jeudi 17 avril 2014
A/ Initiation à la géologie et pédologie anglaise / cartes
Geology :
Soils :
32- Soil ressources
A lasting heritage ?
un patrimoine durable ?
importance du sol :
matière vivante, sensible, épuisable, besoin eau
+ soleil+animaux+végétaux, résidus de pierre, fertile
il faut 2000 ans pour faire 10 cm de sol
Qu'est-ce qu'un sol ?
A6/ Recherche de solutions alternatives pour l'énergie / article scientifique
surligner dans le texte les informations
importantes et lister les différentes formes d'énergie
différentes
alternatives d'énergie
énergies
renouvelables :
- soleil → solaire
- thermique
- photovoltaïque
- vent → éolienne
- eau : mouvement, température ou salinité
- courants eau douce → hydrolique
- courants eau marins → hydrolienne
- vagues → houlomotrice
- marées [tides] → marémotrice
- différence de température fond / surface → thermique
- différence eau salée / douce → osmotique
- terre : différence de température fond / surface → géothermique
- nucléaire
- biomasse
- bois
- biocarburants : éthanol, « biofuels »
- méthanisation
B314/ Alternatives énergétiques
L’énergie
solaire
est inégalement reçue à la surface de la planète. La
photosynthèse
en utilise moins de 1%. Le reste chauffe l’air
(par l’intermédiaire du sol) et l’eau
(ce qui est à l’origine des vents et courants). L'évaporation
de
l’eau permet le cycle de l’eau. Utiliser l’énergie des vents,
des courants marins, des barrages hydroélectriques, revient à
utiliser indirectement de l’énergie solaire. Ces ressources
énergétiques sont renouvelables. La comparaison de l’énergie
reçue par la planète et des besoins humains en énergie permet de
discuter de la place actuelle ou future de ces différentes formes
d’énergie d’origine solaire.
Solar
energy is unevenly received at the surface of the planet.
Photosynthesis uses less than 1%. The rest heats the air (through
soil) and water (which is the origin of winds and currents) and
evaporates water (which allows the water cycle). Using the energy of
winds, ocean currents, hydroelectric dams, is using solar energy
indirectly. These energy resources are rapidly renewable. The
comparison of the energy received by the planet and human need in
energy allows to discuss the actual and future position of these
different forms of solar energy.
Solar
energy, winds and currents, water cycle, renewable energy,
C/ Pour-suivre sur météo et atmosphère
étude perturbation météo :
http://www.ac-nantes.fr:8080/peda/disc/svt/tempete/index.htm
composition
de l'atmosphère :
http://www.educnet.education.fr/obter/appliped/circula/theme/atmos22.htm
structure de l'atmosphère :
http://www.mrcc.uqam.ca/effet_serre/serre.data/images/atmosphere/composition/atmosphere.jpg
logiciel de Perez
« Terre2 » et « circulation atmosphérique » :
http://pedagogie.ac-toulouse.fr/svt/serveur/lycee/perez/PP_logo/logiciels.htm
C/ Poursuivre sur les énergies renouvelables
E. coli engineered to make convenient 'drop-in'
biofuel :
http://www.newscientist.com/article/dn19238-e-coli-engineered-to-make-convenient-dropin-biofuel.html
Biodiesel from algae may not be as green as it
seems :
http://www.newscientist.com/article/mg20727704.700-biodiesel-from-algae-may-not-be-as-green-as-it-seems.html
Can Ethanol from Corn Be Made Sustainable? :
http://www.scientificamerican.com/article.cfm?id=can-corn-ethanol-be-made-sustainable
§ PMA, GPA, etc?
323/ La procréation médicalement assistée
A1/ Comparaison de moyens d'éviter une naissance / sites
Un bon site (c'est rare sur ce sujet) :
http://passamour.org/index.php/reperes-pour-aimer/contraception
Contraception chimique ou mécanique :
http://www.contraceptions.org/menu.htm
Méthodes
« naturelles » : http://www.woomb.org/bom/index_fr.html
; http://www.methode-billings.com/
; http://www.woomb.org/bom/lit/teach/index_fr.html#Keeping_a_Record
mais :
http://www.gurumed.org/2012/08/22/la-semence-masculine-induirait-lovulation-fminine/
; http://www.pnas.org/content/early/2012/08/15/1206273109
A2/ Classement des méthodes Contraception & Contragestion / tableau
Réaliser
un tableau avec : méthodes / comment ça empêche la grossesse
exemple
de tabl contraception :
http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=562
méthodes
|
empêche l'émission
de gamète
|
empêche la
rencontre des gamètes = fécondation
|
empêche
l'implantation de l'embryon = nidation
|
Contraception
|
« Contragestion »
|
||
naturelle
|
0
|
Billings
|
0
|
mécanique
|
stérilisation masculine
= vasectomie
stérilisation féminine
= ligature ou obturation des trompes
|
préservatifs masculin
(condom) ou féminin (cape, diaphragme)
|
DIU = Sterilet
dispositif intra-utérin
|
chimique
|
Pilule,
patch, implant, anneau, éponge
|
||
0
|
Spermicide
|
Pilule du lendemain
RU486 (pour grossesse
précoce)
pilule abortive
|
=>
triple verrou : bloque ovulation, fécondation et/ou nidation
Effet de la pilule combinée sur la taille des
follicules et le taux d’oestradiol :
http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=2778
Effet prise RU486 :
http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=2730
Effets pilule normodosée-graphes- :
http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=563
grossesse et RU 486 :
http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=1329
Hormones et pilule :
http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=1579
lévonorgestrel -taux de LH :
http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=956
pilule combinée (O+P) : niveaux d’action
schéma :
http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=680
pilllule pour homme :
http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/article.php3?id_article=975
vasectomie :
http://www.urofrance.org/index.php?id=409
Contraception chimique ou mécanique :
http://www.contraceptions.org/menu.htm
Méthodes
naturelles : http://www.woomb.org/bom/index_fr.html
; http://www.methode-billings.com/
mercredi 16 avril 2014
Partie
1 (10 points) Exposé organisé de connaissances
Synthèse
pertinente :
- Introduction : définitions, problématique, plan
- Organisation faits et idées
- Conclusion : bilan, ouverture
- schématisation complémentaire
Éléments
scientifiques complets :
étapes de la synthèse des protéines :
Transcription → traduction, maturation, nucléo → cytoplasme, ADN
→ ARNpm → ARNm → polypeptide → protéine, code génétique,
séquence nucléotides → acides aminés
diversité phénotypique / maturations
différentes → protéines différentes.
diversité phénotypique / facteurs environnement
Partie 2-1 (6 points) Exploitation de documents
la
différence entre les allèles A8G (doc e )
conséquences
sur les phénotypes :
moléculaire :
Cholestérol (LDL) non fixé / récepteur incomplet (partie
cytoplasmique) (doc c+d)
cellulaire :
=> non utilisé par les cellules (doc a+b)
macroscopique
=> cholestérol dans le sang => taux plasmatique élevé +
dépôts dans les organes => accidents vasculaires (doc a)
Partie
2-2 (4 points) Exploitation de documents
taux LH chute après
injection OP
OP* fixées sur
hypophyse
=> recepteurs à
OP sur les cellules de l'hypophyse
=> retrocontrôle
négatif OP / LH
Partie 1 (10 points) Exposé organisé de connaissances (obligatoire et spécialité) D'après sujet national, juin 2001, I
Corrigé
IntroductionLes réactions immunitaires acquises se déclenchent lorsqu’un antigène est détecté par une cellule spécialisée à la surface d’une cellule présentatrice d’antigène (CPA) qui l’exprime. À la suite de cette phase d’induction se produit une phase de stimulation des cellules effectrices. Dans le cas des réponses à médiation humorale qui impliquent la production d’anticorps, molécules effectrices formant avec les antigènes des complexes immuns détruits ensuite par phagocytose, le déclenchement de la réponse résulte de l’activation de lymphocytes B (LB) à l’origine de plasmocytes sécréteurs d’anticorps. Cette activation est due à des messagers chimiques produits notamment par des lymphocytes T4 (LT4) et par des CPA. Nous examinerons les différents étapes de ce mécanisme jusqu’à la formation des complexes immuns entre antigènes et anticorps. Présentation de l’antigène La phase d'induction commence lorsque des phagocytes comme les macrophages, ayant phagocyté et digéré des éléments étrangers portant des antigènes (bactéries par exemple), rencontrent dans les organes lymphoïdes secondaires (ganglions lymphatiques) des cellules immunocompétentes capables de reconnaître par leur récepteur spécifique un déterminant antigénique (épitope) qu’elles leur présentent. En effet, les macrophages expriment, en association avec les molécules du CMH, les déterminants antigéniques issus des produits de la phagocytose. Les lymphocytes T4 auxiliaires (LT4) qui sont capables de se lier à l’antigène présenté par la CPA sont sélectionnés (sélection clonale). Stimulation des LT4 et des LB La liaison entre LT4 et CPA aboutit à la sécrétion par ces dernières de messagers chimiques, les cytokines (interleukines notamment) qui stimulent les LT4 sélectionnés. Les LT4 répondent à ces messages en proliférant et en sécrétant eux mêmes des cytokines. Ces dernières agissent sur des lymphocytes B. Toutefois, seuls les LB reconnaissant le même antigène que les LT4 sont stimulés. D’autre part, certains LT4 se transforment en lymphocytes mémoire. La production des anticorps La stimulation des LB provoque leur prolifération, leur différenciation en plasmocytes et la production d’anticorps. Ce sont ces derniers qui, en se liant aux antigènes, vont former des complexes antigène anticorps permettant de les neutraliser car ils ont la même spécificité que les cellules à l’origine de la réponse. Le schéma ci-dessous résume l’ensemble de ces phénomènes. | |||
Mécanismes de la production d'anticorps | |||
Conclusion Ainsi, les CPA ayant phagocyté un antigène étranger sont capables de déclencher une réponse aboutissant à la formation de complexes antigène anticorps selon une cascade d’interactions cellulaires par voie essentiellement chimique intéressant CPA, lymphocytes T4 et B. Toutefois, la réponse immunitaire humorale ne se termine pas avec la formation des complexes antigène anticorps qui doivent être éliminés de l’organisme. Cette fonction est assurée également par des cellules phagocytaires comme les macrophages mais aussi les granulocytes. Partie 2-1 (4 points) Exploitation de documents (obligatoire et spécialité) D'après sujet national, juin 2001, II De nombreux arguments depuis l’échelle moléculaire jusqu’à celle des organismes et des populations accréditent l’idée d’évolution. Les documents présentés illustrent notamment l’évolution des vertébrés à partir de l’anatomie comparée et à partir de l’évolution d’une famille d’hormones polypeptidiques. Comme une protéine est codée par un gène, l’étude de l’évolution moléculaire est révélatrice des mécanismes génétiques en cause. L’évolution des espèces Le document 1 présente le squelette du membre antérieur de six vertébrés, deux fossiles et quatre actuels. Il montre que chez chacun d’eux, le squelette du membre est formé des mêmes pièces osseuses, humérus, radius et cubitus, main. Toutefois, la forme et l’agencement des os varient selon l’espèce considérée. Bien qu’assurant des fonctions différentes, nage chez le poisson, vol chez l’archæoptéryx et l’oiseau, locomotion chez l’amphibien et le reptile, préhension chez l’homme, il s’agit d’organes homologues car ils sont formés des mêmes pièces ayant la même origine embryonnaire. Communs à tous les vertébrés tétrapodes actuels, ils montrent que ces derniers ont un ancêtre commun disparu dont le membre antérieur comportait déjà les mêmes os. Ce type de membre est apparu chez des poissons et a ensuite évolué différemment chez les amphibiens, les reptiles, les oiseaux et les mammifères. Ainsi, les espèces actuelles dérivent des espèces plus anciennes au cours de l’évolution et les vertébrés tétrapodes actuels descendent d’un poisson chez lequel les membres typiques de ce groupe sont apparus. En outre, une telle radiation évolutive est rendue possible parce que le même plan d’organisation se prête à de nombreuses variations permettant des fonctions différentes (vol, nage, etc.). Si les structures anatomiques évoluent au cours de l’évolution, c’est qu’il en est de même des gènes. Le document 2 illustre ainsi l’évolution moléculaire. Mécanismes génétiques Le document 2 présente la structure primaire (séquence) de trois hormones polypeptidiques des vertébrés, la vasotocine, l’ocytocine et la vasopressine (ADH). Leur séquence est très proche puisque sur neuf acides aminés il n’y a qu’un seul acide aminé qui diffère entre la vasotocine et les deux autres. Cette similitude de séquence est interprétée comme le signe d’une origine commune de ces molécules et des gènes qui les codent. En outre, le tableau du document montre que la vasotocine est la plus ancienne des trois, apparue chez les poissons osseux où elle est seule présente. L’ocytocine et la vasopressine résulteraient d’une duplication du gène de la vasotocine. L’ocytocine, présente chez les amphibiens apparus il y a 360 Ma date donc de cette époque tandis que la duplication du gène ayant abouti à l’ADH, présente chez les mammifères date de 200 Ma. Les séquences montrent que c’est le gène de la vasotocine qui a été dupliqué deux fois car l’ocytocine et l’ADH ne diffèrent chacune de la vasotocine que par un seul acide aminé et donc que leurs gènes ne diffèrent que par un seul codon. Comme les mutations réverses sont rares, on en déduit que les gènes de l’ocytocine et de la vasopressine résultent d’une duplication du gène de la vasotocine sur deux autres chromosomes suivie dans chaque cas d’une mutation différente, la première datée de l’apparition des amphibiens, la seconde de celle des mammifères. Ce mécanisme d’évolution des gènes est connu aussi pour d’autres protéines, par exemple les hémoglobines. De tels mécanismes d’évolution génétique peuvent notamment expliquer la complexification du génome au cours de l’évolution. En effet, les gènes dupliqués peuvent évoluer indépendamment aboutissant à de nouvelles protéines sans que les fonctions de la protéine initiale soient modifiées. Conclusion Ainsi, non seulement les documents accréditent l’idée de parentés entre espèces différentes et d’évolution biologique mais ils montrent en outre que des mécanismes génétiques peuvent expliquer l’origine d’innovations majeures au cours de l’évolution.
|
A4/ Modélisation expérimentale des courants océaniques / maquettes
Schéma du montage + Résultats :
Interprétation + Conclusion :
différence
de température et salinité à l'origine des courants océaniques
A5/ Schématisation du cycle de l'eau / animation
cycle de l'eau :
http://www.biologieenflash.net/sommaire.html
→ dynamique externe
cycle
de l’eau
A6/ Recherche de solutions alternatives pour l'énergie / article scientifique
http://www.newscientist.com/article/dn9984-instant-expert-energy-and-fuels.html
surligner dans le texte les informations
importantes et lister les différentes formes d'énergie
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