz
® Géothermie dans le mondenov2013.kmz

A2 : bilan sur les connaissances actuelles

Diap geothermie.odp

\Geothermie-geologie France.odg
La température croît avec la profondeur (gradient géothermique) ; un flux thermique atteint la surface en provenance des profondeurs de la Terre (flux géothermique).
LA GÉOTHERMIE BASSE ÉNERGIE (température comprise entre 30 et 90°C)
Les ressources basses énergie (utilisées pour la produire de la chaleur) sont principalement localisées dans le bassin parisien et le bassin aquitain (bassins sédimentaires). Elles se situent entre 600 et 2000 mètres de profondeur.
D’autres régions françaises possèdent des ressources basse énergie mais les structures géologiques sont plus complexes et les gisements beaucoup plus localisées (Hainault, Bresse, Limagne).
LA GÉOTHERMIE HAUTE ÉNERGIE (température supérieure à 150°C)
La France dispose également de ressources haute énergie (utilisées pour produire de l’électricité) situées essentiellement dans les départements d’outre-mer.
LES NAPPES AQUIFÈRES (réservoir souterrain contenant de l’eau)
L’ensemble du territoire français possède des nappes aquifères superficielles qui peuvent être exploitées avec des pompes à chaleur.
L'énergie géothermique utilisable par l'Homme est variable d'un endroit à l'autre. Le prélèvement éventuel d'énergie par l'Homme ne représente qu'une infime partie de ce qui est dissipé.

Bilan : Géothermie et propriétés thermiques de la Terre

La température croît avec la profondeur (gradient géothermique) ; un flux thermique atteint la surface en provenance des profondeurs de la Terre (flux géothermique). Gradients et flux varient selon le contexte géodynamique. L'énergie géothermique utilisable par l'Homme est variable d'un endroit à l'autre. Le prélèvement éventuel d'énergie par l'Homme ne représente qu'une infime partie de ce qui est dissipé.