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samedi 22 novembre 2025
vendredi 21 novembre 2025
2/ symbiose avec d'autres vivants
Étudier les surfaces d’échange des mycorhizes, associations symbiotiques entre champignons et racines de plantes, déjà observées en classe de première.
Manuel p.189
mycorhizes
nodosités
lichens
vigie nature sur lichens : https://www.vigienature-ecole.fr/lichen
video 4'26 : https://youtu.be/2ANuGPpi5vY?si=LPME0V5zs8c8IgNf # Ver de Roscoff - Expérience historique d'Engelmann, SVT, Hervé Kempf, lycée de l'Elorn
absorption d’eau et d’ions du sol facilitée le plus souvent par des symbioses, notamment les mycorhizes
Netothèque
herbier de Jussieu : http://abiris.snv.jussieu.fr/flore/herbier.php
herbiers en images :
http://bioeco.free.fr/index.htm
dessins : https://florelaurentienne.com/flore/Groupes/Spermatophytes/Angiospermes/Sous_division_02.htm
classif simplifiée : http://www.pedagogie.ac-nantes.fr/html/peda/svt/classifs/terminale/htm/tab_vivant_t.htm#
Tree of life : http://tolweb.org/Green_plants/2382
complet mais complexe : http://fr.wikipedia.org/wiki/Photo-guide_taxinomique_du_monde_végétal#Acc.C3.A8s_par_l.27arbre_phylog.C3.A9n.C3.A9tique_d.C3.A9taill.C3.A9
cours fac : http://www.creaweb.fr/bv/
université Wisconsin : http://botit.botany.wisc.edu/
Understanding phototropism: from Darwin to today : https://academic.oup.com/jxb/article/60/7/1969/684486
Modéliser le vivant : créer des plantes virtuelles pour comprendre, simuler, tester : http://interstices.info/jcms/c_10928/modeliser-le-vivant-creer-des-plantes-virtuelles-pour-comprendre-simuler-tester?portal=j_97&printView=true
Bilan : L’organisation fonctionnelle des plantes à fleurs
video 3'51 : Développement de la plante et organisation en phytomères : https://youtu.be/qgbuQapIaS0?si=ENI6iHb21ubliEv-
Notions : organisation générale d’une plante angiosperme : tige, racine, feuille, stomates, vaisseaux conducteurs ; méristème ; multiplication et élongation, organogenèse.
Par diverses caractéristiques, les plantes terrestres montrent une capacité d’adaptation à la vie fixée à l’interface sol/atmosphère, dans des environnements variables. Les plantes développent de grandes surfaces d’échange, aériennes d’une part (optimisation de l’exposition à la lumière, source d’énergie, transferts de gaz) et souterraines d’autre part (absorption d’eau et d’ions du sol facilitée le plus souvent par des symbioses, notamment les mycorhizes). Des tissus conducteurs canalisent les circulations de matière dans la plante, notamment entre les lieux d’approvisionnement en matière minérale, les lieux de synthèse organique et les lieux de stockage. Le développement d’une plante associe croissance (multiplication cellulaire par mitoses dans les méristèmes, suivie d’élongation cellulaire) et différenciation d’organes (tiges, feuilles, fleurs, racines) à partir de méristèmes. Ce développement conduit à une organisation modulaire en phytomères, contrôlée par des hormones végétales et influencée par les conditions de milieu.
Précisions : l’étude s’appuie uniquement sur l’observation d'une plante en tant qu’organisme. La connaissance de l’anatomie végétale se limite au repérage du phloème, du xylème ainsi qu’à l'indication de leurs rôles – sans mécanisme – dans les échanges entre organes de la plante. La différenciation cellulaire se limite à l’identification de cellules différenciées. La connaissance des mécanismes de la différenciation cellulaire n’est pas attendue, pas plus que l’étude de la diversité et du mode d’action des hormones végétales.
Conduire l’étude morphologique simple d’une plante commune mettant en lien structure et fonction.
Estimer (ordre de grandeur) les surfaces d’échange d’une plante par rapport à sa masse ou son volume.
Mettre en oeuvre un protocole expérimental de localisation des zones d’élongation au niveau des parties aériennes ou souterraines.
Étudier les surfaces d’échange des mycorhizes, associations symbiotiques entre champignons et racines de plantes, déjà observées en classe de première.
Réaliser et observer des coupes dans des organes végétaux afin de repérer les grands types de tissus conducteurs (phloème, xylème).
Étudier et/ou réaliser les expériences historiques sur l’action de l’auxine dans la croissance racinaire ou caulinaire.
Établir et mettre en oeuvre des protocoles montrant l’influence des conditions de milieu (lumière, gravité, vent) sur le développement de la plante.
Evaluation
Question type bac : les angiospermes réalisent des échanges avec leur milieu. Réalisez un schéma de synthèse expliquant l'organisation fonctionnelle d'une plante à fleur. Aucun texte n'est attendu.
méthode :
listez les mots clefs : brain storming
organisez les mots en fonction de leur place sur la page (ici une plante)
dessinez la partie fonctionnelle au crayon graphite effaçable
choisissez un code de couleur et un type de légende (place, modalités)
ajoutez les fonctions avec le code de couleur
repassez éventuellement les structures à l'encre noire
n'oubliez pas que tout dessin, graphique ou schéma comporte titre, légende, échelle (unités)
quelle différence entre desssin et schéma en svt ?
dessin |
schéma |
structure |
fonction |
ce qui est visible |
ce qui est mesurable |
observation au microscope, à la loupe, à l'oeil nu |
bilan, synthèse, relations |
crayon graphite et rarement avec couleurs |
en couleurs |
éléments, |
évènements, phénomènes, action |
réaliste : ce que l'on voit |
symbolique : ce qui est |
complexité dans les formes |
complexité dans les relations |
Quels sont les pb à résoudre maintenant ?
2/ Fécondation et développement
videos du Dr Pauline Moyart :
video 1' : https://youtu.be/n5HEZZra-7o?si=BPmfnWjXBjVI7zwP
video 4'20 : https://youtu.be/Imq1COeDrII?si=IS6b9Gd1rejRRhKN
video 4'38'' : http://youtu.be/HTfEshpLikE Odyssée de la vie
http://imagesbiogeolfxm.free.fr/reproduction/thumb.html ;
http://bac-sc-rep.e-monsite.com/pages/la-fecondation.html ;
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Acrosome_reaction_diagram_fr.svg
http://www.biologieenflash.net/animation.php?ref=bio-0066-3
http://www.wideo.fr/video/iLyROoafMGJ2.html
fécondation = fusion des gamètes
gamète [gamos : mariage] = cellule sexuelle, reproductrice, germinale
caryogamie [caryo = noyau] = fusion des noyaux
zygote = cellule oeuf
du grec ancien : ζυγωτός / zugōtós, « joints, attelés », de ζυγοῦν / zugoûn, « joindre, atteler » est une cellule eucaryote formée par un événement de fécondation entre deux gamètes.
embryon, fœtus
La fécondation a lieu le plus souvent dans le tiers supérieur des trompes. Les gamètes, spermatozoïde et ovule fusionnent pour donner une cellule œuf, ou zygote, par caryogamie. On parle d'embryon de la fécondation à la huitième semaine de développement embryonnaire environ, lorsque l'organogénèse est terminée, l'embryon devient foetus.
text 202w - 999w : https://www.earthdate.org/colorful-history-of-paint
audio : https://www.earthdate.org/files/000/001/587/EarthDate_059.mp3
Minecraft stones
video 7' : https://youtu.be/xApptd0OKTs?si=gIr9-ngWxHfux4Sw This video is second installment of our series where I explain concepts of geology and other sciences in Minecraft. This video is an intro to the different rock types that appear both in real life and in game. This should provide good foundational knowledge for when we may get into more complicated topics in the future. Hopefully everyone enjoys, we're trying to hit 10k subs! If you enjoy, or have questions, feel free to leave a comment, and yes, for the science nerds among you: there are simplifications in here.
video 8' : https://youtu.be/0gVQK4wXevQ?si=ulhKdLnBpXtpUS4X What is Minecraft Stone? The long-standing question will FINALLY be answered… by us. Please enjoy this Minecraft geology crash course made by 2 idiots.
jeudi 20 novembre 2025
Cell theory
video 2'58 : https://youtu.be/M1wdIdCOk-Y What are cells | Cells | Biology | FuseSchool : So cells come in all shapes and forms and have all sorts of jobs, but they are all fundamental building blocks of all living organisms.
video 6'27 : https://youtu.be/JQVmkDUkZT4 : Kurzgesagt – In a Nutshell What Are You? So. Are you your body? And if so, how exactly does this work? Lets explore lots of confusing questions. This video is part of a collaboration with CGPGrey. Are you your body?
text 348 words : https://www.bioexplorer.net/parts-of-cell-theory.html/
3 postulates of the cell theory :
every living thing is made up of cells or the product of cells, every element in animals is made up of cells or their products.
every cell is generated from pre-existing cells.
cells were the basic unit of life.
4/ Tropismes
Étudier les expériences historiques sur l’action de l’auxine dans la croissance racinaire ou caulinaire.
Manuel p.200
Tropisme : Du grec tropos, trepein, « avoir une affinité pour », avec le suffixe -isme. τρόπος, tournement tour, tourner, direction, avoir une affinité pour)
Cotylédon (scientifiquement nommé feuille cotylédonaire) est une feuille primordiale constitutive de la graine. Le terme vient du grec, κοτυληδών, κοτυληδόνος , de κοτύλη qui désignait une mesure de capacité, c'est-à-dire une cavité, un creux, un contenant. Les graines des plantes monocotylédones comportent un seul cotylédon (blé, maïs) ; celles des dicotylédones en comportent deux (haricot, pois, marronnier, chanvre) ; ils sont parfois secondairement polycotylédonés chez les Gymnospermes qui en comptent de 2 (cyprès commun) à 24 (Pinus maximartinezii)
Coléoptile (coleo : fourreau, étui, gaine [kolos] κολός). Le coléoptile est un organe transitoire lors de la germination formant une gaine protectrice pointue autour des pousses émergentes chez les monocotylédones telles que les graminées.
L’hypocotyle ou axe hypocotylé est la partie de la tigelle située entre sa base (le collet) et les premiers cotylédons de la plante.
L’apex caulinaire et les jeunes feuilles sont protégés par le coléoptile.
La racine principale est elle aussi protégée par un étui, le coléorhyze mais celui-ci est très transitoire.
Le cotylédon est considéré comme une feuille-réserve primordiale qui permet à la jeune plantule de renforcer rapidement sa croissance par une photosynthèse active dés la sortie de terre .
Cette définition valable pour beaucoup de plantes est plutôt un concept : celui d 'une structure rapidement mise en œuvre pour assurer la croissance.
Chez les dicotylédones, les cotylédons portent bien leur nom.
Chez les monocotylédones le cotylédon s'appellerait plutôt scutellum (du latin : écusson) bien différent des premières feuilles. Le coléoptile qui forme une gaine autour de la gemmule et qui la protège peut être considéré comme le cotylédon
Germination épigée (haricot) :
La graine est soulevée hors du sol par accroissement rapide de la tigelle qui donne l’axe hypocotyle qui soulève les deux cotylédons hors du sol. La gemmule se développe (après la radicule) et donne une tige feuillée au-dessus des deux cotylédons. Le premier entre-nœud donne l’épicotyle. Les premières feuilles, au-dessus des cotylédons sont les feuilles primordiales (elles sont plus simples que les futures feuilles).
Germination hypogée (maïs) :
La graine reste dans le sol, la tigelle ne se développe pas et les cotylédons restent dans le sol.
https://forum.mikroscopia.com/topic/14211-cotylédons/
Le gravitropisme des végétaux :
Conclusion : trop d’hormone inhibe la croissance,
ce n’est pas la présence de l’hormone mais la dose d’hormone qui constitue le signal
En botanique, un phytomère, appelé aussi métamère, est une unité fonctionnelle constitutive d'une plante (zone d'auxèse, de mérèse, ...). La croissance de cette dernière est déterminée par la répétition et l'empilement des phytomères. Les phytomères sont produits continuellement pendant toute la durée végétative d'une plante.
Le développement du végétal conduit à une organisation modulaire en phytomères, contrôlée par des hormones végétales et influencée par les conditions de milieu.
20 novembre
2,1,3/ Relations extérieures
1/ adaptation avec le milieu
présentation G.D'Esparron
Manuel p.192-193
video : L'adaptation des plantes en montagne (à 9’ : vallée de la Gela, proche cirque Barroude) : https://youtu.be/Y1aZaj4zmCo
Coupe Transversale de feuille xérophyte : http://www.phonat.fr/zoomify/xerophytic.html
Coupe Transversale de feuille hydrophyte : http://www.phonat.fr/zoomify/hydrophytic.html
Coupe Transversale de feuille mésophyte : http://www.phonat.fr/zoomify/mesophytic.html
Établir et mettre en œuvre des protocoles montrant l’influence des conditions de milieu (lumière, gravité, vent) sur le développement de la plante.
Par diverses caractéristiques, les plantes terrestres montrent une capacité d’adaptation à la vie fixée à l’interface sol/atmosphère, dans des environnements variables
Jack Hills Zircon
Listen : https://youtu.be/aaL3XpzUn80
#Zirconstone is the oldest rock on the earth. It formed right after the formation of the Earth. The zircon started recording the evidence about early life on the Earth. Scientists and researchers did not find any physical evidence about early life on earth. However, the zircon #crystals give some clues. Zircon stone is the toughest crystals and rock found on the earth. It can survive under tough temperatures and pressure.
N text 378 words http://www.sci-news.com/geology/science-jack-hills-zircon-oldest-known-fragment-earth-01779.html : Jack Hills Zircon: Scientists Discover Oldest-Known Fragment of Earth
mardi 18 novembre 2025
fécondation chez l'oursin : https://youtu.be/QN0TgiAmzfY?si=vh5CnQYOYewZK8Vb
2/ Fécondation et développement
videos du Dr Pauline Moyart :
video 1' : https://youtu.be/n5HEZZra-7o?si=BPmfnWjXBjVI7zwP
video 4'20 : https://youtu.be/Imq1COeDrII?si=IS6b9Gd1rejRRhKN
video 4'38'' : http://youtu.be/HTfEshpLikE Odyssée de la vie
4/ Tropismes
Étudier les expériences historiques sur l’action de l’auxine dans la croissance racinaire ou caulinaire.
Manuel p.200
Tropisme : Du grec tropos, trepein, « avoir une affinité pour », avec le suffixe -isme. τρόπος, tournement tour, tourner, direction, avoir une affinité pour)
Cotylédon (scientifiquement nommé feuille cotylédonaire) est une feuille primordiale constitutive de la graine. Le terme vient du grec, κοτυληδών, κοτυληδόνος , de κοτύλη qui désignait une mesure de capacité, c'est-à-dire une cavité, un creux, un contenant. Les graines des plantes monocotylédones comportent un seul cotylédon (blé, maïs) ; celles des dicotylédones en comportent deux (haricot, pois, marronnier, chanvre) ; ils sont parfois secondairement polycotylédonés chez les Gymnospermes qui en comptent de 2 (cyprès commun) à 24 (Pinus maximartinezii)
Coléoptile (coleo : fourreau, étui, gaine [kolos] κολός). Le coléoptile est un organe transitoire lors de la germination formant une gaine protectrice pointue autour des pousses émergentes chez les monocotylédones telles que les graminées.
L’hypocotyle ou axe hypocotylé est la partie de la tigelle située entre sa base (le collet) et les premiers cotylédons de la plante.
L’apex caulinaire et les jeunes feuilles sont protégés par le coléoptile.
La racine principale est elle aussi protégée par un étui, le coléorhyze mais celui-ci est très transitoire.
Le cotylédon est considéré comme une feuille-réserve primordiale qui permet à la jeune plantule de renforcer rapidement sa croissance par une photosynthèse active dés la sortie de terre .
Cette définition valable pour beaucoup de plantes est plutôt un concept : celui d 'une structure rapidement mise en œuvre pour assurer la croissance.
Chez les dicotylédones, les cotylédons portent bien leur nom.
Chez les monocotylédones le cotylédon s'appellerait plutôt scutellum (du latin : écusson) bien différent des premières feuilles. Le coléoptile qui forme une gaine autour de la gemmule et qui la protège peut être considéré comme le cotylédon
Germination épigée (haricot) :
La graine est soulevée hors du sol par accroissement rapide de la tigelle qui donne l’axe hypocotyle qui soulève les deux cotylédons hors du sol. La gemmule se développe (après la radicule) et donne une tige feuillée au-dessus des deux cotylédons. Le premier entre-nœud donne l’épicotyle. Les premières feuilles, au-dessus des cotylédons sont les feuilles primordiales (elles sont plus simples que les futures feuilles).
Germination hypogée (maïs) :
La graine reste dans le sol, la tigelle ne se développe pas et les cotylédons restent dans le sol.
https://forum.mikroscopia.com/topic/14211-cotylédons/
Le gravitropisme des végétaux :
Le développement conduit à une organisation modulaire en, contrôlée par des hormones végétales et influencée par les conditions de milieu.
4/ Metagenomique
video 3'35 : https://youtu.be/Vn7Oi854X1k?si=gs62gcwzDvYfS9f8 Interview de Patrick Wincker, directeur du Génoscope, qui nous parle de l'analyse ADN. Réalisé dans le cadre de « Coulisses de laboratoire », une opération Tara qui vous plonge au cœur de l’investigation scientifique en plaçant au premier plan les instruments utilisés par les chercheurs. "
La métagénomique consiste à étudier l’ADN total d’un échantillon issu du sol, de l’eau de mer, etc ... en le séquençant puis en le comparant aux ADN d’espèces déjà connues. Ainsi, on repère des espèces déjà connues, on peut découvrir de nouvelles espèces.
Génomique : se charge du séquençage du génome entier
méta : dans un milieu donné, donc de multiples taxons
métagénomique = génomique environnementale est une méthode d'étude du contenu génétique d'échantillons issus d'environnements complexes
objectifs : identifier + découvrir + quantifier
Cette méthode permet de déterminer la richesse spécifique ( nombre d’espèces d’un milieu donné), et l’abondance relative des espèces ( proportion d’individus d’une espèce par rapport au nombre total d’individus d’un écosystème)
Le barcoding moléculaire consiste à identifier une espèce en comparant une courte séquence de son ADN à toutes les séquences connues d’ADN rassemblées dans une banque de données, comme si l’on « scannait » son code-barres génétique. En comparant toutes les séquences d’ADN retrouvées dans un échantillon d’eau ou de sol à cette banque de données, les chercheurs peuvent identifier les espèces qui se trouvent dans cet échantillon : c’est le metabarcoding. Ces méthodes sont cependant coûteuses et ne peuvent pas remplacer complètement les reconnaissances sur le terrain.
https://www.courrierinternational.com/article/genetique-un-elephant-piege-dans-une-toile-d-araignee
https://www.hatier-clic.fr/2959900
https://www.lelivrescolaire.fr/page/11094724
https://blast.ncbi.nlm.nih.gov/Blast.cgi
http://v3.boldsystems.org/index.php/SDP_Home
https://prezi.com/p/r_96yfffspcp/expose-metagenomique/
identifier un taxon à partir d’une séquence ADN :
https://fondationtaraocean.org/education/kit-de-donnee-biogeographie-du-plancton/
https://www.lelivrescolaire.fr/page/11094724
Métagénomique, génomique, séquençage, barcoding & metabarcoding
⸎ La biodiversité se mesure par des techniques d’échantillonnage (spécimens ou ADN) qui permettent d’estimer le nombre d’espèces (richesse spécifique) dans différents milieux.
Manuel page 200, la marge d’erreur pour un niveau de confiance de 95 % dans les deux échantillons du doc.3 p.191. :
IC = [fobs - Ɛ ; fobs + Ɛ] ; Ɛ = k √ fobs (1 - fobs) / n
pour un niveau de confiance de 95 % k = 1,96
pour une même fréquence observée fobs = 0,6
- la marge d’erreur pour un échantillon de petite taille (40) : Ɛ = 1,96 √ 0,6 ( 1 - 0,6) / 40 = 0,15
- la marge d’erreur pour un échantillon de grande taille (150) : Ɛ = 1,96 √ 0,6 ( 1 – 0,6 ) / 150 = 0,078
→ On remarque que la marge d’erreur est beaucoup plus faible pour un échantillon de grande taille.
Avec la marge d’erreur calculée, vérifier les intervalles de confiance dans les deux cas. Que remarquez-vous ?
- Intervalle de confiance de l’échantillon de petite taille : IC = [ 0,6 – 0,15 ; 0,6 + 0,15 ] = [ 0,45 ; 0,75 ]
- Intervalle de confiance de l’échantillon de grande taille : IC = [ 0,6 – 0,05 ; 0,6 + 0,05 ] = [ 0,52 ; 0,68 ]
On remarque que l’intervalle de confiance est beaucoup plus étroit, dans le cas d’un échantillon de grande taille, l’estimation est donc plus précise.
Autre méthode. Avec les valeurs du doc.3 p.191 :
IC = [ fobs – 1 / √ n ; fobs + 1 / √ n ]
- IC de l’échantillon de petite taille : IC = [ 0,6 – 1 / √ 40 ; 0,6 + 1 / √ 40 ] = [ 0,44 ; 0,76 ]
- IC de l’échantillon de grande taille : IC = [ 0,6 – 1 / √ 150 ; 0,6 + 1 / √ 150 ] = [ 0,52 ; 0,68 ]
On retrouve les mêmes intervalles de confiance qu’avec la première méthode.
Calculez l’intervalle de confiance de la valeur de 49 % de femelles opossum du doc.2 p.191
Population d’opossums : 147 dont 72 femelles, ce qui fait f = 72/147 = 0,489… donc 49 % ♀
Intervalle de confiance : IC = [ 0,49 – 1 / √ 147 ; 0,49 + 1 / √ 147 ] = [ 0,408 ; 0,572] donc entre 40 % et 57 %.
Cela fait une amplitude de 0,572-0,408 = 0,164
donc une marge d’erreur de 0,164/2 = 0,82 donc la valeur est précise à + ou – 8 %.
⸎ À partir d’un seul échantillon, l’effectif d’une population peut également être estimé à l’aide d’un intervalle de confiance. Une telle estimation est toujours assortie d’un niveau de confiance strictement inférieur à 100 % en raison de la fluctuation des échantillons. Pour un niveau de confiance donné, l’estimation est d’autant plus précise que la taille de l’échantillon est grande.