Impressionnant... La taille de la terre comparée au reste des astres de l'univer !
Posté par Sais-tu que ? sur samedi 3 octobre 2015
samedi 16 janvier 2016
jeudi 14 janvier 2016
§ quel est le lien entre effort, dioxygène & nutriments ?
§ quel est le lien entre effort, dioxygène & nutriments ?
2.1 - Des modifications physiologiques liées à l'effort
A1 : Mesure du métabolisme humain lors d'un effort / ExAO
© TP ventilation et VO2max.odt
ExAO = Expérimentation assistée
par ordinateur
principe de l'ExAO :
http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/ATP/principe.htm
schématiser le montage
essai et mise en commun des expériences
résultats :
IR =
intensité respiratoire = volume de dioxygène absorbé par unité de
masse et par unité de temps => permet de comparer la consommation
de O2 pour des organismes de masse différentesLors d'un effort la pente de la courbe est plus forte => plus de O2 consommé
L’augmentation de l’activité respiratoire se fait avec un retard et se prolonge en fin d’effort : il y a un temps de réaction de l’organisme par rapport au début de l’effort, c'est le remboursement de la dette en O2
mardi 12 janvier 2016
Comment se procure-t-on les sucres de la digestion ? Qu'est-ce qu'une enzyme ?
Comment se procure-t-on les sucres de la
digestion ? Qu'est-ce qu'une enzyme ?
A4 : Actions des amylase et saccharase in vitro
© TP enzymes.odt
comparaison activités amylase // saccharase
amylase d'humain // saccharase de levure
spécificité
de substrat
le
métabolisme d'une cellule dépend de son équipement enzymatique.
A5 : Synthèse d'amidon par l'enzyme de pomme de terre in vitro
© TP enzymes.odt
synthèse d'amidon :
http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/biologie/ress/enzymo/enz_pdt.html
comparaison activités amylase // amidon
synth(ét)ase
spécificité
de substrat, spécificité d'action, anabolique ou catabolique
Les
enzymes présentent une double spécificité
d'action et de substrat : un seul
type d'action sur un seul type de substrat. Les actions peuvent être
ana ou cataboliques
(synthèse ou dégradation).
§ Quel est le lien entre gènes et protéines ?
§ protéines = phénotype moléculaire =>
liées au gène … mais comment ?
§ Quel est le lien entre gènes et protéines ?
2.3/ Protéines, expression primaire de l’information génétique.
2.3.1/ Macromolécules à séquence dans la cellule
A1 : Comparaison de séquences nucléiques et peptidiques / logiciels
® TP gène-protéine anagene.odt
protéine thermomètre planteschema.odg
Diapo : synthese_proteines_anagene
code Morse international, fait avec 2 signes :
« ti » ou « ta » :
http://www.lexilogos.com/clavier/morse.htm
code ASCII = American Standard Code for
Information Interchange : http://www.tableascii.com/
;
http://fr.wikipedia.org/wiki/American_Standard_Code_for_Information_Interchange
animation code génétique :
http://www.snv.jussieu.fr/vie/documents/codegenet/index.htm#anim
tableau code génétique :
http://www.monde-solidaire.org/spip/IMG/jpg/UniversalGeneticCode.jpg
tableaux autrement :
http://pst.chez-alice.fr/codgenet.htm
ARN,
portions codantes de l’ADN, Séquence, gène, code génétique,
codon, anticodon§ Génétique ou environnement ?
A4 : Protéine thermomètre chez Arabidopsis thaliana / article PrLaSce
© protéine thermomètre plantes
rappel : http://youtu.be/lUESmHDrN40
B222 : Gènes et environnement
L’ensemble des protéines qui se trouvent dans une cellule (phénotype moléculaire) dépend :- du patrimoine génétique de la cellule (une mutation allélique peut être à l’origine d’une protéine différente ou de l’absence d’une protéine) ;
- de la nature des gènes qui s’expriment sous l’influence de facteurs internes et externes variés.
B : Gènes et environnement/ schéma ©
Mots clefs : Phénotype moléculaire, microscopique, macroscopique, expression génétique, protéine, facteurs d'expression, variabilité
glossaire :
http://www.nature.ca/genome/02/022_f.cfm
lundi 11 janvier 2016
Rencontres insolites au fond des mers
10.03.2015, par
La mer est peuplée d’animaux surprenants aux formes et couleurs variées. Une diversité indispensable à leur survie dans le vaste milieu marin, et qui répond à leurs besoins de se nourrir, se protéger, se reproduire... Découverte en images de ces drôles d’espèces.

1
Mode diaporama
Doris de Loch, Moorea, Polynésie française, Océan Pacifique. Les « cornes » de ce nudibranche, appelées rhinophores, sont en fait des organes olfactifs. Ils lui servent notamment à rechercher un partenaire.
CNRS Photothèque / VIGNAUD Thomas
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2
Mode diaporama
Gorgone rouge, îlot de Grand Conglue, Mer Méditerranée. La période de reproduction chez cette espèce a lieu à la fin du mois de juin. On la voit ici en train d’émettre des gamètes (en violet). Les gorgones rouges font partie du décor des épaves de la Méditerranée.
CNRS Photothèque / ZUBERER Frédéric
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3
Mode diaporama
Ver arbre de Noël, lagon de Moorea (Polynésie française), Océan Pacifique. Chez ce ver, la branchie est constituée de deux lobes spiralés. Elle arbore des couleurs uniformes ou panachées très diverses, et lui sert à filtrer l’eau pour y puiser sa nourriture.
CNRS Photothèque / VIGNAUD Thomas
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4
Mode diaporama
Serpule, Archipel de Riou, Mer Méditerranée. Difficile de croire qu’à l’intérieur de ce tube calcaire réside un ver. Seule une partie de sa tête émerge, dont ce panache munis de nombreux cils. Ils retiennent les particules alimentaires en suspension dans l'eau et lui permettent de respirer.
CNRS Photothèque / ZUBERER Frédéric
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5
Mode diaporama
Gorgonocéphale, Ceuta (Espagne), Mer Méditerranée. Même s’il est dépourvu d’yeux, il est très sensible à la lumière et se « rembobine » rapidement à partir des extrémités s'il est éclairé. Il peut atteindre jusqu’à 80 cm lorsque ses dix bras mobiles se déploient, attrapant ainsi les particules alimentaires.
CNRS Photothèque / Thierry PEREZ
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6
Mode diaporama
Calmar commun ou encornet, Archipel de Riou, Mer Méditerranée. Il possède dix bras, tous munis de ventouses. Les deux plus longs lui permettent de saisir sa proie et de la ramener vers la bouche. Les huit autres, plus courts, étreignent la proie lui laissant peu de chance de s’échapper.
CNRS Photothèque / GRAILLE Roland
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7
Mode diaporama
Gobie du corail-fouet, lagon sud de Nouvelle-Calédonie, Océan Pacifique. Ce petit poisson vit exclusivement sur le corail fouet. Grâce à son corps translucide, il est presque invisible.
CNRS Photothèque/IRD / AMICE Erwan
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8
Mode diaporama
Grondin volant, Petites Antilles, Mer des Caraïbes. Ce poisson est doté de nageoires pectorales mouchetées et bordées de bleu qu’il déploie en éventail lorsqu’il se sent menacé.
CNRS Photothèque / MOTREUIL Sébastien
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9
Mode diaporama
Baliste titan, Moorea (Polynésie française), Océan Pacifique. Ce poisson peut atteindre 85 cm de longueur. Il est doté d’une bouche laissant apparaître de grosses dents, très utiles lorsqu’il s’agit de défendre son nid.
CNRS Photothèque / VIGNAUD Thomas
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10
Mode diaporama
Flabelline rose, Marseille, Mer Méditerranée. Le corps de ce nudibranche dispose d’une batterie de papilles, les cérates, servant à la respiration et à la digestion. Leurs extrémités concentrent des cellules urticantes provenant des proies qu’il consomme (des hydraires).
CNRS Photothèque / ZUBERER Frédéric
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11
Mode diaporama
Etoile de mer à cornes, lagon de Nouvelle-Calédonie, Océan Pacifique. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ses cornes ne sont pas piquantes. Elles sont toujours sombres tandis que la couleur du corps peut varier. Dans les pays anglophones, on l’appelle « chocolate chip sea star », l’étoile à pépites de chocolat.
CNRS Photothèque/IRD / AMICE Erwan

12
Mode diaporama
Madrépore œillet, Roscoff, Manche. On peut voir le squelette calcaire de ce corail solitaire à travers son polype translucide. Des variations de couleur aux formes irrégulières peuvent se prolonger jusqu’à la base des tentacules dont l’extrémité se termine en petit bouton brillant.
CNRS Photothèque / FONTANA Yann
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13
Mode diaporama
Napoléon, Archipel des Tuamotu, Polynésie française, Océan Pacifique. Les « tatouages » de ce poisson sont remarquables. Sur ce spécimen, les motifs de la tête sont composés de lignes sinueuses et de points. Sa couleur évoluera tout au long de sa vie.
CNRS Photothèque / VIGNAUD Thomas

14
Mode diaporama
Holothurie ou concombre de mer, lagon de Nouvelle-Calédonie, Océan Pacifique. Cette espèce est maculée de petites papilles brun-rouge. Certaines sont très marquées au sommet par des tubercules coniques entourées de cercles.
CNRS Photothèque/IRD / AMICE Erwan
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15
Monnaie caraïbe, Mer des Caraïbes. Les coquilles de ces porcelaines (mollusques gastéropodes) servaient de monnaie d’échange dans les Antilles entre les XVIIème et XIXème siècles.
CNRS Photothèque / MOTREUIL Sébastien
Insectes à la loupe
Observés au microscope électronique à balayage, les insectes nous révèlent leur surprenante anatomie. Spécialiste en microscopie et passionné d’entomologie, Stephan Borensztajn a ajouté des couleurs à ses clichés. Son but : mettre en valeur l’étrange beauté qui nous entoure.
Stephan Borensztajn était membre du Laboratoire Interfaces et Systèmes Electrochimiques (LISE) lorsqu'il a réalisé ces photos.

1
Mode diaporama
Abdomen d’une fourmi vu de face (grossissement 500 fois).
CNRS Photothèque / Stephan BORENSZTAJN

2
Mode diaporama
Détail d’une écaille d’aile de papillon faisant apparaître des structures qui diffractent la lumière (grossissement 10 000 fois).
CNRS Photothèque / Stephan BORENSZTAJN

3
Mode diaporama
Extrémité de la patte d’un syrphe, une espèce de la famille des mouches. Surmontées de deux griffes, les pulvilles (petites ventouses) permettent à cet insecte de se déplacer sur une surface verticale et lisse (grossissement 1 000 fois).
CNRS Photothèque / Stephan BORENSZTAJN

4
Mode diaporama
Antenne d’un moustique (grossissement 1 000 fois).
CNRS Photothèque / Stephan BORENSZTAJN
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5
Mode diaporama
Extrémité de la patte d’une araignée sur laquelle on distingue une griffe recouverte de pulvilles (grossissement 500 fois).
CNRS Photothèque / Stephan BORENSZTAJN

6
Mode diaporama
Tête d’un psychodidae, un petit moucheron ressemblant à un minuscule papillon de nuit (grossissement 500 fois).
CNRS Photothèque / Stephan BORENSZTAJN

7
Mode diaporama
Pulvilles, des paires de coussinets situés à la base des griffes, d’une patte de mouche (grossissement 2 000 fois).
CNRS Photothèque / Stephan BORENSZTAJN

8
Mode diaporama
Détail de l’abdomen d’une abeille (grossissement 500 fois).
CNRS Photothèque / Stephan BORENSZTAJN

9
Mode diaporama
Détail de l’œil d’une drosophile, aussi appelée mouche du vinaigre (grossissement 500 fois).
CNRS Photothèque / Stephan BORENSZTAJN

10
Extrémité de la patte d’un moucheron sur laquelle on distingue deux griffes entourées de pulvilles (grossissement 5 000 fois).
CNRS Photothèque / Stephan BORENSZTAJN
Combien de temps peut-on retenir son souffle ?
Avec de l'entraînement, quelques minutes. Mais en théorie, nous pourrions tenir bien plus longtemps.
Pendant combien de temps pouvez-vous retenir votre souffle ?
Sans entraînement, guère plus d'une minute. Certaines personnes, comme
les apnéistes, peuvent tenir plusieurs minutes. Mais en théorie, nous
devrions être capables de retenir notre respiration bien plus longtemps.
Qu'est-ce qui nous force à respirer bien avant que notre réserve
d'oxygène soit épuisée ? Et comment passer outre ce réflexe ? La réponse
en vidéo avec Katherine Hermon, de Scientific American.
http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/v/video-combien-de-temps-peut-on-retenir-son-soufflea-35997.php
http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/v/video-combien-de-temps-peut-on-retenir-son-soufflea-35997.php
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