samedi 18 novembre 2017
La véritable histoire des couleurs de la peau
La véritable histoire des couleurs de la peau: Des mutations génétiques impliquées dans la pigmentation de la peau sont antérieures à Homo sapiens, révèle une étude génomique de grande ampleur sur des populations africaines.
Le génome d'un corail séquencé
Le génome d'un corail séquencé: Le génome d’un corail bâtisseur de récif vient d’être séquencé, ce qui permettra de mieux comprendre la biologie de cet animal.
Les poissons-clowns, victimes du blanchiment des anémones
Les poissons-clowns, victimes du blanchiment des anémones: Le réchauffement climatique entraîne le blanchiment des anémones et met en danger les poissons-clowns. Des conséquences inquiétantes mais réversibles.
L'humanité modifie le climat
L'humanité modifie le climat: Depuis plusieurs décennies, les climatologues affinent leur analyse de l'influence des émissions de gaz à effet de serre dues aux activités humaines. Le constat est sans équivoque : nous sommes bel et bien responsables d'un réchauffement mondial.
Mémoire : des images vues pendant quelques secondes, reconnues une dizaine d'années plus tard
Se rappeler du nom d'anciens camarades de classe 50 ans après avoir quitté l'école ou du titre des programmes télévisés préférés de notre enfance, ce ne sont que quelques exemples des aptitudes incroyables de notre mémoire. Le nombre de répétitions ou encore la dimension émotionnelle sont connus dans ce processus de mémorisation sur le long terme mais qu'en est-il d'une information sans réel contenu émotionnel et vue un petit nombre de fois ? C'est pour répondre à cette question que des chercheurs du Centre de recherches cerveau et cognition (CNRS/Université Toulouse III – Paul Sabatier)1 ont rappelé des participants qu'ils avaient testés au laboratoire il y a environ dix ans pour mettre à l'épreuve une nouvelle fois leur mémoire. Les résultats obtenus montrent que des images vues pendant quelques secondes peuvent être reconnues une dizaine d'années plus tard. Ces travaux sont disponibles en ligne depuis le 5 novembre 2017 dans le journal Cognition.
La plus longue piste de dinosaure sauropode du monde révélée
Suite à la découverte en 2009 des plus grandes empreintes de dinosaures du monde dans le massif du Jura, plusieurs campagnes de fouilles ont permis de dégager d'autres traces sur plus de 150 mètres de long. Le site de Plagne abrite ainsi aujourd'hui la plus longue piste de dinosaure sauropode du monde. La compilation et l'analyse des résultats de ces fouilles par des chercheurs du Laboratoire de Géologie de Lyon (CNRS/ENS Lyon/Université Claude Bernard Lyon 1), du Laboratoire Magmas et Volcans (CNRS/Université Clermont Auvergne/Université Jean Monnet/IRD) et du musée de la Plage aux ptérosaures, publiés dans la revue Geobios, concluent que ces empreintes ont été laissées par un dinosaure d'au moins 35 m de long et 35 tonnes, voilà 150 millions d'années.
© P. Dumas
La piste de sauropode
© Dessin A. Bénéteau, photographie Dinojura
Si le sauropode de Plagne marchait dans ses empreintes…
Archéologie : un trésor médiéval découvert à l'Abbaye de Cluny
Mi-septembre, sur le site de l'Abbaye de Cluny (Saône-et-Loire), une découverte majeure a été réalisée dans le cadre d'une opération de fouille : plus de 2 200 deniers et oboles en argent, 21 dinars musulmans en or, un anneau sigillaire1 et d'autres éléments en or. C'est la première fois que ces deniers sont retrouvés en si grand nombre et qu'un tel trésor réunit, au sein d'un même ensemble clos, des monnaies arabes en or, des deniers d'argent et un anneau sigillaire. Les travaux ont été dirigés par Anne Baud, enseignante-chercheure à l'Université Lumière Lyon 2 et Anne Flammin, ingénieure CNRS, rattachées au laboratoire Archéologie et archéométrie (CNRS / Université Lumière Lyon 2 / Université Claude Bernard Lyon 1). Ils ont été menés en collaboration avec une équipe de 9 étudiant.es de l'Université Lumière Lyon 2 et de membres de la Maison de l'Orient et de la Méditerranée – Jean Pouilloux (CNRS / Université Lumière Lyon 2).
vendredi 17 novembre 2017
§ Quelle est l'origine du volcanisme continental ?
§ Quelle est l'origine du volcanisme continental ?
1.4 : Le magmatisme en zone de subduction
1,4,1 : Des roches magmatiques continentales
A1 : Les conditions pour produire un magma / diagrammes de phases
© origin magma.odg
à partir des diagrammes de phases de la
péridotite et magmatisme :
http://www.tulane.edu/~sanelson/eens211/earths_interior.htm
=>
globalement peu de fusion dans le manteau
->
fusion partielle par hydratation du manteau au dessus des plaques en
subduction
A2 : modélisation molé
Qu'est-ce qu'un phénotype ?
A4 : Différents phénotypes chez thaliana
protéine thermomètre plantes.odt
protéine thermomètre planteschema.odg
Phénotype
mol, micro, macroscopique,
B131 : Du génotype au phénotype
Le
phénotype macroscopique dépend du phénotype cellulaire, dit
aussi microscopique, lui-même induit par le phénotype
moléculaire qui correspond à une protéine. Le
phénotype moléculaire est gouverné par le génotype. Le
génotype est la composition allélique d'une cellule pour un gène
donné. Le phenotype est donc l'expression du génotype.
jeudi 16 novembre 2017
Qu'est-ce qu'un phénotype ?
A2 : Cas des groupes sanguins
© groupes sanguins ABO.odt
Étude des groupes sanguins en 1S →
génétique+imuno+phylog en TS
On part de ce que vous savez …
(génotype)
=> [phénotype]
génotype
= combinaison d'allèles pour un gène donné, pour une cellule ,
donc un individu
/hétérozygote/homozygote
génotypes : (A//A) ou (A//O) ; (B//B)
ou (B//O) ; (A//B) ; (O//O)
phénotypes : [A] ; [B] ; [AB] ;
[O]
Règles de transfusion sanguine :
http://www.soins-infirmiers.com/groupes_sanguins.php
hématies marquées : A, B et/ou O = antigène
au niveau micro et moléculaire :
http://acces.ens-lyon.fr/biotic/gpe/dossiers/Abo/html/demarche.htm
grp <= molécule enzymatique qui construit des
marqueurs à la surface des cellules
les enzymes sont de nature protéique
A3 : Cas de la drépanocytose
Diap drepanocytose
différentes
échelles d’un phénotype : mol, micro, macroscopique
Le
phénotype peut se définir à différentes échelles : de
l'organisme à la molécule.
Les
caractères héréditaires observables à l'échelle de l'individu
constituent le phénotype macroscopique (ex : couleur de peau,
symptômes d'une maladie, ...). Ces caractères macroscopiques
dépendent d'un phénotype microscopique, à l'échelle cellulaire
(ex : couleur ou forme des cellules, ...). Le phénotype
microscopique est lui-même déterminé par le phénotype moléculaire
correspondant à une protéine (mélanine, hémoglobine, ...).
§ Comment reconstituer l'histoire d'une chaîne de montagnes ?
A2 : Modélisation du plan de Wadati- Benioff / tableur
Meme TP / tableur
Latitude
représente la distance d'un point au nord ou au sud de l'équateur,
tandis que la longitude représente l'est de la distance ou à
l'ouest du méridien d'origine. Ainsi, la latitude "lignes"
courent est-ouest autour de la Terre et de longitude "lignes"
nord-sud. Pensez à la "longue" dans "de longitude."
Longitude lignes courent "long" du pôle Nord au pôle Sud.
Pensez «latitude» comme «échelle» -tude. Les lignes de latitude
est-ouest sont comme les barreaux d'une échelle, créant des lignes
horizontales autour de la terre. Les lignes de longitude montent et
descendent, lignes de latitude tournent en rond. les latitudes sont
matérialisées par les lignes qu'on appelle "les parallèles"
et ces lignes sont bien des lignes horizontales. La confusion de
beaucoup de gens provient sans doute du fait qu'ils ont appris (et ce
n'est pas faux) que c'est la graduation verticale de la carte qui
sert à donner sa position en latitude. La graduation verticale
(l'échelle des latitudes) sert à déterminer la position de la
ligne horizontale (le parallèle / la latitude).
A4 : reconstitution de l'histoire d'une chaine de montagnes
D / histoire des Alpes :
Cd+ dvd trajets PTt
B : Schématisation de l'accrétion océanique à la collision continentale / animations
Animation simple :
http://www.biologieenflash.net/sommaire.html
→ géologie interne → dorsale : accrétion
anim° rift :
http://svt.ac-rouen.fr/tice/rift/rift2.htm
+ explications :
http://svt.ac-rouen.fr/tice/rift/rift4.htm
→ D3>D
animation
: http://youtu.be/ZLJLFYXp-0Q
en
s’éloignant de la dorsale, la lithosphère océanique s’épaissit,
s’hydrate et se densifie
=>
dépasse la densité de l’asthéno => subd° => ne dépasse
pas 200 Ma
transformation
minéralogique en profondeur / subduction
glossaire :
http://operabaroque.fr/magmatiques.htm
Bilan / Métamorphisme de subduction : La convergence lithosphérique : contexte de la formation des chaînes de montagnes
Les
chaînes de montagnes présentent souvent les traces d'un domaine
océanique disparu (ophiolites)
et d'anciennes marges
continentales passives (failles normales).
La « suture » de matériaux océaniques résulte de l'affrontement
de deux lithosphères continentales (collision).
Tandis que l'essentiel de la lithosphère continentale continue de
subduire, la partie supérieure de la croûte s'épaissit par
empilement de nappes
dans la zone de contact entre les deux plaques. Les matériaux
océaniques et continentaux montrent les traces d'une transformation
minéralogique (métamorphisme) à grande profondeur au cours de
la subduction. La différence de densité entre
l'asthénosphère et la lithosphère océanique âgée est la
principale cause de la subduction. En s'éloignant de la
dorsale, la lithosphère océanique se refroidit et
s'épaissit. L'augmentation de sa densité au-delà d'un seuil
d'équilibre explique son plongement dans l'asthénosphère, et
c'est aussi pourquoi son âge n'excède pas 200 Ma en surface.
Les indices de subduction ou de collision doivent
pouvoir être reconnus sur divers types de documents. La succession
est présentée comme un scénario type, jamais parfaitement réalisé
sur le terrain. Le rôle moteur de la traction par la lithosphère
océanique plongeante complète la compréhension de la tectonique
des plaques.
mercredi 15 novembre 2017
Herbier : Taraxacum en a marre d'être taxé
toutes les plantes jaunes ne sont pas du pissenlit !
– Rosette reconnaissable à son cœur, feutré de longs poils, qui cache souvent un bouton floral
– La fleur en étoile dorée est toujours solitaire, il n’y a qu’une tête par tige
– La tige est creuse caoutchouteuse et sans feuilles. Elle contient un latex blanc et collant
Le liondent :
– Les dents des feuilles sont en forme de flèche, le lobe terminal étant le plus grand
– Les fleurs ressemblent à celle du pissenlit mais elles sont enveloppées de bractées vertes plus longues et portées par des tiges ramifiées
La Picride :
– feuilles assez raides. Toute la plante est couverte de petits poils piquants.
– La tige dressée est striée et ramifiée. Elle porte des feuilles sessiles (sans pétioles) et des fleurs jaunes plus petites que celles des pissenlits.
Le laiteron Maraîcher :
– Rosette au cœur pelucheux, qui peut-être plus dressée que celle du pissenlit
– Les feuilles très découpées comportent plusieurs segments positionnés sur des plans différents. Le segment terminal est plus grand. Les nervures en réseau sont bien visibles et forment un relief sous la feuille.
La porcelle enracinée :
– feuilles épaisses en rosette, couvertes de poils blancs. Les dents des feuilles ont une forme plus arrondies que chez le pissenlit ou le liondent.
– Les capitules floraux sont portés par de hautes tiges fines et ramifiées. L’extérieur de la fleur est grisâtre alors que le cœur est d’un jaune vif.
http://naturocorps.com/et-si-on-partait-a-la-cueillette-du-pissenlit/
Famille du pissenlit, Cichorioideae
Les espèces des sous-familles Asteroidea et Cichorioidea se ressemblent beaucoup : les fleurs sont capitulaires et elles développent généralement des poils volants pendant la fructification. La principale différence entre les sous-familles est que les Asteroidea ne contiennent généralement pas de latex, au contraire des Cichorioideae.
voir cet excellent site : http://www.luontoportti.com/suomi/fr/kukkakasvit/?c=Cichorioideae
Comment reconnaître le Pissenlit ?
C’est l’identification de la jeune rosette qui est intéressante au niveau du goût et de la texture mais non fleurie elle n’est pas évidente à reconnaître. Même les botanistes peinent à identifier les milliers de pissenlits existants et leurs nombreux faux-amis. Rassurez-vous les faux-amis du pissenlit sont comestibles ! Il n’y a donc pas de risque de confusion toxique.Caractéristiques morphologiques du Pissenlit :
– Ses feuilles sont en dents de scie, pointues, plus ou moins découpées– Rosette reconnaissable à son cœur, feutré de longs poils, qui cache souvent un bouton floral
– La fleur en étoile dorée est toujours solitaire, il n’y a qu’une tête par tige
– La tige est creuse caoutchouteuse et sans feuilles. Elle contient un latex blanc et collant
Les faux amis du pissenlit :
Le liondent :
– Les dents des feuilles sont en forme de flèche, le lobe terminal étant le plus grand
– Les fleurs ressemblent à celle du pissenlit mais elles sont enveloppées de bractées vertes plus longues et portées par des tiges ramifiées
La Picride :
– feuilles assez raides. Toute la plante est couverte de petits poils piquants.
– La tige dressée est striée et ramifiée. Elle porte des feuilles sessiles (sans pétioles) et des fleurs jaunes plus petites que celles des pissenlits.
Le laiteron Maraîcher :
– Rosette au cœur pelucheux, qui peut-être plus dressée que celle du pissenlit
– Les feuilles très découpées comportent plusieurs segments positionnés sur des plans différents. Le segment terminal est plus grand. Les nervures en réseau sont bien visibles et forment un relief sous la feuille.
La porcelle enracinée :
– feuilles épaisses en rosette, couvertes de poils blancs. Les dents des feuilles ont une forme plus arrondies que chez le pissenlit ou le liondent.
– Les capitules floraux sont portés par de hautes tiges fines et ramifiées. L’extérieur de la fleur est grisâtre alors que le cœur est d’un jaune vif.
http://naturocorps.com/et-si-on-partait-a-la-cueillette-du-pissenlit/
mardi 14 novembre 2017
Qu'est-ce que l'ADN ?
A3 : Petite histoire de la découverte de l'ADN / diaporama
Diap / Histoire_génétique.odp
- 1865 (Allemagne) Mendel démontre l'existence de "facteurs génétiques"
- 1868 (Suisse) Miescher trouve une substance spécifique du noyau qu'il nomme la "nucléine"
- 1883 (Allemagne) Weismann utilise le terme "matériel génétique"
- 1880 to 1890 - Flemming, van Beneden, & Strasburger découvrent le chromosome.
- 1903 - Sutton hypothesized that chromosomes are hereditary units.
- 1905 - William Bateson coined the term “genetics”.
- 1910 (Amérique) Morgan montre que les gènes sont portés par les chromosomes
- 1933 - Jean Brachet was able to show that DNA was found in chromosomes
- 1944 (Amérique) Avery, Mc Leod et Mc Carty montrent que l'ADN est le support des gènes
- 1951 ( Amérique ) Chargaff établit sa règle : [A] = [T] et [C] = [G] pour toute cellule.
- 1953 (Angleterre) Franklin & Wilkins montrent que la molécule a la forme d'une double hélice, puis Watson & Crick établissent le modèle moléculaire de l'ADN
- 1962 Nobel Prize in Physiology & Medecine
L'ADN
est formé de deux chaînes complémentaires de nucléotides en
double hélice comportant les bases : Adénine, Thymine, Cytosine,
Guanine.
Chaque
chromosome contient une molécule d'ADN qui porte de nombreuses
informations génétiques = gènes dont l'ensemble forme le programme
génétique (= génôme) que l'on peut « visualiser »
sous forme de caryotype '= ensemble des chromosomes d'une cellule)
Génôme
= programme génétique = ensemble des gènes d'une cellule, d'un
individu
Allèles
= versions d'un gène
séquence
= ordre des 4 lettres : ATCG
gène
codé par séquence des bases
allèle
= version d'un gène
double
hélice,
double
hélice faite de 2 brins de Phosphates+sucres (désoxyriboses)
reliées entre elles par 4 bases azotées
p+s+b
= nucléotide = monomère de l'ADN
Une souris verte :
https://youtu.be/Ns92r5TQH3k
§ Science ou fiction ?
A4 : Schématisation d'une transgénèse / diaporama
Diap transgénèse.odp
une souris verte, ...fluo
: http://tubeaessai.blogs.nouvelobs.com/archive/2008/01/index.html
;http://www.greenpeace.org/canada/fr/Blog/cchons-ogm-vert-fluo-dune-mduse/blog/4029 ;http://www.bio.miami.edu/~cmallery/255/255hist/greenmice.jpg ; http://genetique.snv.jussieu.fr/BMC513.htm ;http://www.mbl.edu/news/features/shimomura.html ;http://www.collegeotr.com/boston_university/ucsd_bu_and_columbia_scientists_bring_home_nobel_prize_in_chemistry_make_stuff_glow_12809; http://www.scientificamerican.com/blog/post.cfm?id=chalfie-shimomura-and-tsien-win-che-2008-10-08
animation transfert de gène :
http://www.hhmi.org/biointeractive/stemcells/scnt.html
=> transgenesis,
DNA genes support and universal
OGM,
transgénèse, ADN support gènes et universel
On
fabrique des Organismes Génétiquement Modifiés (OGM) par transfert
d'un gène (transgénèse) d'un autre individu qui peut être d'une
espèce complètement différente.
La
transgenèse repose sur l'universalité de la molécule d'ADN en tant
que support de l'information génétique.
A5 : Débats sur éthique, transgénèse et ogm / articles + films
La carte du maïs OGM en France :
http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/genetique-1/d/la-carte-du-mais-ogm-en-france_12336/
MON 863 : maïs OGM destiné à l'alimentation
humaine suspecté puis innocenté :
http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/genetique-1/d/mon-863-mais-ogm-destine-a-lalimentation-humaine-suspecte-puis-innocente_12332/
films sur les OGM :
de journalistes :
de scientifique, C.Vellot :
Monsanto se présente :
http://www.monsanto.com/global/fr/qui-sommes-nous/Pages/default.aspx
les dernières news :
http://www.lafranceagricole.fr/actualite-agricole/alimentation-animale-bruxelles-autorise-deux-combinaisons-de-mais-ogm-79759.html
Bilan : Structure et fonction de l'ADN : le plan du vivant
La
transgénèse montre que l’information génétique
est contenue dans la molécule d’ADN et qu’elle y est
inscrite dans un langage universel. La variation génétique
repose sur la variabilité de la molécule d’ADN (mutation).
L’universalité de structure et du rôle de l’ADN est un indice
de la parenté des êtres vivants.
Transgenesis
shows that genetic information is contained in the DNA molecule
and that it is inscribed in a universal language. The
genetic variation (mutation) is based on the variability of
the DNA molecule . The universal role of DNA is an indication of
the kinship of living beings.
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