Vaccins, ce que tout parent doit savoir
En 2013, l'Union européenne a autorisé la mise sur le
marché d'un nouveau vaccin « 6-en-1 » pour
les nourrissons. Ce vaccin, appelé Hexyon et produit par le
laboratoire Sanofi, regroupe les vaccins contre la diphtérie, le
tétanos, la coqueluche, l'hépatite B, la
poliomyélite et contre certaines infections comme la
méningite.
Cette « innovation » est
généralement présentée par les
médias comme « une vraie avancée en
matière de vaccination, à l'heure où les
autorités sanitaires tentent par différents moyens
(…) de redonner confiance aux Français en cette
méthode préventive » (lu sur le site
Informations Hospitalières).
En ce qui me concerne, je ne suis pas rassuré. Je m'explique. Le
fait de mélanger ensemble un grand nombre de vaccins est une
méthode connue des laboratoires pharmaceutiques pour compliquer
la preuve d'effets indésirables. Car plus il y a de vaccins dans
l'injection, plus il devient difficile de prouver qu'un effet
indésirable précis est lié à l’un des
vaccins. Il faut un nombre de cas déclarés d'effets
secondaires négatifs beaucoup plus important pour obtenir un
niveau de preuve statistiquement fiable.
Or, cette tactique se développe justement au moment où le
grand public réalise que les effets indésirables des
vaccins sont tout sauf négligeables.
Des effets secondaires inquiétants
Un nombre alarmant d'études scientifiques met actuellement en
lumière les dangers des vaccins.
Il ne s'agit plus de mises en garde émanant de mouvements
associatifs marginaux ou à tendances sectaires. Non, c'est
maintenant la communauté médicale internationale
elle-même qui exprime ses doutes, voire ses inquiétudes.
Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et
respectée pour sa rigueur scientifique, a publié le
30 janvier 2013 une étude démontrant que le
vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix avait causé des milliers
de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave
et incurable, sans que cette catastrophe ne soit
compensée par des vies sauvées par ailleurs par ce
vaccin. (1) Une association, quoique plus faible, a aussi
été établie entre le vaccin contre la grippe et la
maladie de Guillain-Barré (paralysie). (2)
Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus et le cancer cervical, est
aujourd'hui au centre d'un scandale qui n'en finit pas. Selon le
décompte effectué par l'association Sanevax, ce vaccin
est relié à 29 003 effets adverses graves et au
moins à 130 décès. (3)
Le vaccin contre l'hépatite B, lui aussi, est fortement
critiqué. Il est accusé de tuer les cellules du foie,
alors qu'il est précisément supposé
protéger contre une maladie du foie. (4) D'autre part, le
21 novembre 2012, le Conseil d'Etat français a reconnu
que l'aluminium dans le vaccin hépatite B avait
été la cause d'une terrible maladie invalidante, la
myofasciite à macrophages, dont souffre depuis 1996 un
employé de la Ville de Paris, permettant à cette personne
d'être indemnisée. (5) Des milliers de personnes, qui
n'ont pas eu l'idée de porter plainte, pourraient être
dans le même cas.
Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement
toxiques, même à faibles doses, comme le
formaldéhyde (cancérigène), le mercure
(neurotoxique), l'aluminium (neurotoxique) ou le
phénoxyéthanol. Les jeunes enfants sont
particulièrement vulnérables à ces substances, qui
peuvent affecter de façon dramatique leurs fonctions nerveuses
et immunitaires.
Ces molécules sont employées comme adjuvants pour
renforcer l'efficacité des vaccins en stimulant la
réponse immunitaire. Ainsi les personnes
prédisposées génétiquement peuvent voir
leur immunité s'emballer et déclencher alors une maladie
auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le
syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des
antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais
parfaitement connus.
L'aluminium pourrait aussi être une cause majeure de maladie
d'Alzheimer et de cancer du sein, ce qui expliquerait les proportions
épidémiques que sont en train de prendre ces maladies
dans les générations d'après-guerre.
Un rapport risque/avantage douteux
Ces effets indésirables sont toutefois présentés
par les autorités médicales et la grande presse comme
bénins par rapport aux « immenses
avantages » qu'auraient les vaccins.
L'opinion publique leur prête en effet le mérite de nous
protéger de nombreuses maladies infectieuses et d'avoir
éradiqué toutes les épidémies qui
décimaient autrefois nos pays : typhus, diphtérie,
coqueluche, scarlatine, tuberculose, méningite, tétanos
et, bien entendu, les maladies infantiles, rougeole, oreillons,
rubéole, etc.
Et pourtant, en dehors du cas particulier de la poliomyélite
(qui mériterait un article à elle seule), la
vérité scientifique et historique m'oblige à
écrire, sans hésiter, qu'il s'agit là d'une pure
mythologie.
Les maladies citées ci-dessus avaient cessé de faire
des morts à grande échelle bien avant que l'on introduise
les vaccins. C'est l'amélioration des conditions de vie, de
l'hygiène, de l'eau potable, le recul de la malnutrition et du
paupérisme qui expliquent l'effondrement du nombre de morts par
ces maladies tout au long du XXe siècle.
Le cas emblématique de la diphtérie
Je ne peux traiter dans cette simple lettre de toutes les maladies et
me contenterai d'exemples symboliques. Mais des chiffres similaires
à ceux cités ici existent pour les autres maladies pour
lesquelles les gouvernements vaccinent à l'échelle
industrielle. Les lecteurs qui voudront en savoir plus se reporteront
pour cela à l'excellent dossier « Survey on
Vaccinations in Europe » dont sont tirés les
chiffres suivants. (6)
En Espagne, il y avait chaque année 5 000 morts de
diphtérie en 1900, mais seulement 81 en 1964,
l'année où la vaccination systématique fut
introduite.
En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut
imposée en 1938. L'année suivante, il y eut 15000 cas de
diphtérie puis trois fois plus pendant la guerre !
En Allemagne, il y avait 100 000 cas de diphtérie par an
pendant la Première Guerre mondiale. Les nazis imposèrent
le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y
avait à nouveau 100 000 cas, et 250 000 en 1945.
Après la guerre, la vaccination obligatoire fut
abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie baissa
régulièrement, jusqu'à 800 annuellement en
1972 (une baisse de 99,2 %).
En Norvège, 555 personnes moururent de diphtérie en
1908, mais seulement 2 en 1939. Le pays fut alors envahi par
l'Allemagne, qui imposa le vaccin : le nombre de personnes
touchées par la diphtérie monta à 22 787 cas
en 1942 et près de 700 morts.
Ces chiffres indiquent que la diphtérie se répand lorsque
les conditions de vie se dégradent (guerre), et que les
campagnes de vaccination sont malheureusement impuissantes à
enrayer le phénomène.
En revanche, le retour à la prospérité et à
une meilleure hygiène de vie s'accompagne d'un recul de la
maladie, jusqu'à une disparition quasi totale.
Ils indiquent également que les gouvernements sont capables
d'introduire la vaccination systématique de la population pour
une maladie quasi inexistante (cas de l'Espagne en 1964, de l'Allemagne
en 1939).
Un phénomène général
Les mêmes phénomènes ont été
observés avec les autres grandes maladies infectieuses.
La fièvre typhoïde, qui décimait les
armées de Napoléon et fit 5 à 7 000 morts par
an pendant la Guerre civile espagnole (à partir de 1937)
fut quasiment éradiquée à la fin des
années 50, sans qu'il y ait eu de campagne importante de
vaccination.
Le vaccin contre la coqueluche ne commença à
être administré que dans les années 40 aux
Etats-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce
moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million
d'enfants de moins de 15 ans, contre 1 500 en 1850. Une
baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit.
En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an
en 1965 quand furent lancées les campagnes de
vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos).
La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les
années 60 bien qu'il n'y ait jamais eu de vaccin.
En France, les campagnes à grande échelle de
vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéole) furent
lancées en 1983, alors que le nombre de décès
causés par la rougeole était tombé à
20 personnes par an, contre 3 756 en 1906, une baisse de la
mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne,
18 473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre
19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales
commencèrent pourtant en… 1982.
La tuberculose et le BCG
Mais le cas le plus emblématique reste celui de la tuberculose.
Censée être prévenue par le vaccin
« BCG », cette maladie a en réalité
plus vite régressé dans des pays comme la Belgique et les
Pays-Bas qui ne vaccinaient pas leur population, qu'en France
où tous les écoliers se faisaient vacciner.
Aujourd'hui, alors que le BCG n'est plus obligatoire ni en Allemagne,
ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni
en Espagne, et qu'il n'est imposé en Italie qu'à certains
adultes à risque (personnel de santé,
militaires…), la France continue à vacciner
religieusement des millions d'écoliers chaque année.
Les études de l'INSERM sont pourtant sans appel : le nombre
de décès par tuberculose avait déjà
chuté de 80 % quand fut introduit le BCG obligatoire le
5 janvier 1950, malgré les très difficiles
conditions de vie des années d'après-guerre. Les
campagnes de vaccination n'ont ensuite eu aucun effet notable sur les
courbes de la maladie. Celle-ci a continué à
régresser au même rythme qu'auparavant, avec
l'amélioration de l'hygiène et la
généralisation de l'eau courante. Ce qui n'est pas
étonnant quand on sait que le fait d'être vacciné
contre le BCG ne protège ni de l'infection, ni de la
transmission de la maladie. Les personnes qui meurent aujourd'hui de la
tuberculose en France ne sont nullement des personnes qui n'ont pas
été vaccinées, mais des personnes
marginalisées socialement et souffrant de dénutrition.
Le problème est que le BCG comporte des risques importants
d'effets secondaires, raison pour laquelle la vaccination obligatoire a
été abandonnée dans les années 70
et 80 (sauf en France, où l'obligation a été
supprimée en 2007). C'est en effet un vaccin vivant, qui pose
des risques, y compris de décès, aux enfants et aux
personnes dont le système immunitaire est affaibli. Une
étude réalisée à Barcelone a indiqué
une baisse significative des cas de méningite chez les jeunes
enfants après l'abandon des campagnes de vaccination au BCG.
Ce n'est donc nullement la vaccination qui a permis à nos
sociétés de sortir des grandes épidémies
mais la prospérité économique. Celle-ci a
permis une amélioration de l'hygiène, de l'alimentation
et de l'habitat. Si ces conditions devaient se dégrader de
façon significative, il est évident que, malgré
tous nos vaccins, on assisterait à un retour en force de ces
maladies, exactement comme cela fut le cas pendant la Seconde Guerre
mondiale.
La vérité soigneusement dissimulée
Actuellement, malheureusement, une industrie gigantesque s'est
développée pour assurer la vaccination de masse des
populations du monde entier. Cette industrie est d'autant plus
lucrative qu'elle est totalement financée par les gouvernements,
et que les entreprises qui se partagent le marché sont
protégées à la fois par des brevets (dont le
respect est assuré par les pouvoirs publics) et par une
réglementation touffue que seuls quelques grands groupes
armés de bataillons de juristes peuvent comprendre et respecter.
Des milliards de vaccins sont administrés chaque année,
et des dizaines de milliards d'euros sont encaissés par les
multinationales pharmaceutiques.
Pour le seul vaccin contre la grippe A, le gouvernement
français avait payé 1,5 milliard d'euros pour
94 millions de doses, ce qui fait quasiment deux doses par citoyen.
A l'achat des vaccins, il a fallu ajouter le coût de :
- la campagne de vaccination pour un montant de 35,8 millions
d'euros ;
- l'acquisition de respirateurs pour 5,8 millions
d'euros ;
- l'achat d'antiviraux pour 20 millions d'euros ;
- 150,6 millions d'euros de masques ;
- 41,6 millions d'euros de dépenses logistiques ;
- 290 millions afin d'indemniser les personnels de
santé réquisitionnés ;
- 59,6 millions destinés aux frais d'information et
à la campagne de communication ;
- 100 millions de « frais liés à
l'organisation territoriale de la campagne de vaccination » ;
- et encore 375 à 752 millions d'euros de
dépenses liées aux consultations de médecins,
à la prescription de médicaments.
Finalement, le nombre de vaccins utilisés n'a été
que de 4,5 millions, ce qui est une bonne chose, mais cela veut
dire que sur les 94 millions de doses, 89,5 millions sont
parties à la poubelle, une fois atteinte la date de
péremption. (7)
Ce gaspillage révoltant a été
dénoncé par le Professeur Bernard Debré et le
député et médecin Jean-Marie Le Guen. Mais la
presse a traité l'affaire comme un scandale isolé, sans
lien avec la surconsommation systématique des autres vaccins, en
France et à travers le monde.
Pas de suivi des accidents liés aux vaccins
De même, personne ne se soucie actuellement des risques
réels que vous faites courir à vos enfants en les
vaccinant. Et s'ils tombent malades juste après la
vaccination, vous pouvez être certain qu'on vous expliquera qu'il
s'agit d'une pure coïncidence, y compris s'il y a
décès.
Le cas arrive tous les ans à des milliers de parents. Leur
enfant se fait vacciner et, dans les heures qui suivent, il
déclenche de graves réactions pouvant aller des maux de
tête aux vomissements, en passant par l'eczéma,
l'hyperactivité, les perturbations du sommeil et un peu plus
tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.
Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non
seulement nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent
même pas l'accident aux autorités de pharmacovigilance
(agences responsables de surveiller les effets indésirables des
médicaments) puisqu'ils considèrent qu'il n'y a pas de
lien.
C'est ce qui est arrivé à la petite Christina Richelle,
décédée suite au vaccin Gardasil contre le HPV
(papillomavirus), et à tant d'autres personnes que l'on retrouve
sur les innombrables sites d'information sur la vaccination. (8)
Un témoignage parmi d'autres, recueilli par l'EFVV (European
Forum For Vaccine Vigilance) :
« Je ne peux vous dire mon nom et je ne peux
pas vous révéler l'identité de mon
bébé parce que j'ai peur que cela me retombe dessus, mais
j'ai voulu vous contacter en entendant parler de votre projet, parce
que je suis si heureuse que quelqu'un entreprenne quelque chose. Mon
bébé est mort dans les 24 heures après avoir
reçu son premier vaccin DPT (diphtérie, coqueluche,
tétanos), il y a deux mois. Je me sens si horriblement mal,
personne ne peut avoir la moindre idée de ce que c'est. Elle
était parfaite. Lorsqu'on lui fit l'injection, elle se mit
à crier pendant au moins une heure, d'une façon bizarre.
Puis elle parut très fatiguée, s'est endormie
profondément, et ne s'est plus jamais réveillée.
J'ai commencé à m'inquiéter parce qu'elle semblait
dormir plus longtemps que d'habitude et lorsque j'ai voulu
vérifier, j'ai remarqué qu'elle avait un peu vomi et
qu'elle ne respirait plus. Ils ont dû faire une autopsie mais ils
n'ont pas pu identifier la cause du décès. Je sais que
c'est le vaccin qui l'a tuée. Elle n'avait pas été
malade une seule fois jusque là. Mais plus je l'ai dit au corps
médical, plus ils sont devenus hostiles. Aujourd'hui, j'ai peur
qu'ils me prennent mon autre enfant et je ne veux pas qu'ils m'accusent
d'avoir tué mon bébé. Je ne devrais pas avoir
à vivre comme ça, c'est horrible. Je suis presque trop
terrorisée pour pouvoir faire mon deuil correctement. Elle
était si belle. »
Mais c'est très souvent le même scénario :
officiellement, il ne peut y avoir aucun lien entre le vaccin et les
accidents qui s'ensuivent. La plupart des médecins nieront
farouchement l'évidence. Rien ne serait plus facile, pourtant,
que de donner à chaque personne vaccinée un petit
questionnaire, à renvoyer à l'Agence Nationale du
Médicament, sur lequel elle noterait tous les effets
anormaux qu'elle constaterait durant, par exemple, les huit jours
suivant la vaccination.
Cela permettrait très rapidement d'établir enfin des
statistiques globales sur les effets indésirables réels
des vaccins. Dans un cas comme cité ci-dessus, il est vraiment
trop facile de déclarer que l'enfant est
décédé « de cause
inexpliquée » ou encore que c'est la
« mort subite du nourrisson ». Parce qu'injecter
un vaccin, cela consiste à introduire dans l'organisme non
seulement des virus potentiellement dangereux (même
artificiellement affaiblis) et des adjuvants que les systèmes
immunitaires immatures ne supportent pas forcément.
Mais pour des raisons qui n'ont rien à voir avec votre
santé ni le bien commun, et tout à voir avec les comptes
en banques des industriels et des politiques, ce type de mesures n'est
absolument pas envisagé aujourd'hui par les autorités
sanitaires.
Que faire ??
Cela veut-il dire qu'il faille à arrêter de vacciner tous
les enfants ?
Non. Car même si on a exagéré les bienfaits des
vaccins sur la santé publique, et même si les dangers de
la vaccination sont minorés, il existe probablement de nombreux
cas où il est raisonnable de vacciner.
Le problème est que l'absence d'études sérieuses
sur les risques et bénéfices réels des vaccins
obscurcit considérablement le débat. Ni les citoyens, ni
les professionnels de santé de bonne volonté, ne
disposent aujourd'hui d'éléments fiables pour prendre des
décisions éclairées.
Nous sommes donc obligés de jouer à la roulette russe
avec les vaccins.
Il semble toutefois raisonnable a priori d'éviter tous les
vaccins qui ne sont pas obligatoires, lorsqu'on est en bonne
santé. Faire du zèle est coûteux, mais plus
probablement encore dangereux.
Pour toutes les maladies, il y a des personnes « à
risque », et d'autres qui le sont moins. Vacciner
aveuglément tous les enfants avec tous les vaccins du calendrier
vaccinal est, dans la plupart des cas, nocif.
De plus, il ne faut pas oublier que même les vaccins obligatoires
(DTPolio et BCG en France) ne le sont plus si votre médecin
constate des contre-indications. Cela n'est pas théorique car de
nombreuses personnes peuvent en fait présenter des
contre-indications, en particulier les personnes allergiques, souffrant
de maladies auto-immunes, ou ayant d'autres problèmes
liés à leur système immunitaire. Un examen
médical est donc recommandé avant toute vaccination,
même si ce n'est pas prévu par le système.
Une réforme indispensable et urgente
Il est donc indispensable et urgent que les pouvoirs publics prennent
des mesures visant à améliorer la connaissance des
vaccins et l'information des médecins comme du grand public
à ce sujet.
Une information transparente doit être donnée sur les
dangers de chaque vaccin. S'il y a eu des morts, des personnes
gravement handicapées, ou malades à vie, les personnes
qui sont sur le point de se faire vacciner doivent en être
informées.
Beaucoup de vaccins ont un rapport bénéfices/risques
douteux. Une information lisible et facilement compréhensible
doit figurer sur l'emballage des vaccins, indiquant clairement ceux qui
sont indispensables, ceux qui ne sont nécessaires que dans
certains cas, et ceux qui sont inutiles dans la plupart des cas.
Mais même si c'est aux médecins de s'assurer qu'ils ne
font pas courir de risque inutile à leurs patients
(serment d'Hippocrate), rappelons-nous que nous ne vivons pas dans
l'utopie et que ce sera toujours à nous, ultimement,
d'être responsable de notre santé.
Bien à vous,
Jean-Marc Dupuis
******************************
Sources :
-
Rapport « Survey on Vaccinations in Europe »,
EFVV, téléchargeable gratuitement sur www.efvv.org
Risk of narcolpesy in children and young people receiving AS03 - BMJ
2013;346:f794
-
Guillain-Barré Syndrome After Influenza Vaccination in Adults,
David N. Juurlink, Therese A. Stukel, Jeffrey Kwong, Alexander Kopp,
Allison McGeer, Ross E. Upshur, Douglas G. Manuel, Rahim Moineddin,
Kumanan Wilson, Arch Intern Med. 2006;166:2217-2221.
-
Décompte effectué par Sanevax :
http://sanevax.org/breaking-news-gardasil-fingerprints-found-in-post-mortem-samples/
-
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22249285
-
http://www.quechoisir.org/sante-bien-etre/maladie-medecine/maladie/actualite-aluminium-dans-les-vaccins-lien-de-cause-a-effet-etabli
-
Rapport « Survey on Vaccinations in Europe »,
EFVV, téléchargeable gratuitement sur www.efvv.org
-
http://www.lemonde.fr/epidemie-grippe-a/article/2010/01/04/une-grippe-a-deux-milliards-d-euros_1287422_1225408.html
-
http://www.gardasilandunexplaineddeaths.com/
Voir également :
Meyer, J., & Jensen, K. A. (1954). A fatal case of tuberculosis
produced by BCG. Am Rev Tuberc, 70(3), 402–412. JAMES E. F.,
Fatal case of tuberculosis produced by BCG, American review of
tuberculosis, 1955, tome 71, pp.321-323 ; Pedersen, F. K.,
Engbaek, H. C., Hertz, H., & Vergmann, B. (1978). Fatal BCG
infection in an immunocompetent girl. Acta Paediatr Scand, 67(4),
519–523.
OMS, L'éradication mondiale de la variole – Rapport final
de la commission mondiale pour la certification de l'éradication
de la variole, éd. OMS, 1980.
******************************
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