Paris, 7 mars 2018
Des chercheurs de l'Inserm, du CNRS et d'Aix
Marseille Université regroupés au sein du Centre d'Immunologie de
Marseille-Luminy (CIML) ont découvert que, si un tatouage peut être
éternel, ce n'est pas le cas des cellules de la peau porteuses de son
pigment. Celles-ci transmettent ce pigment à de nouvelles cellules
lorsqu'elles meurent. Agir sur ce processus pourrait améliorer les
techniques d'effacement actuelles réalisées par laser. Cette étude est
publiée le 6 mars 2018 dans le Journal of Experimental Medicine.http://www2.cnrs.fr/presse/communique/5477.htm
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Références :
Unveiling skin macrophage dynamics explains both tattoo persistence and strenuous removalAnna
Baranska, Alaa Shawket, Mabel Jouve, Myriam Baratin, Camille Malosse,
Odessa Voluzan, Thien‑Phong Vu Manh, Frédéric Fiore, Marc Bajénoff,
Philippe Benaroch, Marc Dalod, Marie Malissen, Sandrine Henri and
Bernard Malissen.
Journal of Experimental Medicine, 6 mars 2018.
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