Un biomarqueur épigénétique pour éviter des chimiothérapies inutiles
Grâce à leur expertise en épigénétique, les chercheurs du CNRS et de l'Institut Curie ont pu mettre au jour un nouveau marqueur pronostique. En l'analysant, il est désormais envisageable de distinguer parmi les femmes atteintes de la forme la plus fréquente des cancers du sein, les luminaux A, si leur tumeur est de bon ou de mauvais pronostic. Ce nouveau biomarqueur va permettre de prescrire une chimiothérapie aux femmes qui en ont réellement besoin, en épargnant aux autres un traitement inutile. Ces résultats sont publiés dans la revue Molecular Oncology.http://www2.cnrs.fr/presse/communique/3855.htm
Télécharger le communiqué de presse :Références :
The histone chaperone HJURP is a new independent prognostic marker for luminal A breast carcinomaRocío Montes de Oca, Zachary A. Gurard-Levin, Frédérique Berger, Haniya Rehman, Elise Martel, Armelle Corpet, Leanne de Koning, Isabelle Vassias, Laurence O.W. Wilson, Didier Meseure, Fabien Reyal, Alexia Savignoni, Bernard Asselain, Xavier Sastre-Garau and Geneviève Almouzni.
Molecular Oncology
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