lundi 2 novembre 2020

1/ Génétique et évolution

 

1,4/ Des mécanismes non génétiques contribuent à la diversité du vivant

Objectifs : il s’agit de comprendre, en s’appuyant sur des exemples variés dans le monde vivant, que la diversification des êtres vivants n’est pas toujours liée à une diversification génétique ou à une transmission d’ADN.

Liens : SVT – enseignement de spécialité de la classe terminale : de la plante sauvage à la plante domestiquée.

1,4,1/ Coévolution

1/ Parasite adapté

Docs p109


la guêpe Dinocampus coccinellae, et son hôte, la coccinelle Coleomegilla maculata.

Le cycle de vie de la guêpe parasite permet de comprendre comment elle détourne le

comportement de la coccinelle en sa faveur en provoquant la paralysie de cette dernière afin

qu’elle « monte la garde » au-dessus de la nymphe, après avoir nourri involontairement la

larve qui s’est développée dans son abdomen. Les études présentées permettent de comprendre

le mécanisme complexe permettant le contrôle du système nerveux de l’hôte par

l’intermédiaire d’un virus qui est inoculé avec l’oeuf et migre progressivement de l’abdomen

à la tête pour entraîner la paralysie au moment même de la métamorphose de la nymphe.

De plus, des études ont montré que la ponte de l’oeuf dans l’abdomen s’accompagnait d’une

suppression de la réponse immunitaire de la coccinelle, favorisant à la fois le développement

de la larve parasite et la réplication du virus inoculé.

Un parasitoïde utilise un virus pour modifier le comportement de son hôte : http://vminfotron-dev.mpl.ird.fr:8080/cbgp-gas/archives/20160621-Gourbal.pdf

2/ Symbioses en évolution

[mycos (grec) = fungus (latin) = champignon]

Symbiose [syn (grec) : ensemble + bio (grec) : vie] = association à bénéfice réciproque

[ecto (grec) = ext // endo (grec) = int]


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