vendredi 19 octobre 2018

§ quelle est la structure microscopique du vivant ?

§ quelle est la structure microscopique du vivant ? qu’est-ce qu’une cellule ? Quels sont les différents types de cellules du monde vivant ?

1.2.3 - Cell structure of life

A1 : Observation de cellules au microscope optique

Eau croupie
Microscopes, lames, lamelles
? Réaliser un dessin de deux cellules (une animale et une végétale) au microscope, légendez, titrez
? complétez votre échelle d’organisation du vivant
quelques images :
Paramecium 50 à 300 µm :
cellules buccales humaines :
Elodea canadensis :

BONNES VACANCES !

comment les chromosomes portent-ils des informations ?

A3 : modélisation d’un chromosome

Tordre un fil de couture le plus possible
comparer avec la même longueur non torsadée
coller sur dessin de cellule
comparer avec activité 1

AM : extraction de l'ADN à la cuisine

Manuel p27
ADN

A4 : localisation d'un gène sur un chromosome / carte génétique

GenomePoster2009.pdf
Manuel p30
gène, anomalie génétique

A4 : Etude des groupes sanguins

Qu’est-ce qu’un volcan ?

A3 : Citation de Tazief illustrée

© Dragon volcan.odg
Agenda : répondre aux 3 questions sur le document distribué

Les manifestations volcaniques sont des émissions de lave et de gaz. Les matériaux émis constituent l’édifice volcanique.
Les magmas sont contenus dans des réservoirs magmatiques localisés, à plusieurs kilomètres de profondeur.

A4 : cartographie mondiale des volcans

© carte des volcans au niveau mondial.odg
Les volcans actifs ne sont pas répartis au hasard à la surface du globe.
Les volcans actifs sont alignés en majorité en bordure de continent, dans des arcs insulaires, le long de grandes cassures et des dorsales océaniques.
Quelques volcans actifs sont isolés.

jeudi 18 octobre 2018

§ quelle est la structure microscopique du vivant ?

§ quelle est la structure microscopique du vivant ? qu’est-ce qu’une cellule ? Quels sont les différents types de cellules du monde vivant ?

1.2.3 - Cell structure of life

A1 : Observation de cellules au microscope optique

Eau croupie
Microscopes, lames, lamelles
? Réaliser un dessin de différentes cellules au microscope / complétez votre échelle d’organisation du vivant
quelques images :
Paramecium 50 à 300 µm :
cellules buccales humaines :

A2 : Histoire de la microscopie

Microscopie.odp
Microscopie électronique balayage.odp


A3 : Observation de cellules au microscope électronique

Diap/cellule.odp
Question d'échelle :
1 mm = 1 000 µm = 1 000 000 nm : http://www.cellsalive.com/howbig.htm
Les cellules sont les unités structurales et fonctionnelles de tous les êtres vivants. Toutes les cellules sont limitées par une membrane plasmique. Elle définit un compartiment intracellulaire où a lieu le métabolisme. Certaines cellules ont une paroi.
Toutes les cellules eucaryotes possèdent un noyau limité par une enveloppe. Les procaryotes, comme les bactéries, n'ont pas de véritable noyau, pas d'enveloppe nucléaire
les cellules eucaryotes possèdent des organites : noyau, chloroplaste, mitochondrie.
Chaque organite exerce dans la cellule une fonction particulière.
Les chloroplastes se trouvent uniquement dans les cellules chlorophylliennes.
eucaryote, procaryote [caryo : noyau]
organites cellulaires : mitochondries, chloroplastes, … :
cellule végétale, animale : http://www.cellsalive.com/cells/cell_model.htm
cells alive web site : http://www.cellsalive.com/aboutus.htm

Evaluation : dessin d'observation

Dessin :
  • papier, crayon,
  • orientation, taille,
  • netteté, finesse,
  • représentation fidèle au modèle.
Légende :
  • position,
  • traits droits, flèches,
  • propreté,
  • précision : mb, noy, cytoplasme, flagelle, chloroplaste
Titre : adapté + indication :
  • de l'organisme observé,
  • de l'organe (coupe),
  • du mode d’observation
  • du grossissement
total /12

Bilan : la cellule, unité du vivant

La cellule est un espace limité par une membrane qui échange de la matière et de l’énergie avec son environnement. Cette unité structurale et fonctionnelle commune à tous les êtres vivants est un indice de leur parenté.
The cell is a space bounded by a membrane that exchanges matter and energy with its environment. This structural and functional unit common to all living beings is an indication of their parentage.

comment les chromosomes portent-ils des informations ?

répartition oraux sur sujets « responsabilité humaine (santé et environnement) » : 5’ chaque début de cours, oral perso, non noté, entrainement brevet,
choix p175 à 222

A2 : dislocation d'un chromosome en video

Manuel p 28
ADN, Chromosome

AM : extraction de l'ADN à la cuisine

Manuel p27
ADN

A3 : localisation d'un gène sur un chromosome / carte génétique

GenomePoster2009.pdf
Manuel p30
gène, anomalie génétique

mercredi 17 octobre 2018

§ Comment reconstituer l'histoire d'une chaîne de montagnes ?

A2 : modélisation de lithosphère en subduction / sismologie

SismologieII.odp
Sismographie, hodographie, tomographie

A3 : Des traces de subduction dans les montagnes

facies métamorphiques :
trajet d'un gabbro de la croûte oc (Nicollet) : http://christian.nicollet.free.fr/page/Figures/phototeque.html#TrajetCO
Collection de roches subduites dans les Alpes : éclogite et métagabbro : http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/biologie/ress/geologie/metagabbro/metagabbro.html
métagabbros, éclogite

A4 : Des traces d'océan dans les montagnes

pillows lavas, sédiments, fossiles, failles normales / marges passives, ophiolites
Les chaînes de montagnes présentent souvent les traces d'un domaine océanique disparu (ophiolites) et d'anciennes marges continentales passives (failles normales).

B : Schématisation de l'accrétion océanique à la collision continentale / animations

Animation simple : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html → géologie interne → dorsale : accrétion
en s’éloignant de la dorsale, la lithosphère océanique s’épaissit, s’hydrate et se densifie
=> dépasse la densité de l’asthéno => subd° => ne dépasse pas 200 Ma
transformation minéralogique en profondeur / subduction

B : La convergence lithosphérique : contexte de la formation des chaînes de montagnes

Si les dorsales océaniques sont le lieu de la divergence des plaques et les failles transformantes une situation de coulissage, les zones de subductions sont les domaines de la convergence à l'échelle lithosphérique. Ces régions, déjà présentées en classe de première S, sont étudiées ici pour comprendre une situation privilégiée de raccourcissement et d'empilement et donc de formation de chaînes de montagnes.
Les chaînes de montagnes présentent souvent les traces d'un domaine océanique disparu (ophiolites) et d'anciennes marges continentales passives (failles normales).
La « suture » de matériaux océaniques résulte de l'affrontement de deux lithosphères continentales (collision). Tandis que l'essentiel de la lithosphère continentale continue de subduire, la partie supérieure de la croûte s'épaissit par empilement de nappes dans la zone de contact entre les deux plaques.
Les matériaux océaniques et continentaux montrent les traces d'une transformation minéralogique (métamorphisme) à grande profondeur au cours de la subduction.
La différence de densité entre l'asthénosphère et la lithosphère océanique âgée est la principale cause de la subduction. En s'éloignant de la dorsale, la lithosphère océanique se refroidit et s'épaissit. L'augmentation de sa densité au-delà d'un seuil d'équilibre explique son plongement dans l'asthénosphère, et c'est aussi pourquoi son âge n'excède pas 200 Ma en surface.
Les indices de subduction ou de collision doivent pouvoir être reconnus sur divers types de documents. La succession est présentée comme un scénario type, jamais parfaitement réalisé sur le terrain. Le rôle moteur de la traction par la lithosphère océanique plongeante complète la compréhension de la tectonique des plaques.
BONNES VACANCES !

lundi 15 octobre 2018

§ Comment reconstituer l'histoire d'une chaîne de montagnes ?

A3 : Comparaison de densités lithosphériques / sujets BAC

© densite lithosphere.odg
1- Quels constats peut-on faire en comparant les densités des croûtes // manteau ?
2- Que se passe-t-il lorsque le métamorphisme des gabbros atteint le niveau 3 (du point de vue densité) ?
sujet ECE BAC 2013 n°30 : comparaison densité et minéralogie éclogite et métagabbro
cause de la subduction : différence de densité
La différence de densité entre l'asthénosphère et la lithosphère océanique âgée est la principale cause de la subduction. En s'éloignant de la dorsale, la lithosphère océanique se refroidit et s'épaissit. L'augmentation de sa densité au-delà d'un seuil d'équilibre explique son plongement dans l'asthénosphère, et c'est aussi pourquoi son âge n'excède pas 200 Ma en surface.

1,3,2 : La modélisation permet de comprendre la subduction

A1 : Modélisation du plan de Wadati- Benioff / SIG

Rappel 1S : sismolog et educarte déjà utilisés
doc sur réseau Groupe > classe > travail > SVTR >
® TS TP subduction.odt i
® TS TP subduction excell.xls
des séismes et du volcanisme => arc et chaîne de montagnes
mise en évidence du plan de Wadati Benioff :
âge de la plaque # distance de la dorsale # pente du plan de WB :
en s’éloignant de la dorsale, la lithosphère océanique s’épaissit, s’hydrate et se densifie
=> dépasse la densité de l’asthéno => subd°
=> l'âge de la LO ne dépasse pas 200 Ma
=> âge de la plaque # distance de la dorsale # pente du plan de WB
iCORRECTION
prendre les données en fonction de la longitude
modifier une valeur pour Tonga en -175
coef dir Chili : 25
coef dir Tonga : 80