2,1,2/ Organes angiospermes
1/ Surfaces d’échange
Réalisation des empreintes des surfaces foliaires du végétal étudié avec du vernis
Prélevement des lambeaux d’épiderme des deux faces de la feuille (face supérieure et face inférieure)
Observation des coupes de feuille et repérage des chambres sous-stomatiques et des vaisseaux
https://www.sciencephoto.fr/images/plant leaf?page=2
stomates :
https://www.sciencephoto.fr/images/stomate
https://www.flickr.com/photos/fredlab/8120277771/
Stomates and Epicuticular Waxes. SEM : https://s3.lite.msu.edu/res/msu/botonl/b_online/e05/r05.htm
Stomates : https://youtu.be/O8Hn-FErGQQ
animation en zoom : https://planet-vie.ens.fr/thematiques/vegetaux/anatomie-vegetale-et-histologie-vegetale/observation-de-stomates
dessin – titre – grossissement - légende : chambre sous-stomatique, cuticule, épiderme, cellule épidermique, cellule stomatique, ostiole
stomate
Observation microscopique de racines :
http://macromicrophoto.fr/panos-racines/rhizotron-ble-racine.html
http://thana.tos.free.fr/Site%20sur%20Pc/tpe/images/poils.jpg
dessin – titre – grossissement – légende : épiderme,
poil absorbant
Estimer (ordre de grandeur) les surfaces d’échange d’une plante par rapport à sa masse ou son volume.
Manuel p.188 doc.1d+do©
Problèmes : Comment l’organisation de la plante lui permet-elle, tout en étant fixée, de
puiser dans l’air suffisamment d’éléments nutritifs ?
puiser dans le sol suffisamment d’éléments nutritifs ?
faire circuler suffisamment d’éléments nutritifs des racines vers les feuilles ?
Les échanges gazeux se font entre l’atmosphère et l’être vivant par des orifices, les stomates chez les végétaux, les narines et la bouche chez l’Homme,
à l’intérieur de l’organisme il existe des espaces gazeux chez les plantes ou intercellulaires (intersticiels) où se font les échanges
les gaz sont transportés par la sève / le sang
◦ comparaison surface foliaire avec les alvéoles pulmonaires : la surface d’échange est 50 à 80 fois plus importante que chez l’Homme ;
◦ comparaison surface racinaire avec l’intestin : la surface d’échange est 20 à 60 fois plus importante que chez l’Homme.
L’entrée de l’eau et des sels minéraux se fait au niveau de grandes surfaces externes et souterraines chez les végétaux directement au contact de ces ressources ; internes chez les mammifères qui doivent se déplacer pour les rechercher dans leur environnement.
Pour se procurer l’eau et les sels minéraux, elle doit développer des surfaces d’échanges qui vont puiser directement ces molécules à la source, c’est à dire dans le sol où ces ressources sont rares, elle développe de longues racines et de grandes surfaces d’échanges.
La plante utilisant une énergie ubiquiste [ubique : partout] n’a pas besoin de se déplacer à sa recherche, elle peut donc être fixée, cependant son faible flux l’oblige à développer un grand nombre de feuilles et une surface d’échange très grande pour absorber le CO2 nécessaire à la photosynthèse, la surface d’échange est 70 à 200 fois plus importante que celle de l’Homme.
Les plantes développent de grandes surfaces d’échange, aériennes d’une part (optimisation de l’exposition à la lumière, source d’énergie, transferts de gaz) et souterraines d’autre part (absorption d’eau et d’ions du sol).
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